Le Musée d’ethnographie de Genève (MEG) est en train de préparer une exposition sur les Iindiens de l’Amazonie. Afin de aux Genevois l'envie de se rendre à cet événement, il a chargé son photographe Jonathan Watts de photographier les objets présentés et de les montrer au public sous une forme quelque peu méconnaissable.
30/04/2016
29/04/2016
Présentation du Conseil des Anciens
Réfléchir, se concerter et faire des propositions - se sont les trois activités que l’association Conseil des Anciens propose à toute personne âgée de plus de 55 ans. Son but pricipal est de valoriser et promouvoir la place des personnes de plus de 55 ans dans la société et favoriser leur participation à la vie active des communautés locales.
Je préside le Conseil des Anciens depuis bientôt une année. Je suis fier de cette association qui travaille pour le bien de nos aînés en leur permettant de réfléchir aux problèmes de notre société et d’y apporter des solutions. Elle fournit une aide précieuse à nos Autorités, avec lesquelles nous avons des contacts réguliers, par exemple l’année dernière, nous avons correspondu avec les Conseillers d’Etat Serge Dal Busco et Mauro Poccia, avec la Maire de la Ville de Genève Ester Alder et le Conseiller administratif Rémy Pagany. En outre, une pétition du CdA vient d’être accepté par le Conseil municipal de la Ville de Genève.
28/04/2016
Pour votre plaisir: les photos du 28 avril 2016
Voici quatre photos choisies pour vous:
Quatre photos insolites à contempler, c’est ce que nous vous proposons aujourd’hui. Nous commençons par une ruelle idyllique, puis un jeune homme en plein travail dans son atelier. Nous enchaînons avec une vue sur les palmiers depuis la mer et terminons nos contemplations avec une image de verres de vin rouge et d’une bouteille.27/04/2016
Le nouveau droit d’auteur ne fait pas l’unanimité
Les cinq sociétés de gestion suisses ProLitteris, la Société suisse des auteurs (SSA), la SUISA, Suissimage et Swiss Perform ont exprimé leurs désaccord avec le nouveau droit d’auteur par le biais de leur union faîtière Swisscopywrights. Elles exigent des améliorations de plusieurs aspects de ce projet. Elles s’opposent surtout au renforcement prévu de la surveillance des sociétés de gestion par l’Etat ainsi qu’à l’accroissement de la réglementation qui en résulterait. Pour Swisscopywright, ces points contenus dans le nouveau droit d’auteur sont disproportionnés, problématiques du point de vue du droit constitutionnel et engendrerait des coûts inutiles.
Les arguments principaux de Swisscopywright
- Les institutions de droit privé travaillent à la satisfaction de leurs membres;
- Une étude démontre le bon travail des sociétés de gestion;
- Une sécurité juridique plus rapide grâce à une procédure d’approbation des tarifs simplifiés;
- Adapter le droit à l’ère d’internet.
26/04/2016
Pour votre plaisir: les photos du 26 avril 2016
Voici quatre photos choisies pour vous:
La première est une rangée de palmiers au bord de la mer. La deuxième est un détail d’un arbre en fleur. La troisième photo a été faite dans un passage bien illuminé. Et la quatrième finalement est une route traversant une forêt. Laquelle de ces quatre photos préférez-vous?
La première est une rangée de palmiers au bord de la mer. La deuxième est un détail d’un arbre en fleur. La troisième photo a été faite dans un passage bien illuminé. Et la quatrième finalement est une route traversant une forêt. Laquelle de ces quatre photos préférez-vous?
25/04/2016
Le marché romand des livres n’est pas la panacée de ses auteurs
Le Salon du livre ouvrira ses portes dans deux jours - c'est l’occasion de faire un petit bilan.
Le marché mondial des livres
L’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) vient ainsi de discuter de l’industrie de l’édition à l’ère de l’essor du commerce en ligne et de l’édition électronique. Malgré les craintes suscitées par ces changement, le marché de l’édition a pu se maintenir. Il vaut toujours 114 milliards d’euros au niveau mondial.
La situation en Suisse romande
La Tribune de Genève rappelle dans son édition de ce jour que la situation n’est pas aussi rose en Suisse romande. Le seul auteur qui vit de sa plume et même très bien, étant devenu multimillionnaire avec sa Vérité sur l’affaire Harry Quebert, s’appelle donc Joël Dicker. En revanche, tous les autres auteurs doivent se contenter d’un revenu accessoire en écrivant. Ils sont surtout enseignants (Anne Cuneo, Jacques Chessex, Georges Haldas), comédienne (Anne-Frédérique Rochat) ou nègre en écrivant des autobiographies pour millionnaires (Nicolas Verdan). Et il ne s’agit pas d’un problème de manque de protection de leurs droits d’auteur. Le marché en Suisse romande n’est tout simplement pas assez grand.
24/04/2016
Ma première participation à une course à pied après 32 ans
Les Conseillers municipaux de la Ville de Genève ont gagné la course des conseillers à Bernex haut la main. Les trois premiers coureurs Joris Vaucher, Amar Madani et Sylvain Thévoz occupent la première, quatrième et sixième place respectivement. Natacha Buffet-Desfayes est la première femme avec 19 minutes et 4 secondes jusqu'à l'arrivée. Un grand BRAVO pour ce formidable exploit. Joris Vaucher a même établi un nouveau record en bouclant les 4 kilomètres en 14 minutes 13 secondes.
J'ai terminé la course à la 36ème place
Mon ambition personnelle était de terminer la course dans les 24 minutes. Hélas, le chronomètre à l’arrivée affichait bien 27 minutes 30 secondes au moment de mon passage. Je suis donc loin de ma forme de 1984, lorsque j’ai terminé le marathon de Zurich en 3 heures 35 minutes. J’ai ainsi encore un peu de marge pour l’année prochaine, au moins si je continue mon entraînement repris après mon inscription pour ma première course à pied après 32 ans, soit le 23 février 2016.23/04/2016
Les Conseillers municipaux courent à Bernex
Comme chaque année, la commune d’origine du président du Conseil municipal, Carlos Medeiros, organise sa course « A travers le côteau ». Le temps n’est malheureusement pas au rendez-vous avec une légère pluie et une température avoisinant les 12° C. Qu’importe ! Après l’élite du monde entier et les coureurs locaux, il y aurait tout de même une cinquantaine de Conseillers municipaux et Députés au Grand conseil qui s’aligneront pour disputer la course de cette année. Vont courir pour la Ville de Genève Natacha Buffet-Desfayes, Adrien Genecand, Jannick Frigenti Empana, Christina Kitsos, Amar Madani, Sylvain Thévoz, Joris Vaucher et Pierre Scherb.
L’année dernière, la course a été dominée par Sylvain Thévoz qui a bouclé les 4 km en 16 minutes 20 secondes, ce qui lui a permis de se retrouver à la 6ème place précédé seulement par des coureurs de Chêne-Bourg, Avussy, Collex-Bossy, Plan-les-Ouates et Meyrin. Va-t-il réussir à répéter son exploit ? Rendez-vous vous est donné à 16 h pour le constater personnellement sur place à Bernex.Le gagnant de l'année dernière
22/04/2016
La conférence internationale de l’OMPI sur le marché mondial des contenus numériques
Le constat de Francis Gurry est clair: le numérique n’a pas fini de transformer notre monde. Une sorte d’économie de partage s’est développée avec Uber et Airbnb qui vient d’ailleurs d’être interdit à Berlin. Face à des changements majeurs depuis plus de 10 ans, l’OMPI examine dans sa conférence «les tensions existants entre un meilleur accès et une chaîne de valeur économique durable», en s’intéressant aux meilleures pratiques et en analysant les problèmes par secteur.
Les sujets abordés
Sont ainsi examiné l’industrie musicale, l’industrie cinématographique, l’industrie de la radiodiffusion et l’industrie de l’édition. Lors des deux dernières sessions, l'OMPI abordera l'infrastructure numérique, la gestion collective et les répercussions pour le marché et les décideurs.21/04/2016
Le marché mondial des contenus numériques
Francis Gurry, directeur général de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) a décidé d’organiser une conférence de deux jours et une soirée sous ce titre « Le marché mondial des contenus numériques ».
Il l’a ouvert ce matin, après la vision du film Soleil trompeur du metteur en scène russe Nikita Mikhailov, en sa compagnie, 22 ans après sa première présentation en France, le 21 mai 1994.
La projection du film Soleil trompeur
Il l’a ouvert ce matin, après la vision du film Soleil trompeur du metteur en scène russe Nikita Mikhailov, en sa compagnie, 22 ans après sa première présentation en France, le 21 mai 1994.
12/04/2016
Peut-on faire des hyperliens sans transgresser le droit d’auteur?
Les bloggeurs aiment bien les hyperliens qui leur permettent de rapidement diriger les lecteurs vers du contenu sur un autre site internet (lien externe), voir sur le même site (lien interne). La majorité des propriétaires de sites les aiment aussi, car ils permettent de faire connaître leur contenu à un plus large public que celui qu’ils atteignent tout seul. Peu se posent la question de savoir si leur application est licite. Ce n’est pas le cas de Steve Reusser qui a voulu avoir le cœur net. Son œuvre «L’admissibilité des hyperliens en droit d’auteur» est résumé sur internet par Pascal Fehlbaum.
Le principe de l'admissibilité des hyperliens
Le principe en droit suisse est l’admissibilité des hyperliens, sauf abus. Il faut faire la distinction entre des liens simple qui dirigent vers la page d’accueil et de liens profonds qui dirigent vers toute autre page. La transclusion, c’est-à-dire l’inclusion d’un passage dans son propre site sans laisser apparaître le lien constitue en revanche une violation du droit d’auteur, selon Me Fehlbaum, tandis que Steve Reusser n’y voit pas de problème.
11/04/2016
La réponse de Sami Kanaan à ma question orale du 5 avril 2016
Merci pour votre question, Monsieur le Conseiller municipal. Il y a une certaine confusion en la matière. C’est le comité du marathon de Genève, des gens de chez nous, dont d’ailleurs le président du Grand conseil actuel Monsieur Jean-Marc Guinchard, à l’époque, était très engagé dans le sport en général et la course à pied en particulier, qui est venu voir mon prédécesseur en matière de sport, Monsieur Tornare, et qui disait que l’organisation bénévole du marathon n’arrivait plus, puisque le marathon, c’est une énorme logistic, une énorme infrastructure, inscriptions, sécurité, accueil. Ils ont demandé et obtenu le droit de confier l’organisation opérationnelle du marathon, sous la responsabilité du comité du marathon de Genève, à une entreprise spécialisée dans les événements sportifs et ont choisi cet agence.
Le succès est au rendez-vous*
Je dois dire que, depuis, le succès est au rendez-vous, parce que le marathon de Genève, malgré son charme historique, était en train de péricliter, on dit souvent en termes de passation et que, depuis que cet agence a pris le marathon, sous l’égide du comité d'organisation, sous sa responsabilité, il a un succès impressionnant. Il faut savoir qu’il y a une énorme concurrence de ce marathon à l’échelle européen et mondial et qu’il est difficile de régater, en quelque sorte. Genève offre évidemment un charme exceptionnel en terme de parcours et géographie et cette agence, depuis qu’elle a repris l’organisation de ce marathon. Le nombre d’inscriptions augmente de manière substantielle chaque année et on figure maintenant vraiment sur la carte des marathons très appréciés, parce que les conditions d’accueil sont, je dirais, particulièrement bien fait. Les gens sont très heureux. Il y a plusieurs courses, le marathon, le semi-marathon, il y a la course semi fauteuil qui est très populaire, donc ça marche très très bien. Quant à DataSport, ils prennennt uniquement en charge non pas l’organisation, mais la billetterie. Ils n’organisaient pas le marathon. Il se contentaient d’envoyer tout à l’organsiation. L’agence organise tout sous l’égide du comité d’organisation du marathon de Genève, en toute transparence.
Bénéfice du marathon pour Genève*
* sous-titre mis par Pierre Scherb
10/04/2016
«Les musulmans vénèrent aujourd’hui leur secte plus qu’ils n’adorent Dieu»
Nasser Dashti ne mache pas ses mots lorsqu’il répond aux questions du journaliste de la télévision koweïtienne Al-Shahed. Il ajoute qu’ils vénèrent leur religion plus que Dieu.
L’ancien testament
Cette attitude n’est pas nouvelle. Tout au contraire, elle est humaine et commune à toutes les nations, à toutes les religions. David déjà reconnaît qu’il avait pêché et qu’il avait fait ce qui était mal aux yeux de Dieu (Ps 51:6).
Le nouveau testament
Jésus s’est dressé contre les pharisiens parce qu’ils avaient cette même attitude que Nasser Dashti reconnaît aujourd’hui chez les musulmans. Il leur reprochait de dire: «Celui qui dira à son père ou à sa mère: Ce dont j’aurais pu t’assister est une offrande à Dieu, n’est pas tenu d’honorer son père ou sa mère» et d’annuler ainsi la parole de Dieu d’honorer son père et sa mère au profit de leur propre tradition.
Conclusion
Il n’y a rien de nouveau sous le soleil.
09/04/2016
Est-il possible de céder une part sur la plus-value à l’achat d’un restaurant?
Un chef cuisinier est sollicité pour prendre la gestion d’un établissement à cause de son expérience et son savoir-faire dans ce domaine. Fort de la conviction de pouvoir apporter beaucoup à son futur employeur, il souhaite négocier une participation à la plus-value que l’établissement aurait en cas de revente. Il demande ainsi sur le site juridissimo.com un éclaircissement sur les possibilités qui s’offrent à lui pour débuter une négociation?
La situation juridique
Il est fréquent qu’un employé bénéficie d’une participation au résultat de l’exploitation. Ces formes de rémunération sont complexes et il sied de les négocier avec la plus grande attention. Il est possible de prévoir une part aux bénéfices, au chiffre d’affaires ou des primes déterminées d’une autre manière (art. 322a CO).
Conseil
La forme choisie d’une part sur la plus-value à l’achat d’un restaurant n’est pas possible en droit suisse (et probablement en droit français non plus). Dans la mesure où l’événement de la vente est dépendant du hasard, je ne pourrais pas raisonnablement la recommander à ce chef cuisinier, même si cette forme de rémunération était légalement possible en France.08/04/2016
Présentation du Forum Droit et politique
Le 26 février 2016, nous avons lancé le Forum Droit et politique. Il s’agit d’un outil qui permettra de traiter toutes les questions juridiques qui vous taraudent. Un grand espace y est réservé pour les objets politiques notamment de la Ville de Genève, mais exceptionnellement aussi du Canton de Genève, de la politique nationale ou internationale.
Invitation:
N’hésitez donc pas à vous y rendre, à vous inscrire et à participer.07/04/2016
Conseil municipal du 5 avril 2016: ma question orale adressée au magistrat Sami Kanaan
J’ai reçu l’image du dernier décompte de la carte de crédit d’une personne qui m’écrit: «A ma grande surprise, ce qui m'arrive quasiment jamais, je fus débité d'un montant que je n'arrivais pas à identifier. En effet le 14 mars passé sous la description "Njuk*,Bidart,France" un montant de CHF 68.35 me fut débité. Ayant aucune idée de ce qu'une entreprise française venait faire sur mon décompte je décidai de faire opposition.
Quelques jours plus tard je réalisai de quoi il s'agissait et levai mon opposition. En effet, le Marathon de Genève est visiblement géré par une société française depuis deux ans. Ainsi tout les coureurs qui comme moi prennent part à cette compétition "genevoise" se voient débiter de l'argent par une société française.
Auparavant cette compétition était en ce qui concerne les inscriptions et le chronométrage gérée par l'entreprise suisse Datasport SA. Cette dernière gère la quasi totalité des grandes compétitions suisses (par exemple, Morat-Fribourg, patrouille des glaciers, la course de l'escalade, les 20km de Lausanne, etc...). Je trouve triste que nous ayons à externaliser cela vers la France alors que nous avions une belle option helvétique auparavant.»
Ma question:
Dans la mesure où la Ville de Genève cofinance le Marathon de Genève, j’aimerais savoir ce que vous entendez entreprendre pour faire en sorte que le Marathon de Genève soit à nouveau organisé par une société suisse?
La réponse du magistrat:
Le conseiller administratif Sami Kanaan répond pour l'essentiel que le Marathon de Genève est toujours organisé par une société suisse. Il mentionnera cette situation lors d'un prochain rendez-vous avec les organisateurs.
La page d'accueil du site internet du Marathon de Genève |
06/04/2016
Les socialistes n'ont aucune peine à dépenser l'argent des contribuables
Tout va bien en Ville de Genève. L’argent coule à flot, on n’a qu’à le dépenser. Des coupes modestes de 2,5 millions de francs dans le budget n’ont pas de raison d’être, car le Conseil administratif a présenté un budget excédentaire de 8,2 millions de francs! Tout au contraire, pour la gauche, il faut chercher de nouvelles dépenses. Le mot endettement, elle ne le comprend pas. Les chiffres sont pourtant clairs: La Ville de Genève a eu, fin 2014, des dettes à court, moyen et long termes à hauteur de Frs 1’500’000’000.-. Un signe d’alarme pour l’UDC pour qui chaque franc dépensé doit d’abord être gagné.
Dans leur recherche effrénée de nouvelles dépenses, les Conseillers municipaux du PS ont été particulièrement inventifs. Sous prétexte de la suppression du taux plancher de Frs 1,20 pour 1 €, ils se sont souciés des tournées des compagnies indépendantes, pourtant déjà largement subventionnées. Ils ont argué que le rayonnement desdites compagnies à l’étranger était compromis à cause de leur domiciliation en Suisse. Sylvain Thévoz a notamment mentionné Giles Jobin, Dorian Rossel, Oscar Gómez Mata ou Foofwa d’Imobilité, acteurs culturels vulnérables, selon lui, face aux coûts occasionnés par cette suppression du taux plancher.
Tout va très bien madame la marquise
La Commission des arts et de la culture (CARTS) a donc étudié cette exigence en forme de motion (M-1168 A), en commençant par l’audition du magistrat du département de la culture et du sport, par ailleurs aussi membre du parti socialiste. Quel n’était donc pas l’étonnement des commissaires de constater que ses troupes n’avaient pas jugé utile de le consulter avant le dépôt de leur motion. Tant le magistrat Sami Kanaan que les fonctionnaires qui l’accompagnaient étaient unanimes pour nier sa pertinence. La Ville de Genève ne joue qu’un rôle subsidiaire dans le financement des tournées, en y participant avec Frs 450’000.-, tandis que Pro Helvetia dépensait 31,4 millions de francs. S’y ajoute la Commission romande de diffusion des spectacles (CORODIS) qui vise à soutenir la diffusion de projets d’artistes romands à l’échelle nationale et internationale avec un budget de Frs 900’000.-. Le canton de Genève joue aussi un rôle non négligeable. Il participe à hauteur de Frs 711’870.- au rayonnement des artistes genevois, sans oublier l’apport de fondations privées.
Manque de bol pour Pascal Holenweg et compagnie, aucune institution culturelle n’avait encore alerté le Service culturel de la Ville au sujet d’un déficit lié à la problématique du franc fort. Des cas vraiment problématiques comme par exemple Gli Angeli qui a enregistré une perte de Frs 15’000.- pour les tournées 2015 avaient été réglés par une augmentation de la subvention.
Malgré ces éclaircissements qui auraient convaincu plus d’un, les Socialistes et avec eux la gauche irresponsable ont persisté dans l’erreur et ont voulu entendre les deux compagnies proposées par Sylvain Thévoz. La guigne continue: les responsables de Foofwa d’Immobilité ont rapporté un impact minime de la suppression du taux plancher. Pour eux, il a toujours été difficile de tourner aux niveaux national et international. Le problème de la cherté intrinsèque des spectacles est dû aux salaires suisses. S’il fallait faire quelque chose, ce serait plutôt alléger les contraintes administratives et éventuellement créer un fonds pour les tournées. Gilles Jobin, quant à lui, ne les a pas contredit non plus: avant la suppression du taux plancher, il était déjà difficile d’exporter les spectacles suisses.
La CARTS a donc donné à cette motion de la gauche la destinée qu’elle avait bien méritée: elle a refusé d’auditionner d’autres compagnies et l'a rejetée. Gageons que le Conseil municipal lui réservera le même sort.05/04/2016
Connaître l'EPU, structure en charge de la préparation des évaluations périodiques universelles
EPU, l'examen périodique universel (Universal Periodic Review, UPR en anglais) est un mécanisme unique du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies dont le but est d'améliorer la situation des droits de l'homme dans chacun des 193 États membres de l'ONU. Il s'agit donc d'un organe de l'ONU et ses travaux sont essentiellement interétatiques (voici par exemple comment préparer et soumettre un rapport national). Les ONG ont pourtant aussi leur rôle à jouer.
Au sein de ce mécanisme, les ONG ont diverses possibilités de participer et d'influencer le processus.
- Rencontrer les autorités pour faire part de leurs critiques concernant la situation des droits de l'homme dans le pays, ceci dans le cadre des consultations nationales organisées par l'Etat examiné, afin de rédiger son rapport.
- Soumettre leur propre rapport au Haut Commissariat aux Droits de l'Homme (HCDH) sur la situation dans le pays examiné.
Les contributions doivent être limitées à 2'815 mots pour les organisations individuelles et 5'630 mots pour les coalitions et doivent porter sur la situation des droits de l'homme depuis l'examen précédant. Ces informations seront inclues dans le résumé du HCDH produit par le Haut Commissariat qui fait partie des 3 rapports utilisés pour l'examen. Toutes les ONG peuvent participer avec ou sans statut ECOSOC, tels que défenseurs de droits l'homme, syndicats, groupes de femmes, etc.
Puisque les ONG n'ont pas le droit de prendre la parole pendant l'examen, elles peuvent faire du lobbying ou plaidoyer auprès des États à Genève, dans l'État examiné, ou auprès des ambassades, afin d'attirer l' attention de l'État concerné sur des thèmes spécifiques et obtenir que ces thèmes soient abordés lors du dialogue interactif sous forme de questions et recommandations. Les ONG peuvent chacune proposer 4 ou 5 questions et recommandations par thème. Les ONG doivent contacter les États susceptibles de s'intéresser à ces thèmes.
le rapport du groupe de travail est adopté par le Conseil des droits de l'homme en session plénière quelques mois après l'examen. Durant cette adoption d'une heure, 20 minutes sont allouées aux ONG à raison de 2 minutes chacune.
1) Participer aux consultations nationales tenues par l'État examiné;
2) Soumettre au HCDH un rapport sur la situation des droits de l'homme dans le pays;
3) Faire du lobbying auprès des autres États;
4) Prendre la parole durant l'adoption en session plénière du Conseil des droits de l'homme;
5) Veiller et contribuer à la mise en oeuvre par l'État examiné des recommandations de l'EPU.
Au sein de ce mécanisme, les ONG ont diverses possibilités de participer et d'influencer le processus.
1) Avant l'examen, les ONG peuvent:
- Rencontrer les autorités pour faire part de leurs critiques concernant la situation des droits de l'homme dans le pays, ceci dans le cadre des consultations nationales organisées par l'Etat examiné, afin de rédiger son rapport.- Soumettre leur propre rapport au Haut Commissariat aux Droits de l'Homme (HCDH) sur la situation dans le pays examiné.
Les contributions doivent être limitées à 2'815 mots pour les organisations individuelles et 5'630 mots pour les coalitions et doivent porter sur la situation des droits de l'homme depuis l'examen précédant. Ces informations seront inclues dans le résumé du HCDH produit par le Haut Commissariat qui fait partie des 3 rapports utilisés pour l'examen. Toutes les ONG peuvent participer avec ou sans statut ECOSOC, tels que défenseurs de droits l'homme, syndicats, groupes de femmes, etc.
Puisque les ONG n'ont pas le droit de prendre la parole pendant l'examen, elles peuvent faire du lobbying ou plaidoyer auprès des États à Genève, dans l'État examiné, ou auprès des ambassades, afin d'attirer l' attention de l'État concerné sur des thèmes spécifiques et obtenir que ces thèmes soient abordés lors du dialogue interactif sous forme de questions et recommandations. Les ONG peuvent chacune proposer 4 ou 5 questions et recommandations par thème. Les ONG doivent contacter les États susceptibles de s'intéresser à ces thèmes.
2) Pendant l'examen,
les ONG ne prennent pas la parole mais peuvent être présentes dans la salle.
3) Pendant l'adoption en session plénière,
le rapport du groupe de travail est adopté par le Conseil des droits de l'homme en session plénière quelques mois après l'examen. Durant cette adoption d'une heure, 20 minutes sont allouées aux ONG à raison de 2 minutes chacune.4) Après l'examen, le suivi:
les ONG peuvent diffuser largement les recommandations , surveiller la mise en oeuvre de celles-ci, initier un dialogue avec l'État examiné et informer le Conseil des droits de l'homme sur les progrès accomplis sur cette mise en oeuvre. A l'examen suivant, l'État sera évalué sur la mise en oeuvre des recommandations et sur la situation des.droits de l'homme dans le pays depuis l'examen précédant.En résumé,
la participation des ONG peut prendre 5 formes différentes:1) Participer aux consultations nationales tenues par l'État examiné;
2) Soumettre au HCDH un rapport sur la situation des droits de l'homme dans le pays;
3) Faire du lobbying auprès des autres États;
4) Prendre la parole durant l'adoption en session plénière du Conseil des droits de l'homme;
5) Veiller et contribuer à la mise en oeuvre par l'État examiné des recommandations de l'EPU.
04/04/2016
Exigences pour rédiger un certificat de travail
Généralités
Premier moyen pour un futur employeur d’apprécier la façon de travailler d’un candidat, le certificat de travail relève d’une importance capital. Il est souvent remis aux termes d’une relation contractuelle, mais l’employé peut en demander un à son employeur en tout temps. L’employeur a l’obligation de le lui fournir (une autre obligation est celle de protéger la personnalité de l'employé).
Notions indispensables
Le certificat de travail doit être reconnaissable, même si la mention «certificat de travail» ne soit pas indispensable. Il doit mentionner:
- l’activité et la fonction exercées au sein de l’entreprise;
- dates de début et fin des rapports de travail;
- l’appréciation de la qualité du travail effectué;
- l’appréciation de l’attitude de l’employé.03/04/2016
Arrêtez et sachez que je suis Dieu
Cette phrase simple s’oppose à nos agitations quotidiennes. Nous voulons faire ceci ou cela et courons dans tous les sens. Les uns se font sauter en bombe humaine, les autres courent après les richesses ou après la domination du prochain. Toutes ses occupations sont vaines, lorsqu’ils ne sont pas inspirées de Dieu. C’est le cantique qui nous le dit: «Arrêtez et sachez que je suis Dieu: Je domine sur les nations, je domine sur la terre.» (Ps 46,11).
La position d'Emmet Fox
Pour le mystique moderne Emmet Fox, c'est la plus merveilleuse phrase de la Bible, un résumé de la Bible entière. La dernière chose que nous voulons faire quand nous sommes soucieux et anxieux, c'est bien de nous arrêter. Cependant, au lieu de nous laisser entraîner par les événements, nous pouvons nous tourner vers Dieu et comprendre qu’il règne sur tout.
02/04/2016
Les photos du 2 avril 2016
Voici six photos choisies pour vous:
Commençons avec la brume sur la rivière et continuons, par contraste, un arbre et la plage. La troisième photo est des plus plaisants, c’est-à-dire des fleurs. Sur la quatrième photo, on voit des coquillages. Puis on voit des herbes et la plage sur la cinquième photo. La série se conclut par une photo de forêt et des montagnes.
Pour en voir d'autres, cliquez ici.
01/04/2016
Un poisson d'avril très spécial
Le poisson d'avril est une plaisanterie, un canular.
La Tribune de Genève nous apprends ainsi que des investisseurs chinois veulent acheter le Grand Théâtre et le transformer en loft de luxe. Cette année le 1er avril tombant sur un vendredi, il peut aussi s'agir plus prosaïquement du poisson servi à midi.Bon appétit!
Pour voir d'autres photos cliquez ici.
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