Les personnes majeures et capables de discernement peuvent essentiellement agir indépendamment. Le droit de la protection des adultes commence si des personnes sont atteinte dans leur indépendance, par suite d'un soi-disant état de faiblesse (par exemple un retard mental, des troubles mentaux, la démence). La loi sur la protection des adultes doit influer en éliminant, en égalisant ou en adoucissant pour protéger les intérêts de la personne concernée de façon permanente. Pour cela, il utilise différents instruments qui sont soit prévus par la loi (par exemple, les diverses représentations en vertu de l'art. 374 et suivant du Code civil) soit doivent être prise par la personne elle-même (mandat pour cause d’inaptitude et directives anticipées) ou ordonnée par une autorité dans un cas particulier (curatelles et placement à des fins d’assistance).
30/05/2017
28/05/2017
Eldorado: la preuve par pièce de théâtre que l'immigration nous appauvrit
L'immigration cause de graves problèmes dans le financement de nos assurances sociales. Ce n'est cependant pas tout. Elle apprauvrit aussi culturellement la Suisse et l'Europe. Pour preuve la pièce de théâtre Eldorado, mise en scène par Patrick Mohr.
Le théâtre du Loup présente encore durant une semaine ce spectacle jusqu'à samedi prochain. Il raconte l'épopée d'Africains qui quittent leurs pays pleins d'espoir pour ensuite se voir dépouiller par des passeurs sans scrupules. Ces Nords-Africains ne s'embarassent pas du fait qu'il s'agit de leurs «Frères» musulmans lorsqu'ils leur prennent jusqu'au dernier centime (les sommes à payer sont tout de même considérables, à savoir plusieurs milliers d'euros).
Le seul qui les aide gratuitement est un pêcheur italien, bon catholique comme tous les Italiens. Mal lui en a pris, car il ne perd pas seulement ses nerfs dans la tempête avec l'impossibilité de secourir les milliers de migrants en détresse, mais finit par se rebeller et perd toute envie de travailler. Il se réfugie en Afrique où il essaie en vain de convaincre les migrants de rester chez eux.
Tous les survivants gagnent, même ceux qui arrivent dans l'Eldorado après un périple de trois ans, le seul qui perd tout est le capitaine Piracci, représentatif de tous les Européens. Et nous, habitants de Genève, n'avons-nous pas déjà perdu notre âme?
Le théâtre du Loup présente encore durant une semaine ce spectacle jusqu'à samedi prochain. Il raconte l'épopée d'Africains qui quittent leurs pays pleins d'espoir pour ensuite se voir dépouiller par des passeurs sans scrupules. Ces Nords-Africains ne s'embarassent pas du fait qu'il s'agit de leurs «Frères» musulmans lorsqu'ils leur prennent jusqu'au dernier centime (les sommes à payer sont tout de même considérables, à savoir plusieurs milliers d'euros).
Le seul qui les aide gratuitement est un pêcheur italien, bon catholique comme tous les Italiens. Mal lui en a pris, car il ne perd pas seulement ses nerfs dans la tempête avec l'impossibilité de secourir les milliers de migrants en détresse, mais finit par se rebeller et perd toute envie de travailler. Il se réfugie en Afrique où il essaie en vain de convaincre les migrants de rester chez eux.
Tous les survivants gagnent, même ceux qui arrivent dans l'Eldorado après un périple de trois ans, le seul qui perd tout est le capitaine Piracci, représentatif de tous les Européens. Et nous, habitants de Genève, n'avons-nous pas déjà perdu notre âme?
Un loup dans la forêt
26/05/2017
Onex : les électeurs refusent à 64% le projet extravagant d’un espace aqua-ludique à 758’000F
Le comité référendaire « Sauvons la pataugeoire d’Onex » formé de Zora Masé présidente de l’UDC Onex, du président du MCG Onex et conseiller municipal et de plusieurs conseillers municipaux du PLR a convaincu les Onésiens. La pataugeoire d’Onex, qui existe depuis plus de 40 ans, ne sera pas remplacée par un espace acqua-ludique malgré la campagne acharnée des autorités communales.
Sous prétexte que sa profondeur (50 cm) ne satisfait pas les normes, le Conseil administratif n’a pas pu cacher son fol espoir de laisser son empreinte avec une construction coûteuse remplaçant une pataugeoire appréciée du public par des jets d’eau pompeusement appelés « espace aqua-ludique ». Cette votation a permis aux Onésiens de montrer qu'ils tiennent à leur pataugeoire. Les arguments guignolesques de l’exécutif ont été sanctionnés à juste titre !
Pour info :
Zora Masé – Présidente UDC-Onex
(Communiqué de presse UDC Onex du 21 mai 2017)
Sous prétexte que sa profondeur (50 cm) ne satisfait pas les normes, le Conseil administratif n’a pas pu cacher son fol espoir de laisser son empreinte avec une construction coûteuse remplaçant une pataugeoire appréciée du public par des jets d’eau pompeusement appelés « espace aqua-ludique ». Cette votation a permis aux Onésiens de montrer qu'ils tiennent à leur pataugeoire. Les arguments guignolesques de l’exécutif ont été sanctionnés à juste titre !
Pour info :
Zora Masé – Présidente UDC-Onex
(Communiqué de presse UDC Onex du 21 mai 2017)
La pataugeoire du parc de Bréquigny à Rennes
By Pymouss (Own work) [CC BY-SA 3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0)], via Wikimedia Commons
23/05/2017
L'UDC mesurera les partisans à leur promesse de 40 francs
L'UDC prend acte avec déception de l'acceptation de la loi sur l'énergie. Grâce au référendum de l'UDC, les lourds inconvénients de ladite stratégie énergétique ont enfin été mis au jour, mais malheureusement le retard pris par rapport à la propagande officielle orchestrée depuis des années en faveur de ce dangereux "tournant énergétique" n'a pas pu être rattrapé. Les partisans de ce projet doivent maintenant tenir leurs promesses et garantir un approvisionnement énergétique sûr, avantageux et suffisant de la Suisse.
Les partisans de la loi sur l'énergie n'ont cessé de souligner que ce projet ne coûterait que 40 francs par famille et par an. La conseillère fédérale Doris Leuthard a promis de renoncer à des augmentations d’impôts sur les carburants jusqu'en 2035. Les progrès technologiques sont si énormes, a-t-elle affirmé, que les citoyennes et les citoyens ne subiront pas de nouvelles interdictions et mises sous tutelle pour atteindre l'objectif final, à savoir une réduction de 43% de la consommation globale d'énergie. L'UDC mesurera les défenseurs de la loi à leurs promesses, notamment en ce qui concerne les impôts et redevances.
C'est grâce au référendum de l'UDC que le Conseil national a refusé le système incitatif en matière énergétique et climatique (SICE). Il est ainsi évident que, comme promis, le Parlement enterrera définitivement ce projet lors de la prochaine session.
C'est grâce au référendum de l'UDC que le Conseil national a refusé le système incitatif en matière énergétique et climatique (SICE). Il est ainsi évident que, comme promis, le Parlement enterrera définitivement ce projet lors de la prochaine session.
(Communiqué de presse UDC du 21 mai 2017)
22/05/2017
Week-end de votations cantonales
Le point de vue de l'UDC-Genève
IN 158 « Pour une valorisation et un agrandissement de la Maison des associations »
L’UDC prend acte du refus des Genevois d’attribuer un crédit de 16,5 millions de francs pour rénover la fameuse Maison des associations si « chère » à la gauche genevoise. Durant toute la campagne, l’UDC a répété que ce n’est pas aux citoyens genevois de payer la rénovation de ce bâtiment. La Maison des Associations doit assumer leur entretien et leur projet de rénovation, dont la mise en conformité avec le label Minergie.
Loi sur les transports publics
C’est avec un déplaisir certain que l’UDC prend connaissance du scrutin négatif concernant la proposition des TPG de modifier la loi. Il semblait que ce scrutin relevait avant tout d’une question de bon sens, la hausse mesurée des tarifs TPG permettant d’éviter une baisse des prestations durant 2017. Il faudra donc couper dans les prestations alors que la demande s’accentue. L’Etat devra même compenser intégralement le manque à gagner des TPG à hauteur de 4 millions. C’est un week-end de votations qui, malgré ce refus populaire, coûtera cher aux contribuables genevois !
Pour info:
Marc Fuhrmann, président et conseiller municipal
Eric Bertinat, secrétaire général et conseiller municipal
17/05/2017
La violence institutionnelle du jacobinisme: approche de la théorie du gouvernement révolutionnaire et de l’homme nouveau entre deux dates décembre 1793 et juillet 1794 en France
La théorie du gouvernement révolutionnaire est à la base de deux courants d’idées à savoir le libéralisme et le jacobinisme. L'historien des idées politiques, Le professeur Michel Ganzin au cours d’une conférence donnée la semaine dernière à l’Université de Genève a attiré mon attention sur cette notion qu’est le jacobinisme. Un concept dont découle la conception de l’homme nouveau sous le gouvernement révolutionnaire de Robespierre.
Comment est né le jacobinisme et quel est son impact sur notre époque?
Historiquement, les députés états généraux français se sont réunis au printemps 1789. Le 17 juin 1789, ces députés deviennent l'assemblée nationale constituante. Ils travailleront pendant deux ans afin d’élaborer la première constitution écrite française à savoir la constitution de 1791. Après cela, intervient une seconde assemblée révolutionnaire: l’assemblée législative qui inaugure une période de monarchie constitutionnelle mais qui n’a aucune influence parce qu’il ya eu un décret qui interdisait aux anciens députés de se représenter. L’assemblée législative va se terminer le 20 septembre 1792.
Il y aura une nouvelle assemblée, cette fois inspirée par les américains appelée la Convention: Elle se réunira et sera proclamée le 21 septembre 1792, la République. Elle restera dans sa forme primitive jusqu’à la chute de Robespierre le 26 août 1794 et perdurera ensuite un certain temps sous la forme d’une convention thermidorienne. Par conséquent, la question de l’unité ou de la dualité de la révolution française fera débat entre libéraux et jacobins. La révolution d'inspiration libérale sera remplacée à partir de 1792 par une révolution anti-libérale, une sorte de loi de radicalisation qui affecta toutes les grandes révolutions. La première révolution d’Angleterre de 1642 et la révolution russe de mars 1917 constituant les deux grandes révolutions de l’époque.
Les conceptions libérale et jacobine vont se combattre jusqu’au moment où le jacobinisme va s’imposer pendant la révolution. Avec la proclamation de la République le 21 septembre 1792, s’engagera une phase révolutionnaire que rien ne laissait présager. Le jacobinisme restera l’aile marchand de la révolution et se transformera en 1792 en interprétation de la révolution. Elle sera consécutive à la scission entre les girondins, partisans de la décentralisation, et les jacobins ou montagnards, partisans d’un gouvernement centralisé.
Le jacobinisme a été tout à la fois un mouvement de défense républicaine dans la mesure où il se lie à l’idée républicaine. Il sera également une idéologie démocratique, populaire, égalitaire mais dictatorial et centralisatrice. Cette idéologie va donner lieu à un concept qui se reposera sur un système d’une part et sur une théorie du gouvernement révolutionnaire d’autre part. Ainsi Robespierre exposera-t-il un système rationnel fondé sur un discours de l’égalité basé sur une alliance populaire, ce qui aboutira à la radicalisation de la révolution et à l’épuration de tous les opposants. Le second fondement de la théorie du gouvernement révolutionnaire se caractérisera par une ambition démesurée, celle de créer une nouvelle race d’hommes. Le système jacobin ou la défense de l’état révolutionnaire.
Karl Marx doit beaucoup à la révolution française. Il s’en inspire et forge par là-même la théorie de la dictature du prolétariat. Le jacobin est l’ancêtre du communiste. Désormais la révolution est liée à l’idée de république. La république est une doctrine historique incarnée dans la révolution.
En définitive le héros révolutionnaire est promu à un bel avenir dans la modernité par le déchaînement des passions nationales. Par contre l’ambition jacobine de révolutionner l’homme en le rendant digne de la république révèle la vanité d’une entreprise qui a fait de ce pouvoir le premier gouvernement d’ordre moral mais un ordre moral non pas de droite mais de gauche.
A l’aune de la mémoire nationale, ce moment exceptionnel de l’histoire française a donné lieu à des grilles différentes de lecture en passant de la théorie à la pratique. Il a été victime d’une légende noire en dépit de l’admiration qu’il a suscité chez nombre de républicains, chez nombre d’historiens d’obédience néo jacobine, et même chez des adversaires.
Le jacobinisme suscita au XIXè siècle une réprobation quasi générale dans les mémoires traditionalistes, libérales et dans la mémoire républicaine notamment. Un républicain français se désolidarisera majoritairement et définitivement de cette violence institutionnelle du jacobinisme en se réfugiant à Genève.
16/05/2017
Discrimination des hommes sur le marché de l'emploi: l'UDC s'engage
A Genève, le citoyen-soldat est de plus en plus déconsidéré
L’UDC-Genève dépose une motion
Dans un marché de l’emploi aussi concurrentiel que celui de Genève, il a été constaté avec stupéfaction que de nombreuses offres d’emploi présentaient des discriminations à l’encontre des citoyens suisses astreints à des obligations militaires. Tout récemment, une société active dans le négoce de produits pétroliers publiait une offre d’emploi pour un poste de trader en précisant comme condition d’embauche « no military obligation for male candidates ».
Le caractère illégal et discriminatoire d’une telle offre ne fait aucun doute. Cette offre discrimine les Suisses par rapport à d’autres candidats, notamment étrangers, non astreints à des obligations militaires. Une telle pratique est manifestement contraire à la loi fédérale sur l’égalité entre femmes et hommes (LEg) qui prévoit qu’il est interdit de discriminer les travailleurs à raison du sexe, soit directement, soit indirectement, notamment en se fondant sur leur état civil ou leur situation familiale ou, s'agissant de femmes, leur grossesse. La LEg précise que l'interdiction de toute discrimination s'applique notamment à l'embauche.
Si la loi sur l’inspection et les relations du travail (LIRT) qui traite de la surveillance du marché du travail mais pas de l’insertion dans le marché du travail ne permet pas d’agir contre la publication d’offres d’emploi discriminatoires, il semble que la LEg devrait constituer une base légale suffisante pour que de tels comportements cessent.
La proposition de motion UDC demande que le Conseil d’Etat mette fin aux pratiques discriminatoires et illégales d’employeurs précisant comme condition d’embauche l’absence d’obligations militaires et qu’un rapport soit rendu sur sa stratégie pour combattre les discriminations dont sont victimes les hommes en recherche d’emploi à cause des obligations militaires.
Pour info :Stéphane Florey, député, chef de groupePatrick Lussi, député
(Communiqué de presse UDC du 5 mai 2017)
15/05/2017
Faire ce qui est juste: Voter NON à la loi sur l'énergie
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14/05/2017
Optimiser les TPG ? Oui !
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13/05/2017
Onex, archétype de l'anti-démocratie
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12/05/2017
L’UDC-Ville de Genève assure la place du secteur secondaire dans le PAV
La première réalisation du secteur Praille-Acacias-Vernets (PAV), se déroulera sur le terrain de la caserne des Vernets. Elle a été âprement discutée, hier soir, par le Conseil municipal de la Ville de Genève. Avec pour principal enjeu le respect du plan localisé de quartier (PLQ) adopté en 2015 et qui fixait, entres autres, une surface réservée aux activités du secteur secondaire (industrie, PME, artisanat) de 11'000 m2 sur les 156'400 m2 de surfaces à bâtir. Le PLQ prévoit la construction de 1'500 logements.
Or, concernant ces surfaces, le canton a introduit dans le règlement du PLQ une formulation ambiguë : « Les 11'000 m2 dévolus au secteur secondaire (…) peuvent au besoin être réalisés sur des terrains sis hors du périmètre du plan, mais dans le périmètre du grand projet PAV (…) ». Ce qui revient à attendre la fin des travaux, à l’orée 2030, pour s’assurer que ces surfaces auront bel et bien été respectées. Le risque que ce ne soit pas le cas est réel lorsque l’on sait qu'elles offrent une faible valeur ajoutée pour les investisseurs.
Les conseillers municipaux UDC ont préféré s’en tenir aux décisions initiales et ont soutenu l’amendement annulant la proposition des services de M. Hodgers et assurant ainsi, dès la première étape, une mixité des lieux afin que l’ensemble du domaine à bâtir du PAV ne ressemble pas à une ville dortoir.
L’UDC s’est également souciée du remplacement de l’installation technique de la patinoire des Vernets. Pour permettre ce chantier coûteux, le canton entend fermer une année ce site, mettant ainsi en péril les activités du Genève-Servette Hockey Club et celles du club des patineurs. Un amendement a permis un délai de 5 ans pour présenter un plan d’assainissement qui ne pénalisera pas les amoureux des sports de glace, qu’ils soient sur la glace ou sur les gradins.
Pour info :
Pierre Scherb, conseiller municipale Ville de Genève, chef de groupe
Eric Bertinat, conseiller municipal Ville de Genève
10/05/2017
Haro sur une application inégale du droit fédéral en matière d'acquisition d'armes
Le député UDC Patrick Lussi s'offusque, à juste titre, d'une inégalité de traitement d'un particulier désireux d'acheter plusieurs armes à Genève par rapport à la situation qui prévaut dans les autres cantons suisses (communiqué UDC du 26 avril 2017):
Non à la discrimination : pour une pratique conforme au droit fédéral en matière d’acquisition d’armes par les particuliers !
L’Ordonnance fédérale sur les armes (OArm) permet qu’un seul permis d’acquisition d’armes soit établi lorsque l’acquéreur désire acheter simultanément jusqu’à trois armes auprès du même aliénateur. Cette pratique est appliquée de manière uniforme dans tout le pays sauf dans notre canton qui réserve ce droit aux seuls armuriers.
Ce traitement différent par le service des armes est constitutif d’une violation du principe de l’égalité de traitement et ne trouve aucune justification du point de vue de la sécurité publique. L’acquisition d’armes, en Suisse, est un droit qui n’est pas laissé à la libre appréciation de l’autorité cantonale d’application. En matière de contrôle des armes, la pratique genevoise n’apporte aucune plus-value en termes de contrôle, car les armes sont toutes enregistrées.
Pour l’UDC, le service des armes s’est indûment arrogé le droit d’abroger pour l’ensemble des particuliers domiciliés dans le canton de Genève, le régime prévu par le droit fédéral. La motion du député Patrick Lussi entend mettre fin à une pratique contraire au droit fédéral qui a pour seul but d’imposer des tracasseries administratives supplémentaires et inutiles aux tireurs et aux collectionneurs en venant à entraver leurs droits prévus par la loi et à les traiter comme des criminels.
Pour plus d’informations :
Patrick Lussi, député
Marc Fuhrmann, président et conseiller municipal
09/05/2017
Il faut mettre fin à la Stratégie Energétique 2050 du Conseil fédéral
Michel de Rougemont met la loi sur l'énergie dangereuse en lien avec la Stratégie Energétique 2050 (SE50) du Conseil fédéral. Il s'agit d'arrêter de mélanger des questions d'écologie, de politique industrielle et d'économie:
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08/05/2017
Non à la nouvelle loi sur l'énergie
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02/05/2017
Budget 2017 de la Ville de Genève : Victoire de la Droite Elargie - défaite de la Gauche unie, malgré la complicité de l'exécutif municipal
Les origines de la victoire
En matière budgétaire, les conseillers municipaux PLR, MCG, PDC et UDC de la Ville de Genève ont décidé d’unir leurs forces pour atteindre des objectifs essentiels communs, issus de la longue concertation qu’ils ont menée et qui sauvegarde l’originalité politique de chacun de leur parti. Cette « Droite Elargie » ainsi constituée a démocratiquement obtenu du Conseil municipal, en avril de l’an dernier - 2016 -, la décision que « le projet de budget 2017 de la Ville de Genève devra comporter un excédent de financement de 15 millions de francs » (art. 1) et que « l’autofinancement des investissements devra être au minimum de 75 % » (art. 2). Par ailleurs, cette même Droite élargie a décidé de s’opposer par principe à toute nouvelle dépense dans la mesure où celle-ci ne peut être couverte par les moyens existants.
Fort de son bon droit d’être le seul rédacteur du budget - dont l’acceptation dépend toutefois des seuls conseillers municipaux -, l’Exécutif de la Ville n’a pas véritablement entendu ces doléances et s’est limité à présenter un budget « équilibré » comme la loi lui en fait l’obligation - budget dégageant un excédent de recettes dans ses versions successives de juin et novembre 2016 (celle-ci tenant compte des données fiscales reçues du canton).
La commission des finances chargée d’étudier et de préaviser le projet de budget amendé a procédé aux auditions requises (Exécutif de la Ville et autres institutions et personnes dont les avis étaient sollicités par les commissaires), en prenant en compte les arguments des uns et des autres de l'ensemble des partis représentés.La Droite élargie a présenté un ensemble d’amendements qui ont tous été acceptés lors de la séance de la commission du 28 mars consacrée à la discussion et au vote final). De son côté, la gauche les a tous refusés et a délibérément limité sa liberté de déposer des amendements à cinq propositions qui n’ont pas obtenu de majorité.
Lorsque le dossier est revenu en plénière le 25 avril, la Droite Elargie a déposé une motion d’ordre en vue d'obtenir les « reprise et vote des amendements déposés et acceptés en commission des finances ». Cette motion a été acceptée par deux votes du Conseil municipal (entrée en matière, puis acceptation en bloc des amendements et de leur contenu).
Pour contrer cet échec auquel elle ne s’attendait pas, la gauche a déposé alors 82 propositions d’amendement pour mettre en pièces tous les amendements votés et faire valoir les siens propres qui avaient jusque-là été refusés. Peine perdue en deuxième lecture où seule la gauche - aidée en cela par l’Exécutif de la Ville - avait le droit à la parole. En troisième lecture (obligatoire en matière budgétaire), répétition générale de l’exercice et vote portant sur chacun des 82 amendements concernés qui ont alors été sans autre confirmés (hormis trois d’entre-eux).
La victoire a été obtenue ce vendredi 28 avril, vers une heure trente du matin. Elle a permis à la Droite Elargie PLR+MCG+PDC+UDC d’accepter le budget ainsi amendé et de permettre à l’Exécutif municipal de poursuivre sa mission en 2017 dans les limites matérielles tracées par la majorité du Conseil municipal de la Ville.
Ce qu’il y a lieu de penser de cette victoire
Pour l’UDC, cette victoire est essentiellement de nature comptable, même si la dette municipale - considérable : près de 1,5 milliard pour une communauté d’un peu plus de 200'000 habitants - ne baisse pas pour autant. Elle ne l’est pas politiquement vu les trop généreuses finalités poursuivies par l’Exécutif de la Ville en matière de subventions notamment, où les intérêts particuliers prennent le pas sur l’intérêt collectif qui est d’assurer une gestion responsable et durable d’une situation au demeurant incertaine, difficilement maîtrisable et rapidement évolutive au plan international, national, cantonal et communal.
La gauche et l’Exécutif municipal dans sa majorité ont perdu ensemble et pour les mêmes motifs. Ils se sont fermés à une franche et loyale discussion avec les membres de la Droite élargie. Ils n'ont été que les avocats que de leur propre cause commune, négligeant ainsi l’intérêt collectif qui lui est largement supérieur et dont la Droite élargie s’est légitimement fait l’écho.
La victoire obtenue ce matin ne porte que sur une bataille, non sur la guerre que la gauche entend poursuivre pour imposer ses vues avec la complicité de l’Exécutif municipal qui lui est majoritairement acquis. Cette guerre, qui va vraisemblablement déboucher sur une prochaine bataille référendaire pour détruire le budget ainsi obtenu de haute lutte, n’est pas une guerre fondée sur la démocratie puisqu’elle trouve fondamentalement sa source dans le rejet de l’autre - en l'occurrence le PLR, le MCG, le PDC et l’UDC réunis ou pris isolément, ainsi que l’ensemble des citoyens et citoyennes qu’ils représentent.
Les multiples, fortes et inadmissibles vociférations et autres cris de haine proférés par la gauche lors des débats en sont la très triste et incontestable preuve.
Nous voilà tous avertis.
Pour info:
Jacques Pagan, conseiller municipal, membre de la commission des finances
Pierre Scherb, conseiller municipal, chef de groupe
Pierre Scherb, conseiller municipal, chef de groupe
Une multitude de subventions
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