31/10/2018

L'UDC et le MCG ne se laissent pas prendre en otage par la gauche du Conseil municipal emmené par son Conseiller national Guillaume Barazzone

229 points à l’ordre du jour - de quoi occuper le Conseil municipal durant une bonne dizaine de séances plénières. Mais cela ne suffit pas à la gauche qui ne rêve que d’organisations internationales et d’ouverture au monde entier. Au lieu de s’occuper des affaires de notre Ville, elle a ainsi fait voter une urgence taillée sur  mesure du Conseiller national Guillaume Barazzone.


Après avoir pris la décision de ne pas poursuivre les infractions à la loi sur les étrangers de nos 300 dealers qui terrorisent notre population, et un petit détour par Abou Dabi, bien entendu tous frais payés, Guillaume Barazzone s’attèle aux affaires fédérales. Qu’a-t-il en fait de plus humain que de sauver quelques pauvres Africains de la noyade en Méditerranée? Sauf que la bateau Acquarius, objet de toutes ses attentes, a ouvertement violé le droit de la mer, après avoir fait de fausses déclarations. C’est surtout ce bateau qui les poussent à prendre le risque de mourir, plutôt se suicider au lieu de se laisser sauver par les professionnels sur place. Pour ces raisons, il ne trouve plus aucun pays au monde qui veut lui accorder un pavillon, même pas le Panama pourtant connu pour être peu regardant en la matière.


Les élus municipaux UDC et MCG n'ont pas voulu cautionner cet appel insensé et ont donc quitté l’enceinte du Conseil municipal. La gauche a été obligée de voter seule cette résolution contraire aux intérêts de Genève.

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Le bateau Samuel Beckett en action

Le bateau Samuel Beckett en action


30/10/2018

Réforme de l'imposition des entreprises, l’UDC pose ses conditions : pas de soutien à RFFA sans augmentation de la déduction fiscale des primes d'assurance-maladie !

L'augmentation des déductions pour primes d'assurance maladie garantit une réforme fiscale équilibrée entre personnes physiques et personnes morales. C’est pourquoi, l’UDC-Genève conditionnera son soutien au projet genevois de taxation des entreprises à l’approbation du projet de loi UDC (PL 12166) visant à aider la population en ayant recours à une hausse des déductions fiscales sur les primes d’assurance-maladie.

Le projet de loi 12166 vise à aider la population face aux hausses démesurées des coûts de la santé, à cause d’un système LAMal responsable du doublement des primes depuis son introduction et d’une immense détresse financière. Le projet de loi entend apporter un peu d’oxygène à la classe moyenne dont une part de plus en plus importante du revenu disponible est absorbée chaque année par le paiement des primes d’une assurance-maladie à laquelle il n’est pas possible de se soustraire. Un projet de loi pour l’heure sèchement refusé, au prétexte qu’il augmenterait le nombre de contribuables ne payant pas d’impôt.

C’est méconnaître que l’échec d’RIE III est imputable en partie au fait que la population a craint de devoir payer les pertes fiscales engendrées par la réforme. D’où la nécessité d’une mesure destinée aux personnes physiques telle que celle prévue par le projet de loi 12166. Les cantons suivants ont opté pour des choix similaires :

Valais

La solution d’une hausse des déductions fiscales sur les primes d’assurance-maladie est préconisée par le canton parmi d’autres mesures destinées aux personnes physiques.

Vaud

Une initiative « Une baisse d’impôts pour la classe moyenne », acceptée par le Conseil d’Etat, prévoit des déductions fiscales supplémentaires pour les primes d’assurance-maladie obligatoire.

Jura

Pour ce canton « l'augmentation des déductions pour primes d'assurance maladie garantissent que les charges de la réforme soient réparties de façon équilibrée et que les entreprises et les actionnaires fournissent eux aussi une contribution appropriée, tout en accordant des baisses d'impôt aux personnes physiques dans leur ensemble. »

L’augmentation de la déduction pour primes maladie est un projet financièrement supportable et humainement nécessaire à l’heure des grandes réformes fiscales. Son coût serait d’ailleurs moindre que celui résultant d’un plafonnement des primes voulu par la gauche. Le débat actuel sur RFFA (anciennement PF 17) se concentrant autour de la problématique des coûts de la santé, l’UDC demandera jeudi le renvoi de son projet de loi sur la hausse des déductions fiscales sur les primes maladie à la Commission fiscale, pour être traité avec RFFA.

(Communiqué de presse de l'UDC-Genève du 29 octobre 2018)

Pour plus d’informations :

Stéphane Florey, député, auteur du projet de loi

Céline Amaudruz, présidente et conseillère nationale

Au-dessus d'Anières

Au-dessus d'Anières


26/10/2018

Le minaret qui sauve

Je viens de recevoir un mail qui me signale que mon blog a huit ans. En vérité, il s'agit de mon premier blog que j'avais lancé sur Overblog. Il est toujours en ligne, même si je n'ai plus rien publié depuis longtemps. Voici une de mes notes de l'époque:

En plein désert du Sinaï se trouve le monastère de Sainte-Catherine, selon la légende au lieu même ou Moïse a vu le buisson ardent. Ce buisson se trouve toujours là au même endroit, bien vert comme j’ai pu le constater moi-même, ce qui constitue un véritable miracle, plus de 3'000 ans après le passage de Moïse à cet endroit.

Les moines orthodoxes qui vivent dans ce plus ancien monastère du monde toujours habité depuis sa fondation par Justinien au VIe siècle avaient trouvé une astuce pour se protéger des attaques des armées musulmanes à partir des années 630 : Ils ont construit une mosquée avec un minaret à l’intérieur de l’enceinte fortifiée du monastère !

La Suisse, quant à elle, n’a pas besoin de construire des minarets pour se protéger contre les attaques musulmanes. Son droit de fixer dans sa constitution l’interdiction de leur construction a récemment été reconnu par la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH).

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Monastère Sainte-Catherine du Sinaï

Monastère Sainte-Catherine du Sinaï


20/10/2018

Conseil municipal: mon intervention du 17 octobre 2018

La résolution que nous traitons à présent souhaite que nous soutenions la demande adressée au Conseil fédéral d’octroyer le pavillon suisse au bateau Acquarius. Je ne m’arrête pas ici à la problématique juridique et à l’impossibilité d’accepter cette demande pour des raisons formelles et matérielles. Non, je veux plutôt parler du problème de fond dont l’Acquarius, en vérité, fait entièrement partie: A faire croire qu’il y a un sens à se lancer à la traversée de la méditerranée, alors que c’est extrêmement dangereux, voire suicidaire. Les gens ne se mettent pas dans des bateaux pour arriver en Italie, mais en réalité ils embarquent directement dans des canots de sauvetage. Les passeurs leur donnent des gilets de sauvetage, puis ils contactent le bateau Acquarius pour l’avertir d’un naufrage imminent. Entretemps, les Africains sont en train d’attendre les secours qui viennent. Ils connaissent les dangers, comme notre conseiller national Yves Nidegger a pu le constater lors de plusieurs voyages au Niger où passent les gens qui veulent traverser le désert pour arriver aux côtes méditerranéennes et se mettre à l’eau. Ils font néanmoins le voyage, car leurs familles ont vendu des champs pour le leur financer. Ils se sentent investis d’une mission qui consiste à arriver en Italie dans l’espoir de pouvoir y travailler au noir - c’est ce qu’ils disent - et ainsi gagner beaucoup plus que dans leur pays d’origine. Ils savent que la majeure partie de ceux qui se lancent arrivent à destination - un million d’immigrés arrivés en Italie en 20 ans avec la perte de 25’000 personnes en même temps - et il le font donc dans la conviction de ne pas être touché personnellement par le destin.

Il y a aujourd’hui 1,2 milliards de personnes qui vivent en Afrique grâce à la lutte contre la mortalité infantile. Selon les prévisions de l’ONU, il y aura le double, c’est-à-dire 2,4 milliards en 2050 et 4,5 milliards à la fin de ce siècle. Il y aura donc encore du monde à tenter sa chance. En donnant le pavillon suisse à l’Acquarius, on inciterait quand-même directement une partie de ceux qui se lancent au suicide. Il s’agirait donc d’une infraction pénale au vu du droit suisse.

Bien entendu, comme tout le monde, nous sommes sensibles de voir tous ces pauvres gens et même des femmes et des enfants se noyer. Nous exigeons donc de nos autorités d’envoyer un message clair aux Africains. Nous voulons qu’elles leur disent: «Ne risquez pas votre vie en vous lançant en pleine mer sur des canots de sauvetage, car il n’y aura personne qui vous sauvera, mis à part la marine libyenne pour vous ramener en Libye.

Et pourtant, même la gauche commence à se questionner. Pour preuve un récent article dans la revue Marianne. Faut-il accueillir tout nouvel arrivant, sous peine d’être traité de raciste, mais devons-nous aussi nous garder de lui imposer notre culture, sous peine là aussi d’être traité de racistes? Est-ce que quiconque s’interroge est à l’extrême droite, tandis que, pendant ce temps l’extrême droite, la vraie, progresse inexorablement, se demande le journaliste français. En Suisse, bien entendu, la situation est différente, car nous n’avons pas d’extrême droite jusqu’à présent.

Et qu’est-ce que nos paysans en faillite, nos chômeurs de longue durée, nos jeunes soi-disant surdiplômés sans emploi, nos 20’000 personnes à Genève inscrites à l’Hospice général nous disent? Bien sûr, vous de la gauche - vous transmettrez M. le président - vous ne voulez pas les entendre. Mais ils nous crient leur souffrance. Nous les entendons gémir: «Et qu’est-ce qu’on fait pour nous pendant ce temps-là?»

L’UDC ne veut plus de cette culture de la mort, favorisé par l’Acquarius qui est même devenu son symbole. Nous votons donc non à l’incitation au suicide des jeunes africains, à cette résolution qui favoriserait la traite humaine. Nous vous invitons aussi, Mesdames et Messieurs les Conseillers municipaux, à la rejeter massivement.

Juste encore un mot sur la compétence de la Ville de Genève de traiter cette résolution. Madame Sandrine Salerno a refusé à juste titre de délibérer d’un impôt cantonal. A plus forte raison, il faut laisser à la Confédération de traiter les questions qui relèvent de sa seule compétence.

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Y a-t-il un sens à se lancer à la traversée de la méditerranée?

Y a-t-il un sens à se lancer à la traversée de la méditerranée?



17/10/2018

« On ne touche pas à l’arbitre ! »

Les récentes et violentes agressions verbales et physiques à l’égard des arbitres ont poussé ces derniers à faire grève. Face à la hausse de la violence sur les terrains, les campagnes de prévention doivent être complétées par un renforcement des sanctions pénales contre les auteurs d’atteintes aux arbitres, comme le demande la résolution du député Christo Ivanov déposée ce jour.

Les arbitres jouent un rôle social évident. Malgré ce rôle, l’engagement altruiste des arbitres n’est pas suffisamment reconnu en Suisse surtout quand il s’agit de les protéger face aux violences. Avec le manque de respect et les violences de joueurs ou de spectateurs dont ils sont parfois l’objet, le risque est aussi d’assister à une baisse des vocations. En France, l’arbitre est considéré comme chargé « d’une mission de service public » et les atteintes dont il peut être la victime dans l’exercice ou à l’occasion de sa mission sont réprimées par des peines aggravées.

Aujourd’hui, les voies de fait contre les arbitres, les lésions corporelles simples et les menaces ne sont pas poursuivies d’office. En prévoyant leur poursuite d’office, comme le demande la résolution, la poursuite pénale s’en trouvera simplifiée, ce qui aura un effet dissuasif sur les auteurs potentiels d'actes de violence. Enfin, le durcissement des sanctions demandé contre les auteurs d’atteintes aux arbitres dans l’exercice de leur mission complètera efficacement les diverses campagnes de prévention.

(Communiqué de presse UDC-Genève du 16 octobre 2018)

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L'arbitre Olivier Thual en pleine action

L'arbitre Olivier Thual en pleine action


Pour tous renseignements :

Christo Ivanov, député, auteur de la résolution

Céline Amaudruz, présidente et conseillère nationale

16/10/2018

PR-1320 : Non à deux millions pour paralyser la Ville !

2,3 millions : tel est le montant demandé par le Conseil administratif pour paralyser les quartiers de Sécheron et de Vermont-Vidollet en les faisant passer en zone 30. Les groupes UDC et MCG s’opposent d’entrée à cette dépense inconsidérée et réclament le débat immédiat sur la PR-1320.

La Ville perd de son attrait. Fruits d’une idéologie anti-voiture de gauche, les multiples contraintes et autres chicanes à l’encontre des automobilistes asphyxient les commerces du centre-ville. Les centres commerciaux situés en périphérie ou en France voisine attirent de plus en plus de clients, séduits par les prix avantageux mais également par les facilités d’accès dont disposent ces temples de la consommation.

Faire passer un quartier, puis un autre en zone 30 n’est pas anodin. La multiplication de secteurs entiers de la ville en zone 30 entraîne un report de la circulation inter-quartiers sur des grands axes saturés. Enfin, la zone 30 complique également le travail des pompiers, policiers et ambulanciers contraints de slalomer dans des rues disposant de contours très serrés.

(Communiqué commun des sections UDC et MCG en Ville de Genève)

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Complication en vue

Complication en vue


Pour tous renseignements :

Pierre Scherb,  chef de groupe UDC

Daniel Sormani, chef de groupe MCG

Eric Bertinat, UDC, président du Conseil municipal

Amar Madani, MCG, membre du Bureau du Conseil municipal

15/10/2018

Les plaisirs de faire des sites internet

Les plaisirs de faire des sites internet Lorsque j’ai rencontré la semaine passé un conseiller municipal à l’ONU, il m’a confié la devise de son père, ingénieur civil de profession. «J’ai beaucoup de hobbies et un d’eux me rapporte de l’argent.» Le travail n’est donc pas seulement la santé, mais il peut aussi faire plaisir. Le juriste indépendant que je suis peut donc aussi avoir du plaisir à exercer sa profession. Par ailleurs, le droit est vraiment une vocation. Il doit néanmoins s’occuper d’autres questions en rapport avec le management d’une PME. L’une d’elle est de tenir un site internet pour présenter son cabinet juridique. Et c’est là qu’il découvre un hobby qui peut aussi rapporter (un peu) d’argent. Au lieu de confier la confection de son site internet à une entreprise spécialisée, il le fait lui-même et se spécialise en même temps dans ce domaine. Au fil du temps, il y a plusieurs sites que j’ai fait tout seul, voire en collaborant avec d’entreprises spécialisées. Je vous invite par la présente à faire leur connaissance (il y en a qui ne sont plus tenus à jour suite à leur reprise par d’autres personnes):

André Reymond
André Reymond

Conseil des Anciens
Conseil des Anciens

Julian Fashion
Julian Fashion

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14/10/2018

Canonisation de saint Paul VI et saint Oscar Romero

Le pape François a procédé aujourd’hui à deux canonisations importantes. Le premier des canonisés est le bienheureux pape Paul VI que nous présentons dans cet article.

Né Giovanni Battista Montini en 1897, il fut pape durant une quinzaine d’années. Il est le pape de l’ouverture du catholicisme aux exigences des temps modernes, en instaurant notamment la langue vernaculaire (le français pour les Suisses romands) dans la liturgie.

Sous son règne, le dialogue interreligieux se développe. Son affirmation que l'Église doit demander pardon pour les offenses qu'elle a commises dans le passé, demande faite par le pape Jean-Paul II, fait de lui un des papes les plus importants du dernier millénaire. Les fidèles catholiques sont donc heureux de cette canonisation qui contribuera largement à l’amplification de tous les progrès apportés par le concile Vatican II.


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Le saint pape Paul VI

Le saint pape Paul VI


12/10/2018

Ecole de rédaction: remise de diplôme à Madeleine Scherb

Je suis infiniment ravie d’avoir enfin terminé mon école de rédaction. Pour moi qui devais envoyer 20 devoirs à corriger à ma tutrice de l’Ecole de rédaction, Sylvie Gobeil, il fallait l’accepter. Je ne pensais pas atteindre cet objectif. C’est l’aboutissement d’un lourd combat entre devoirs et lecture de la documentation fournie par l’école, il faut y donner de son énergie et de son temps. C’est mon cher mari qui a su ce qu’il me fallait en m’inscrivant à ce cours, un beau cadeau qu’il m’a donné, je lui dis merci. Il est si beau, Dieu merci, j’ai réussi mon école de rédaction! Incroyablement heureuse et très à l’aise, je suis satisfaite de l'obtention de mon diplôme. J’ai à nouveau une bonne raison de devenir écrivain, qu’est ce je peux demander de plus, franchement. Je crois bien que j’ai trouvé mon créneau, donner naissance à un livre. C’est une quête que je poursuis.

Et le diplôme:

11/10/2018

Les dealers de Genève et l’interdiction de pénétrer la région genevoise

La lutte contre le deal de rue se fait de plus en plus pressante. Il y a une année, la Tribune de Genève lui avait consacré une série d’articles. Elle avait alors mentionné que 300 personnes d’origine africaine (en réalité surtout des Guinéens et Sénégalais) qui s’adonnait à cette sinistre activité. Devant l’ampleur du phénomène et l’apparente inactivité de la police, un «militant d’extrême gauche » (TdG de ce jour), Fernand Melgar, avait exprimé son indignation. Plus récemment, le conseiller national Benoît Genecand avait dénoncé la faillite de la politique sécuritaire du deal de rue.

Sachant que tous ses «petits» dealers sont des millionnaires chez eux (en francs CFA) où ils construisent des immeubles de plusieurs étages, on ne s’étonne pas de la persistance de ce trafic, d’autant plus que nos prisons suisses sont plutôt perçues par eux comme des camps de vacances.

Ce qui étonne cependant est que nous n’entendons pas plus souvent parler d’interdiction de pénétrer la région genevoise. Il s’agit d’un moyen mis à disposition des autorités cantonales par le droit fédéral (art. 74 de la loi sur les étrangers). Cette mesure vise notamment à lutter contre le trafic illégal de stupéfiants. Le Tribunal fédéral a par ailleurs déjà eu l’occasion de dire que la mesure est apte à atteindre l’objectif poursuivi, car elle empêche au délinquant de commettre de nouvelles infractions dans la région zurichoise, en l’occurenc. Elle respecte le principe de la proportionnalité (2C_338/2015).

Pourquoi les autorités genevoises ne l'appliquent-elles pas plus souvent cette interdiction de pénétrer la région genevoise?

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Plantation de Haschisch au Maroc

Plantation de Haschisch au Maroc


06/10/2018

Ecole de rédaction: remise du diplôme à Pierre Scherb

Imaginez le plaisir de voir votre travail publié. L'École de rédaction vous enseignera comment écrire de façon créative et comment tirer profit de vos écrits. Vous pouvez réussir comme écrivain. Nous le garantissons !

La page d'accueil de l'Ecole de rédaction

La page d'accueil de l'Ecole de rédaction


Avec une certaine pratique de l’écriture, voire une pratique de l’écriture certaine, mais pas toujours en français, je me suis laissé tenter par cette approche vue sur le site internet de l’Ecole de rédaction canadienne. Ce qui m’a plu avant tout était la relation personnelle développée avec mon «tuteur» en écrivant pour mon plaisir… mon profit.

Vingt leçons plus tard, je peux confirmer que ces affirmations se sont entièrement vérifiées. Ma tutrice n’était personne d’autre que l’auteur Sylvie St-Laurent. Elle ne s’est pas seulement fait un nom au Canada, mais a encore été publiée en France.

Je viens de recevoir mon diplôme. J’en suis très fier, même si l’école a abandonné ses cours en français et ne fonctionne dorénavant qu’en anglais.

Le diplôme de l'Ecole de rédaction

Le diplôme de l'Ecole de rédaction


05/10/2018

Pourquoi la Police municipale de la Ville de Genève ne chasse-t-elle pas les dealers?


La police municipale est chargée de poursuivre les infractions aux art. 115 à 120 de la loi fédérale sur les étrangers. La vente de drogues est une activité lucrative sans autorisation. Beaucoup de vendeurs de drogues ne sont pas autorisés à séjourner en Suisse. La police municipale peut donc les contrôler pour s’assurer qu’ils n’enfreignent pas l’interdiction de pénétrer la région genevoise, interdiction déclarée conforme à la loi par le Tribunal fédéral. Si notre conseiller national Benoît Genecand déclare que la politique de sécurité contre le deal de rue est en faillite, il me semble donc que vous êtes aussi concerné. J’aimerais ainsi savoir ce que la Police municipale fait pour éloigner les 300 dealers installés illégalement à Genève et qui terrorisent ouvertement la population ?

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(Conseil municipal: ma question orale du 13 septembre 2016 adressée au magistrat Guillaume Barazzone)

Une petite victime

Une petite victime


02/10/2018

Occupez-vous de la sécurité en Ville, M. Barazzone !

Des femmes passées à tabac, des dealers qui occupent nos parcs ou des mendiants à chaque coin de rue : avec 129,9 infractions au code pénal pour 1000 habitants en 2017, notre municipalité connaît un taux de criminalité supérieur à celui de n’importe quel canton suisse. Plutôt que de s’atteler à reprendre en main la lutte contre la délinquance, le Conseiller administratif en charge du Département de l’environnement urbain et de la sécurité propose d’encourager l’immigration illégale intercontinentale en exigeant que la Confédération accorde un pavillon suisse à l'Aquarius.


En accordant le pavillon suisse à un navire de propriété allemande, destiné au transport de migrants illégaux, affrété par une ONG française et doté d’un équipage étranger, la Suisse mettrait à mal sa neutralité en dictant la politique migratoire d’autres Etats, dont certains ont clairement manifesté leur refus d’accueillir ces migrants illégaux.


Soutenir l’Aquarius reviendrait à provoquer un appel d’air en faveur de l’immigration illégale et de l’exploitation d’êtres humains par les passeurs. Des esclavagistes des temps modernes qui exigent jusqu’à 5'000 euros de leurs victimes qu’ils chargent sur une embarcation de fortune, la conduisent dans les eaux internationales et annoncent par radio un naufrage imminent. L’Aquarius, patrouillant à la limite des eaux territoriales libyennes, refuse de reconduire les migrants africains en Afrique, comme le dit le responsable des recherches et des opérations de secours du bateau: « La Libye n'est toujours pas reconnue comme un pays sûr, donc nous ne reconduirons personne là-bas, sauf si les migrants le décident ».


L’arrivée sur le sol européen est source de déception pour ces migrants, auprès de qui la riche Europe avait été présentée comme un Elodrado. Filant vers les Etats prospères du nord, attirés par une culture de la bienvenue développée par des élites, ces migrants économiques illégaux ne peuvent dans les faits pas prétendre à la qualité de réfugié et finissent déboutés du droit d’asile, errant dans nos parcs à attendre « l’heure du deal ». Pour quelle plus-value en matière de sécurité municipale, M. Barazzone ?

Communiqué de presse UDC-Ville de Genève et MCG Ville de Genève du 2 octobre 2018


Pour tous renseignements :

Pierre Scherb,  chef de groupe UDC
Daniel Sormani, chef de groupe MCG
Eric Bertinat, UDC, président du Conseil municipal
Amar Madani, MCG, membre du Bureau du Conseil municipal

Zéro plus-value en matière de sécurité municipale

Zéro plus-value en matière de sécurité municipale