Ils sont, il est vrai, soutenus par quelques Etats qui peinent cependant à s’imposer face à des poids lourds comme les Etats-Unis ou encore l’Union Européenne. Pour ces derniers comme pour la majorité des pays développés, les savoirs traditionnels et les expressions culturelles traditionnelles font partie du domaine public. Par voie de conséquence, ils sont utilisables librement sans aucun dédommagement ou partage des bénéfices.
24/07/2017
Les savoirs traditionnels et les expressions culturelles traditionnelles n’appartiennent pas au domaine public
Cette position est défendue actuellement au sein de l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) par les peuples autochtones réunis au sein du Caucus autochtone. Les vaillants défenseurs qui le composent, dont l’Organisation Non Gouvernementale (ONG) Health and Environment Program et sa présidente Madeleine Scherb, n’ont pas la tâche facile.
Ils sont, il est vrai, soutenus par quelques Etats qui peinent cependant à s’imposer face à des poids lourds comme les Etats-Unis ou encore l’Union Européenne. Pour ces derniers comme pour la majorité des pays développés, les savoirs traditionnels et les expressions culturelles traditionnelles font partie du domaine public. Par voie de conséquence, ils sont utilisables librement sans aucun dédommagement ou partage des bénéfices.
Ils sont, il est vrai, soutenus par quelques Etats qui peinent cependant à s’imposer face à des poids lourds comme les Etats-Unis ou encore l’Union Européenne. Pour ces derniers comme pour la majorité des pays développés, les savoirs traditionnels et les expressions culturelles traditionnelles font partie du domaine public. Par voie de conséquence, ils sont utilisables librement sans aucun dédommagement ou partage des bénéfices.
22/07/2017
A la découverte du Conseil des Anciens
Depuis le 1er juin 2015, le Conseil des Anciens est présidé par le conseiller municipal Pierre Scherb. Il a alors succédé à l'ancien député et conseiller national André Reymond.
Mais de quoi s’agit-il?
Le Conseil des Anciens (CdA) est une association politiquement et confessionnellement neutre qui a été créé en 1995 sur incitation du Conseil administratif de la Ville de Genève. Conscient de la part grandissante du rôle des aînés dans notre société, il voulait les intéresser aux affaires de la collectivité, promouvoir les actions de divers organismes s’occupant des anciens et développer des relations intergénérationnelles. En tant qu’organisme consultatif de réflexion et d’étude, le CdA transmet ses recommandations aux autorités compétentes, tout en bénéficiant du soutien du Département de la cohésion sociale et de la solidarité de la Ville de Genève.
Le CdA a édité plusieurs plaquettes, dont la plus importante La Retraite, un carrefour : que choisir ? sera prochainement rééditée. Il s’agit d’un guide indispensable pour tout futur ou nouveau retraité. Gageons qu’elle sera également téléchargeable depuis le nouveau site internet qui sera mis en ligne à partir du 15 juillet 2017 (le site actuel se trouve à l’adresse www.conseil-anciens.ch). L’échange entre les membres du CdA et le public sera alors facilité par l’ajout d’un blog et l’édition d’une newsletter.
Le CdA est affilié à la Plateforme des associations des aînés qui regroupe aujourd’hui toutes les associations du canton engagées dans la qualité de vie des seniors et du vivre ensemble. Sa création en 2005 s’est fait sur proposition du CdA par un de ses anciens présidents.
Au niveau suisse, le CdA est affilié à l'Association suisse des aînés (ASA). Elle est une des sociétés faîtières du Conseil suisse des aînés (CSA), l’autre étant la Fédération des Associations des Retraités et de l’Entraide en Suisse (FARES). Elle s’occupe des nécessités des personnes âgées dans notre société. Le CSA, quant à lui, a qualité d’organe consultatif du Conseil fédéral pour les questions de la vieillesse. A remarquer que le CSA est composé de 2 coprésidents, de 16 délégués et de 16 délégués suppléants. Un des coprésidents, Roland Grunder, est membre du CdA, tandis que Pierre Scherb vient d’être élu comme délégué suppléant. Le CSA a naturellement été consulté sur le paquet de la réforme Prévoyance vieillesse 2020 et beaucoup de ses exigences se trouvent dans la réforme décidée par le parlement. A noter que l’assemblée générale de l’UDC a décidé de suivre ses conseillers nationaux et qu’elle dit NON à l’arrêté fédéral du 17 mars 2017.
Revenons donc pour finir sur une note positive à la dernière plaquette intitulée Cohabitation piétons - cyclistes: le «Vivre ensemble» est possible. Afin de donner plus de poids à cette publication, le CdA a adressé une pétition P-333 au Conseil municipal qui l’a acceptée dans sa séance plénière du 25 janvier 2016. Le CdA a voulu savoir comment la Ville de Genève pouvait participer à nos efforts d’information au public, afin que les cyclistes respectent mieux les règles de la circulation à l’égard des piétons, des personnes à mobilité réduite et vulnérables. Le CdA s’est ainsi profilé comme partenaire indispensable pour les questions touchant la circulation des cyclistes en Ville de Genève. Il a ainsi été invité à participer à la campagne d’information de la Police municipale de 2016 et a été consulté sur la question de la circulation des cyclistes dans nos parcs.
La page d'accueil du nouveau site internet
21/07/2017
Mots d’ordre de l’UDC-Genève pour les votations du 24 septembre 2017
L’UDC-Genève s’est réunie le 3 juillet à Thônex pour décider de ses mots d’ordre pour les votations du 24 septembre prochain. Avant de passer à ces points portés à son ordre du jour, le comité directeur tient à remercier ses membres pour leur présence constante à tous nos nombreux rendez-vous. En effet, depuis de nombreux mois, nos effectifs sont en constante augmentation et nos réunions (assemblées générales, Cercles de réflexion, séances d’information, etc.) connaissent un succès grandissant qui réjouit toutes celles et tous ceux qui travaillent au développement de notre section cantonale et de nos sections communales.
Votations fédérales
L'arrêté fédéral du 14 mars 2017 sur la sécurité alimentaire (contre-projet direct à l'initiative populaire « Pour la sécurité alimentaire » retirée)
C’est OUI
Suite à l’initiative populaire ” Pour la sécurité alimentaire ”, déposée en 2014 par l’Union suisse des paysans (USP), souhaitant compléter la Constitution par l’ajout d’un nouvel article 104a (Sécurité alimentaire) pour freiner la perte des terres agricoles et mettre en œuvre une stratégie qualité, un contre-projet fut proposé pour préserver les bases de production agricole, notamment les terres. Ce contre-projet impose également à Berne de veiller à une production adaptée aux conditions locales et utiliser les ressources naturelles de manière efficiente. Le Conseil fédéral s’est rallié à ce contre-projet et l’USP a finalement retiré son initiative après le vote final, raison pour laquelle on ne vote que sur l’arrêté fédéral du 14 mars 2017. Pour mémoire, l’UDC a soutenu l’initiative populaire.
Les membres UDC-Genève ont voté très majoritairement OUI à cet arrêté fédéral.
Les membres UDC-Genève ont voté très majoritairement OUI à cet arrêté fédéral.
L'arrêté fédéral du 17 mars 2017 sur le financement additionnel de l'AVS par le biais d'un relèvement de la taxe sur la valeur ajoutée
C’est NON
Selon le scénario de référence sur lequel s’appuie le projet, l’AVS aura besoin d’un financement supplémentaire de 8,3 milliards de francs jusqu’en 2030. Les mesures relatives aux prestations et aux cotisations permettent de réduire ce besoin à 7,0 milliards de francs, montant qui pourra être couvert par une augmentation de la TVA. En effet, la TVA est une source de financement qui permet de répartir la charge financière supplémentaire sur l’ensemble de la population et non uniquement sur les actifs. Il est par conséquent prévu de relever progressivement la TVA, de 1,5 point au plus. La première augmentation, proportionnelle, de 1 point, aura lieu dès l’entrée en vigueur de la réforme. Le demi-point restant pourra être mobilisé par le législateur lorsque la situation financière de l’AVS l’exigera.
Pour l’UDC Suisse, « l’AVS est ainsi envoyée dans le mur à charge des jeunes générations. Tout cela coûte en plus fort cher: augmentation des prélèvements sur les salaires et hausse des cotisations AVS, autant de charges qui frappent la population active et l’économie. Et, pour couronner le tout, une augmentation des impôts de plus de deux milliards de francs par an via la TVA. Néanmoins, l’AVS affichera dès 2035 à nouveau un déficit annuel de 7 milliards de francs. »
La section cantonale de l’UDC partage totalement les critiques de ses conseillers nationaux et dit NON majoritairement à l’arrêté fédéral proposant un relèvement de la TVA.
Loi fédérale du 17 mars 2017 sur la réforme de la prévoyance vieillesse 2020 (sous réserve de l'aboutissement du référendum)
C’est NON
La section cantonale de l’UDC partage totalement les critiques de ses conseillers nationaux et dit NON majoritairement à la loi sur la prévoyance vieillesse 2020. Voir ci-dessus le développement de ce thème.
Votation cantonale
Loi constitutionnelle modifiant la constitution de la République et canton de Genève (Renforçons les droits populaires) (11917), du 24 février 2017. C’est OUI !
La loi cantonale soumise à votation propose d’abaisser le nombre de signatures nécessaire au dépôt des initiatives et référendums de 1% des titulaires des droits politiques. Ceci dans le but de faciliter l’exercice des droits populaires, compte tenu de la difficulté de récolter les signatures exigées. La proportion d’étrangers résidents dans notre canton rendant cet exercice bien plus compliqué que dans d’autres cantons à l’image de Zurich qui exige 6'000 signature pour une initiative alors que sa population est presque le double de celle de Genève (900'000 habitants). L’UDC a toujours défendu bec et ongles ces instruments de démocratie directe qui permettent au peuple de se prononcer en dernière instance sur un acte étatique. En faciliter l’usage est une bonne chose pour la politique notre canton. 20/07/2017
Assemblée générale extraordinaire UDC-Ville de Genève
Au soir du 30 juin 2017, pour la deuxième fois ce mois, la section UDC Ville de Genève s’est réunie avec un programme chargé. Et pour la deuxième fois, la salle affichait complet à la satisfaction de la direction de la section.
Cinéma Le Plaza – C’est NON
Suite au lancement d’une initiative cantonale (Le Plaza ne doit pas mourir) ainsi que du dépôt d’une motion M-1177 sur le bureau du conseil municipal (Le Plaza ne doit pas être démoli et doit rester un cinéma), un débat est organisé pour permettre aux membres UDC de se prononcer sur ce sujet qui a rappelé bien des souvenirs aux plus anciens d’entre nous. Le principal initiateur de cette initiative, le conseiller municipal Pascal Holenweg a présenté ses arguments avant que le député PLR Alexis Barbey, chargé de la communication pour Mt-Blanc Centre ne donne, à son tour, les raisons qui ont poussé son propriétaire à proposer la démolition du cinéma et la construction d’un centre commercial, 60 logements pour les étudiants et un parking public.
Après ces explications et un débat de qualité, les membres UDC ont estimé que rénover et qu’animer ce cinéma présentent de nombreuses difficultés, principalement en termes de finances mais aussi de programmation. Pour mémoire, l’auditorium Arditi et sa salle de cinéma n’est utilisé qu’une trentaine de fois par année.
Rappelons également que le terrain appartient à la société Mt-Blanc Centre. C’est pourquoi l’initiative a recours à l’expropriation pour cause d’utilité publique pour « sauver » le cinéma. L’UDC s’est habituellement opposée à ce procédé, attachée par principe au droit privé.
Enfin pour l’UDC-Ville de Genève, la construction dans ce quartier de logements d’étudiant est une bonne décision. C’est pourquoi elle a décidé à la majorité moins une abstention de ne soutenir ni l’initiative, ni la motion.
Référendum contre les réductions budgétaires supplémentaires acceptées par le conseil municipal – C’est OUI
Après de nombreuses péripéties, le budget 2017 fut voté à la fin du mois d’avril 2017. Il fut aussitôt contesté par la gauche qui a déposé quatre référendums pour tenter d’annuler les décisions de la droite du Conseil municipal. Nous voterons donc sur quatre réductions supplémentaires du budget 2017. Il s’agit des dépenses de fonctionnement des départements (1 million de francs), la Solidarité internationale (340’000F), l’encouragement à la culture (963’160F) et l’allocation de la rentrée scolaire (150’000F).
Pour l’UDC-Ville de Genève, ces coupes – peu importantes quant à la bonne marche de la Ville – doivent être maintenues. Elles n’entravent pas la cohésion sociale et donne le signal que la droite s’est entendue pour maîtriser les finances de la commune. Des réductions qui sont quasi négligeables (3,8 millions de francs pour un budget de 1,2 milliard de francs). La gauche se bat pour la forme, pour ne pas perdre son combat politique d’arrosage.
C’est à l’unanimité que la section UDC-Ville de Genève soutient ces quatre réductions supplémentaires du budget 2017
Pour tout renseignement :
Eric Bertinat, secrétaire général et conseiller municipal
Pierre Scherb, conseiller municipal Ville de Genève, chef de groupe
(Communiqué de presse UDC du 3 juillet 2017)
Pierre Scherb, conseiller municipal Ville de Genève, chef de groupe
(Communiqué de presse UDC du 3 juillet 2017)
19/07/2017
Le Plan directeur cantonal 2030 est de plus en plus contesté !
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18/07/2017
Comptes 2016 : l’UDC dénonce les effets d’annonce du Conseil d’Etat et refuse son rapport de gestion
L’UDC n’a pas manqué de dénoncer, comme elle en a l’habitude, la mauvaise gestion du Conseil d’Etat. Depuis le début de la législature et plus particulièrement en ce qui concerne l’année 2016, le Conseil d’Etat a multiplié les annonces concernant ses intentions sur les réformes structurelles pourtant instituées par le discours de Saint-Pierre en début de législature. Au final : toujours rien !
L’UDC n’a pu que constater que rien n’a changé et que rien ne changera. Et surtout pas pendant cette prochaine année électorale déjà bien engagée. Il ne faut surtout rien changer à l’approche des élections pour ne froisser personne. Triste constat : aucune vraie réforme n’a été engagée, l’Etat continue à subventionner tout et n’importe quoi, la dette ne diminue pas véritablement, la fiscalité reste l’une des plus élevées de Suisse, les contribuables continuent de se serrer la ceinture et plus particulièrement les familles, l’Etat ne fait aucun effort pour diminuer ses charges.
Cerise sur le gâteau, le PDC annonce qu’il attend du Conseil d’Etat de vraies propositions de réforme ! Alors que l’UDC est le seul groupe qui pendant cette législature a osé proposer de vraies réformes structurelles, projets que n’a pas manqué de leur rappeler le Chef du groupe UDC, pouvant amener à de véritables économies, le PDC a fait tout son possible pour les torpiller. De qui se moque-t-on ?
En conclusion, l’UDC a assisté à une véritable mascarade de la part de l’Entente et aux sempiternelles lamentations de la gauche dénonçant les soit disant manque de moyens. Au vote final, le rapport de gestion a été adopté par l’Entente et le MCG marchant alignés couverts derrière leur magistrat respectif. Fidèle à sa ligne politique de la législature visant à une réduction des charges de l’Etat et à une réelle diminution de la dette, l’UDC a refusé de voter ce rapport de gestion du Conseil d’Etat.
Communiqué de presse UDC du 23 juin 2017
Pour tous renseignements :
Stéphane Florey, député et chef de groupe
Patrick Lussi, député, membre de la Commission des finances
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