Et voici quelques photos de la commémoration de ce jour:
31/12/2012
Commémoration de la Restauration de la République
En 1798, occupée militairement, Genève est annexée à la France et devient chef-lieu et préfecture du département du Léman. Suite aux défaites de l'armée napoléonienne, les troupes françaises se retirent de la ville le matin du 30 décembre 1813. Les troupes autrichiennes arrivent à Genève dans l'après-midi, annonçant la restauration de l'ordre ancien. Le 31 décembre, une proclamation d'indépendance est préparée et un gouvernement provisoire est constitué. Genève retrouve son statut de République indépendante (Communiqué de presse de la chancellerie d'Etat).
Et voici quelques photos de la commémoration de ce jour:
Et voici quelques photos de la commémoration de ce jour:
29/12/2012
Les Genevois exigent le renvoi des étrangers criminels: le peuple doit avoir le dernier mot
6'000 Genevois ont signé l’initiative UDC pour le renvoi des étrangers criminels, soit à peu près le même pourcentage que dans le reste de la Suisse. C’est dire qu’ils ont marre d’être les dindons de la farce du laxisme des autorités et des lenteurs de leurs parlementaires. Cette caste s’intéresse apparemment beaucoup plus aux prochaines élections qu’à l’amélioration de la situation de leurs électeurs.
Les peines pécuniaires font la risée de la faune de pickpockets et de vendeurs de drogues. Les peines privatives de liberté ne leur font pas plus d’impression. Et il y a de quoi. Pourquoi devraient-ils craindre un séjour dans un établissement qui ressemble pour eux plutôt à un hôtel de vacances qu’à un pénitentiaire pour purger leur peine? On dirait que même MM. Pierre Maudet et Olivier Jornot n’y peuvent rien. Le peuple aura donc le dernier mot.
Les peines pécuniaires font la risée de la faune de pickpockets et de vendeurs de drogues. Les peines privatives de liberté ne leur font pas plus d’impression. Et il y a de quoi. Pourquoi devraient-ils craindre un séjour dans un établissement qui ressemble pour eux plutôt à un hôtel de vacances qu’à un pénitentiaire pour purger leur peine? On dirait que même MM. Pierre Maudet et Olivier Jornot n’y peuvent rien. Le peuple aura donc le dernier mot.
20/12/2012
La fin du monde, euh des Mayas
Une prophétie du peuple Maya aurait prédit la fin du monde pour ce 21 décembre. On n’apprend guère plus sur cette prophétie mystérieuse. A-t-elle été émise du temps de leur origine (3'000 à 4’000 ans av. J.-C. approximativement) ou à l’époque de leur disparition au début du Xe siècle ? Mystère.
Car il y a bien eu une fin, à savoir celle de la civilisation Maya. Or celle-ci n’ayant pas été prédite, les Mayas auraient donc prouvé leur incompétence en matière de prévision.
Fin décembre 2012 (ou le 21 décembre 2012 selon certains) ne correspond qu’à une fin de cycle du calendrier Maya qui en contenait cinq. Il aurait sans doute été prolongé par un sixième cycle, voire plus, si les Mayas n’avaient pas disparu précocement.
Car il y a bien eu une fin, à savoir celle de la civilisation Maya. Or celle-ci n’ayant pas été prédite, les Mayas auraient donc prouvé leur incompétence en matière de prévision.
Fin décembre 2012 (ou le 21 décembre 2012 selon certains) ne correspond qu’à une fin de cycle du calendrier Maya qui en contenait cinq. Il aurait sans doute été prolongé par un sixième cycle, voire plus, si les Mayas n’avaient pas disparu précocement.
Pyramide des Mayas à Chichén Itzá
14/12/2012
Que faire lorsque votre débiteur ne paie pas ?
Vous avez rendu un service ou vendu un produit. Vous avez envoyé votre facture. Vous attendez. Vous envoyez un rappel. Vous envoyez un deuxième rappel. Et attendez encore, mais votre compte reste vide.
Vous pouvez demander l’envoi d’un commandement de payer à l’Office des poursuites compétent. Vous êtes alors prié d’en avancer les frais. A sa réception le débiteur, soit celui qui vous doit de l’argent, peut faire opposition, action qui arrête la poursuite. Pour la relancer, vous pouvez demander au juge la mainlevée d’opposition provisoire ou définitive, selon les documents en votre possession.
Une fois la mainlevée obtenue ou sans opposition du débiteur, vous pouvez solliciter la continuation de la poursuite par voie de saisie ou par voie de faillite, selon la qualité du débiteur. Cet acte nécessite encore l’avance des frais de poursuite.
Le débiteur a l’obligation de vous rembourser les avances de l’Office des poursuites que vous avez payées. Il arrive malheureusement souvent que le débiteur soit insolvable et qu’il ne puisse pas être saisi. Vous conservez donc votre facture impayée et les frais de l’Office des poursuites en plus. Aussi, beaucoup de créditeurs, soit ceux qui ont comme vous droit à des paiements de la part de leurs débiteurs, hésitent à entreprendre les démarches nécessaires, encourageant en même temps les mauvais payeurs à honorer encore moins leurs factures.
Vous pouvez demander l’envoi d’un commandement de payer à l’Office des poursuites compétent. Vous êtes alors prié d’en avancer les frais. A sa réception le débiteur, soit celui qui vous doit de l’argent, peut faire opposition, action qui arrête la poursuite. Pour la relancer, vous pouvez demander au juge la mainlevée d’opposition provisoire ou définitive, selon les documents en votre possession.
Une fois la mainlevée obtenue ou sans opposition du débiteur, vous pouvez solliciter la continuation de la poursuite par voie de saisie ou par voie de faillite, selon la qualité du débiteur. Cet acte nécessite encore l’avance des frais de poursuite.
Le débiteur a l’obligation de vous rembourser les avances de l’Office des poursuites que vous avez payées. Il arrive malheureusement souvent que le débiteur soit insolvable et qu’il ne puisse pas être saisi. Vous conservez donc votre facture impayée et les frais de l’Office des poursuites en plus. Aussi, beaucoup de créditeurs, soit ceux qui ont comme vous droit à des paiements de la part de leurs débiteurs, hésitent à entreprendre les démarches nécessaires, encourageant en même temps les mauvais payeurs à honorer encore moins leurs factures.
Celui qui butine comme une abeille...
26/09/2012
On parle encore français à l’OMC
Il s’excuse longuement*. Il parle français. Il est paysan et c’est la seule langue qu’il parle. Cela fait tâche. Micheline Calmy-Rey, Pascal Lamy et la quasi-totalité des autres intervenants ne parlent pas seulement français. Ils parlent aussi anglais et ils veulent le prouver. Tant pis si on a parfois de la peine à les comprendre à cause de leurs accents.
Faudrait-il donc que plus de personnes ne parlent « que » le français pour sauver notre langue ?
* Impressions lors du forum public de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) 2012
Faudrait-il donc que plus de personnes ne parlent « que » le français pour sauver notre langue ?
* Impressions lors du forum public de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) 2012
La langue des oiseaux
24/09/2012
Une lettre de remerciement pour Eric Bertinat
Les Genevois ont bien compris les enjeux du vote de ce week-end. Tout enthousiastes qu’ils sont de se voir réaliser une vraie zone piétonne, ils ont refusé un quadrillage de leur ville, avec des rues fermées par ci, par là, empêchant en même temps les piétons de marcher tranquillement plus que 100 mètres et les automobilistes de circuler et stationner leurs véhicules.
Un ami me rappelle le rôle majeur joué par le candidat UDC au conseil administratif, le 4 novembre prochain, contrairement au candidat officiel de l’entente qui a encore combattu ce week-end pour l’acceptation du projet de fermeture des 50 rues, pour une dépense inutile de 5 millions francs.
Voici la lettre que cet ami (il se reconnaîtra) m’a fait parvenir en copie :
Cher Eric Bertinat,
Toutes mes félicitations pour le succès de votre engagement personnel contre ce stupide projet qui a heureusement été refusé, et mes remerciements pour l'action politique que vous avez entreprise à ce sujet depuis de nombreuses semaines.
Je ne m'attendais pas à un tel résultat qui démontre bien que les thèses écologistes n'ont plus l'impact qu'elles avaient à l'origine dans l'esprit de nos concitoyens. La circulation automobile dans nos rues est préservée et c'est un bien profitable à tous les habitants du canton.
Bien à vous.
Un ami me rappelle le rôle majeur joué par le candidat UDC au conseil administratif, le 4 novembre prochain, contrairement au candidat officiel de l’entente qui a encore combattu ce week-end pour l’acceptation du projet de fermeture des 50 rues, pour une dépense inutile de 5 millions francs.
Voici la lettre que cet ami (il se reconnaîtra) m’a fait parvenir en copie :
Cher Eric Bertinat,
Toutes mes félicitations pour le succès de votre engagement personnel contre ce stupide projet qui a heureusement été refusé, et mes remerciements pour l'action politique que vous avez entreprise à ce sujet depuis de nombreuses semaines.
Je ne m'attendais pas à un tel résultat qui démontre bien que les thèses écologistes n'ont plus l'impact qu'elles avaient à l'origine dans l'esprit de nos concitoyens. La circulation automobile dans nos rues est préservée et c'est un bien profitable à tous les habitants du canton.
Bien à vous.
Un arrêt net aux projets néfastes des Verts pour la Ville de Genève
18/09/2012
Eric Bertinat : l'homme de la majorité
Eric Bertinat est l'homme qui sait trouver des majorités, comme lorsqu'il s'agit de défendre une de ses motions au Grand Conseil (voir le communiqué de presse ci-dessus). Un signe précurseur en vue de son élection au Conseil administratif, le 4 novembre prochain ?
Double imposition en matière de succession: la résolution d’Eric Bertinat adoptée par le Grand Conseil !
Nos citoyens expatriés en France voisine ne sont pas des citoyens de seconde zone. La majorité des députés a adopté la résolution déposée par Eric Bertinat demandant au Conseil d’Etat de s’opposer à la ratification par les Chambres fédérales de la convention de double imposition en matière de succession entre la Suisse et la France.
Si la question des Français vivant en Suisse est régulièrement abordée dans les médias, le sort des quelque 170'000 Suisses habitant en France l’est moins. Pourtant, c’est auprès de ces derniers que la nouvelle convention déploiera ses effets néfastes.
Les cantons s’insurgent contre un accord désastreux pour la Suisse
Le groupe des députés UDC se félicite que le Parlement genevois se soit prononcé lors de sa session supplémentaire de samedi dans le même sens que le Parlement valaisan la veille. Après le Valais et Genève, des députés de plusieurs cantons, lassés par la politique du Conseil fédéral, vont prochainement déposer des textes similaires dans leur Parlement respectif.
Double imposition en matière de succession: la résolution d’Eric Bertinat adoptée par le Grand Conseil !
Nos citoyens expatriés en France voisine ne sont pas des citoyens de seconde zone. La majorité des députés a adopté la résolution déposée par Eric Bertinat demandant au Conseil d’Etat de s’opposer à la ratification par les Chambres fédérales de la convention de double imposition en matière de succession entre la Suisse et la France.
Si la question des Français vivant en Suisse est régulièrement abordée dans les médias, le sort des quelque 170'000 Suisses habitant en France l’est moins. Pourtant, c’est auprès de ces derniers que la nouvelle convention déploiera ses effets néfastes.
Les cantons s’insurgent contre un accord désastreux pour la Suisse
Le groupe des députés UDC se félicite que le Parlement genevois se soit prononcé lors de sa session supplémentaire de samedi dans le même sens que le Parlement valaisan la veille. Après le Valais et Genève, des députés de plusieurs cantons, lassés par la politique du Conseil fédéral, vont prochainement déposer des textes similaires dans leur Parlement respectif.
La brume se lève
04/09/2012
La rentrée
Fini les vacances – fini l’été. Nous voilà de retour pour recommencer l’éternel recommencement. Pour l’homme antique, c’est au printemps que tout se renouvelait. Pour l’homme moderne, c’est tout le temps, mais surtout après la fin des vacances d’été.
Une nouvelle équipe a été mise en place avec l’élection du conseil d’Etat Pierre Maudet. La ville de Genève, quant à elle, attend encore son sauveur. Un homme se tient prêt : Eric Bertinat. Notre faiseur de rois, Pascal Décaillet, lui reconnaît la taille de cette charge. Le jeu des alliances joue contre lui, pense-t-il cependant. N’avons-nous pas aussi cru que Pierre Maudet ne pourrait pas l’emporter, à cause de la division de la droite?
Une surprise est donc toujours possible. Restons vigilants!
Une nouvelle équipe a été mise en place avec l’élection du conseil d’Etat Pierre Maudet. La ville de Genève, quant à elle, attend encore son sauveur. Un homme se tient prêt : Eric Bertinat. Notre faiseur de rois, Pascal Décaillet, lui reconnaît la taille de cette charge. Le jeu des alliances joue contre lui, pense-t-il cependant. N’avons-nous pas aussi cru que Pierre Maudet ne pourrait pas l’emporter, à cause de la division de la droite?
Une surprise est donc toujours possible. Restons vigilants!
Surprise en vue?
25/08/2012
La belle au bois dormant ou les fiançailles
Embrasser une jolie fille étendue sur un lit et l’épouser lorsqu’elle ouvre ses yeux ? C’est ce que propose maintenant le musée de Kiev à ses visiteurs. Avant de pénétrer la salle où se trouve la jeune princesse, tout prétendant doit d’abord signer un contrat. Il s’y engage à épouser la jolie inconnue au cas où elle ouvre ses yeux.
Sur la vidéo de l’événement, on voit un prince contemplant la belle longuement avant de s’éloigner. Il n’a pas osé l’embrasser, ne sentant rien en sa présence. Quant aux princesses, elles dorment tout aussi profondément que la belle au bois dormant du conte de fées : aucune n’a encore ouvert ses yeux !
Et si la princesse se réveille un jour et l’un des deux ne voudra pas tenir le contrat signé ? Ni le prince, ni la princesse ne pourrait obliger l’autre au mariage, dans l’hypothèse au moins que le droit ukrainien corresponde en cela au droit suisse. L’art. 90 al. 3 du Code civil est clair à ce sujet : La Loi n’accorde pas d’action pour contraindre au mariage le fiancé qui s’y refuse.
Sur la vidéo de l’événement, on voit un prince contemplant la belle longuement avant de s’éloigner. Il n’a pas osé l’embrasser, ne sentant rien en sa présence. Quant aux princesses, elles dorment tout aussi profondément que la belle au bois dormant du conte de fées : aucune n’a encore ouvert ses yeux !
Et si la princesse se réveille un jour et l’un des deux ne voudra pas tenir le contrat signé ? Ni le prince, ni la princesse ne pourrait obliger l’autre au mariage, dans l’hypothèse au moins que le droit ukrainien corresponde en cela au droit suisse. L’art. 90 al. 3 du Code civil est clair à ce sujet : La Loi n’accorde pas d’action pour contraindre au mariage le fiancé qui s’y refuse.
La belle au bois dormant
16/08/2012
Une escapade
« Comment avez-vous fait pour trouver cet endroit ? D’habitude on n’entend que l’allemand par ici, » s’étonne notre voisine de table. Elle est surprise parce que nous parlons français.
Nous ne sommes cependant pas en Allemagne. Il s’agit bien d’un autre pays limitrophe à la Suisse. Avez-vous une petite idée de quel pays il s’agit ?
Nous ne sommes cependant pas en Allemagne. Il s’agit bien d’un autre pays limitrophe à la Suisse. Avez-vous une petite idée de quel pays il s’agit ?
Qui suis-je?
11/08/2012
La série d’été : prendre de la hauteur ou prendre le large ?
L’été est propice aux changements d’idées. Rien de mieux pour cela que de bouger. Explorer des sentiers non battus. Voici une première photo d’un endroit si proche et pourtant mal connu.
A suivre.
A suivre.
Prendre de la hauteur
03/08/2012
Les vaches investissent la Plaine de Plainpalais
On ne change pas les traditions. On change de lieu.
Cette année, les Genevois se sont retrouvés, non pas au Parc des Bastions mais à la Plaine de Plainpalais, pour la Fête nationale suisse. Avant d’assister aux discours officiels de notre maire Rémy Pagani et de Daniel Rosselat, syndic de la ville de Nyon, le public a été convié à un spectacle insolite à Genève : le combat de vaches de la race d’Hérens.
Voici quelques impressions :
Cette année, les Genevois se sont retrouvés, non pas au Parc des Bastions mais à la Plaine de Plainpalais, pour la Fête nationale suisse. Avant d’assister aux discours officiels de notre maire Rémy Pagani et de Daniel Rosselat, syndic de la ville de Nyon, le public a été convié à un spectacle insolite à Genève : le combat de vaches de la race d’Hérens.
Voici quelques impressions :
30/07/2012
Connaître la propriété intellectuelle, c’est d'avoir de bonnes cartes en mains
L’Institut Fédéral de la Propriété Intellectuelle veut aider à gagner à tous les coups. Pour cela, il propose le jeu des familles de l’IPI. De manière ludique, le joueur apprend, grâce aux inscriptions sur les cartes du jeu, que :
1) les créations intellectuelles sont un capital précieux. ;
2) les appellations et logos sous lesquels sont commercialisés des produits/services, ainsi que les raisons de commerce, peuvent être protégés comme marque ;
3) toute invention qui débouche sur un produit ou un procédé de fabrication nouveau ou optimisé peut être protégée par un brevet ;
4) l’aspect visuel caractéristique d’un produit peut être protégé comme design ;
5) les logiciels, les œuvres littéraires ou musicales, les peintures et les créations similaires présentant un caractère individuel sont automatiquement protégés par le droit d’auteur ;
6) pour certaines inventions, il suffit de garder le secret ;
7) l’IPI est l’autorité officielle d’enregistrement des brevets d’invention, des marques et des designs ;
8) le système de protection étant complexe, on a tôt fait de s’y perdre.
9) divers sites Internet vous offrent la possibilité d’en apprendre davantage sur la propriété intellectuelle.
1) les créations intellectuelles sont un capital précieux. ;
2) les appellations et logos sous lesquels sont commercialisés des produits/services, ainsi que les raisons de commerce, peuvent être protégés comme marque ;
3) toute invention qui débouche sur un produit ou un procédé de fabrication nouveau ou optimisé peut être protégée par un brevet ;
4) l’aspect visuel caractéristique d’un produit peut être protégé comme design ;
5) les logiciels, les œuvres littéraires ou musicales, les peintures et les créations similaires présentant un caractère individuel sont automatiquement protégés par le droit d’auteur ;
6) pour certaines inventions, il suffit de garder le secret ;
7) l’IPI est l’autorité officielle d’enregistrement des brevets d’invention, des marques et des designs ;
8) le système de protection étant complexe, on a tôt fait de s’y perdre.
9) divers sites Internet vous offrent la possibilité d’en apprendre davantage sur la propriété intellectuelle.
25/07/2012
Un grand merci aux constituants UDC !
Les membres de la direction du parti étaient unanimes. Hier soir, réunis en assemblée générale, ils ont félicité leurs constituants du travail accompli. Grâce à leur engagement, le pire a pu être évité. Presque rien d’inacceptable ne se trouve dans le projet de nouvelle constitution. L’idée de découper la ville de Genève a vite été abandonnée. Les districts ont passé à la trappe. Le rôle de la famille est renforcé. Un frein à l’endettement prévient tout débordement financier. L’UDC, opposée au principe même de la constituante, a donc eu raison de faire élire 7 constituants dont votre serviteur.
Néanmoins, selon la direction du parti, le résultat n’est pas vraiment satisfaisant. Une Cour constitutionnelle est pour elle inacceptable. Cette nouveauté justifierait déjà le rejet du projet de constitution ! Plusieurs thèmes chers à l’UDC n’ont pas été traités. Le projet de constitution fait une large place aux droits sans mentionner les devoirs du citoyen. Aussi, une majorité des membres présents ne suit-elle pas ses propres constituants.
Il y a quatre ans, l’UDC n’a pas été soutenue dans son rejet de la constituante. Son président avait alors dit que le peuple n’avait pas toujours raison, mais toujours le dernier mot. Le parti ne serait-il pas suivi par le peuple le 14 octobre, une fois de plus ? L’avenir nous le dira. Quant à moi, je persiste à soutenir le projet. Cependant, je respecte la volonté de l’assemblée générale d’hier soir et m’abstiendrai de faire campagne pour le Oui à la nouvelle constitution. Que ceux qui ont fait le forcing en votant la Cour constitutionnelle s’en chargent !
Néanmoins, selon la direction du parti, le résultat n’est pas vraiment satisfaisant. Une Cour constitutionnelle est pour elle inacceptable. Cette nouveauté justifierait déjà le rejet du projet de constitution ! Plusieurs thèmes chers à l’UDC n’ont pas été traités. Le projet de constitution fait une large place aux droits sans mentionner les devoirs du citoyen. Aussi, une majorité des membres présents ne suit-elle pas ses propres constituants.
Il y a quatre ans, l’UDC n’a pas été soutenue dans son rejet de la constituante. Son président avait alors dit que le peuple n’avait pas toujours raison, mais toujours le dernier mot. Le parti ne serait-il pas suivi par le peuple le 14 octobre, une fois de plus ? L’avenir nous le dira. Quant à moi, je persiste à soutenir le projet. Cependant, je respecte la volonté de l’assemblée générale d’hier soir et m’abstiendrai de faire campagne pour le Oui à la nouvelle constitution. Que ceux qui ont fait le forcing en votant la Cour constitutionnelle s’en chargent !
Un projet de constitution qui fait rêver
16/07/2012
CONSTITUTION 2012 : création d'une plateforme pour le OUI (COMMUNIQUÉ DE PRESSE - 13 juillet 2012)
Dans la perspective de la votation du 14 octobre prochain, plus d'une cinquantaine de membres de l'Assemblée constituante qui se sont prononcés en faveur du projet de nouvelle constitution ont pris l'initiative de constituer une Plateforme pour le « Oui à la constitution 2012 ».
Nous sommes en effet convaincus que le texte proposé, tout en maintenant des acquis importants de la constitution actuelle, contient des avancées substantielles et des idées novatrices dans plusieurs domaines qu'il vaut la peine de soutenir. Le texte final est le résultat de travaux assidus, menés par des personnes de sensibilités politiques très différentes. Il est le fruit de l'action déterminée de celles et ceux qui ont préféré le dialogue aux blocages afin de défendre l'Etat de droit et l'intérêt général pour les décennies à venir.
Nous invitons les personnes, les groupements et les associations qui partagent cette conviction à se joindre à notre plateforme et à participer avec nous aux diverses actions que nous entreprendrons ces prochaines semaines pour assurer une information aussi large que possible à la population sur les enjeux du choix à faire le 14 octobre 2012.
LA NOUVELLE CONSTITUTION, C'EST MAINTENANT !
Celles et ceux qui souhaitent dés maintenant rejoindre cette plateforme peuvent s'annoncer par téléphone au 076 611 34 30 ou par courriel à l'adresse : contact@ouiconstitution2012.ch Maurice Gardiol, coordinateur de la Plateforme « Oui à la constitution 2012 ».
Autres membres du Comité : Thomas Büchi, Marguerite Contat Hickel *, Simone de Montmollin, Patrick-Etienne Dimier, Benoît Genecand *, Béatrice Gisiger, Lionel Halpérin *, Cyril Mizrahi, Corinne Muller, Olivier Perroux, Jean-Philippe Terrier *, assistant : Pierre Meyer * (à partir du 23 juillet)
* personnes de contact pendant le mois de juillet
Nous sommes en effet convaincus que le texte proposé, tout en maintenant des acquis importants de la constitution actuelle, contient des avancées substantielles et des idées novatrices dans plusieurs domaines qu'il vaut la peine de soutenir. Le texte final est le résultat de travaux assidus, menés par des personnes de sensibilités politiques très différentes. Il est le fruit de l'action déterminée de celles et ceux qui ont préféré le dialogue aux blocages afin de défendre l'Etat de droit et l'intérêt général pour les décennies à venir.
Nous invitons les personnes, les groupements et les associations qui partagent cette conviction à se joindre à notre plateforme et à participer avec nous aux diverses actions que nous entreprendrons ces prochaines semaines pour assurer une information aussi large que possible à la population sur les enjeux du choix à faire le 14 octobre 2012.
LA NOUVELLE CONSTITUTION, C'EST MAINTENANT !
Celles et ceux qui souhaitent dés maintenant rejoindre cette plateforme peuvent s'annoncer par téléphone au 076 611 34 30 ou par courriel à l'adresse : contact@ouiconstitution2012.ch Maurice Gardiol, coordinateur de la Plateforme « Oui à la constitution 2012 ».
Autres membres du Comité : Thomas Büchi, Marguerite Contat Hickel *, Simone de Montmollin, Patrick-Etienne Dimier, Benoît Genecand *, Béatrice Gisiger, Lionel Halpérin *, Cyril Mizrahi, Corinne Muller, Olivier Perroux, Jean-Philippe Terrier *, assistant : Pierre Meyer * (à partir du 23 juillet)
* personnes de contact pendant le mois de juillet
La force du compromis
29/06/2012
Voulez-vous continuer avec la constitution actuelle ?
Près de 80% des votants ont répondu à cette question par un NON catégorique, le 24 février 2008 !
Cette semaine, le projet de constitution a été remis au Conseil d’Etat, le « bébé » est né. La mère (la population, le peuple) va-t-elle maintenant subir le baby blues ou carrément tomber en dépression post-natale ? Autrement dit, le projet va-t-il être rejeté, le 14 octobre prochain ? Qui vivra verra.
Ce qui est d’ores et déjà sûr est que le bébé est bien vivant et qu’il est joli. Un peu trop gros peut-être (237 articles) et pas aussi beau qu’on l’aurait souhaité. La ressemblance avec la mère (la gauche) et le père (la droite) est cependant frappante, même si quelques cousins la nient (l’extrême gauche et une partie du MCG).
Il y en a qui veulent déjà le montrer partout avec fierté (Olivier Perroux qui réclame sa publication intégrale), tandis que d’autres souhaitent pour le moment rester en famille (publication sur internet seulement).
Cette semaine, le projet de constitution a été remis au Conseil d’Etat, le « bébé » est né. La mère (la population, le peuple) va-t-elle maintenant subir le baby blues ou carrément tomber en dépression post-natale ? Autrement dit, le projet va-t-il être rejeté, le 14 octobre prochain ? Qui vivra verra.
Ce qui est d’ores et déjà sûr est que le bébé est bien vivant et qu’il est joli. Un peu trop gros peut-être (237 articles) et pas aussi beau qu’on l’aurait souhaité. La ressemblance avec la mère (la gauche) et le père (la droite) est cependant frappante, même si quelques cousins la nient (l’extrême gauche et une partie du MCG).
Il y en a qui veulent déjà le montrer partout avec fierté (Olivier Perroux qui réclame sa publication intégrale), tandis que d’autres souhaitent pour le moment rester en famille (publication sur internet seulement).
Le bébé est né
28/04/2012
Tous mes remerciements à vous, chères lectrices, chers lecteurs
Pour ma quatre-centième note (sur mon blog hébergé par la Tribune de Genève), je tiens à vous remercier, chères lectrices, chers lecteurs, pour votre fidélité à ce blog !
En effet, j’ai écrit ma dernière note le 11 septembre 2011. Par la suite, je me suis limité à parfois publier un communiqué de presse. Vous étiez néanmoins nombreux à continuer à vous rendre sur mon blog. Tenez-vous bien, car ce mois-ci vous en étiez encore 4'804 !
Est-ce une raison pour reprendre les publications ? On verra.
En effet, j’ai écrit ma dernière note le 11 septembre 2011. Par la suite, je me suis limité à parfois publier un communiqué de presse. Vous étiez néanmoins nombreux à continuer à vous rendre sur mon blog. Tenez-vous bien, car ce mois-ci vous en étiez encore 4'804 !
Est-ce une raison pour reprendre les publications ? On verra.
Ah les belles fleurs
25/01/2012
Session du 24 janvier 2012 de l’Assemblée constituante (communiqué de presse)
L’Assemblée constituante vote l’éligibilité des étrangers au plan communal
Lors de la session du mardi 24 janvier, l’Assemblée a tout d’abord terminé l’examen des droits fondamentaux en deuxième lecture et a confirmé les dispositions adoptées relatives à la mise en œuvre et aux restrictions des droits fondamentaux. L’essentiel de la session a ensuite été consacré aux droits politiques, dont les dispositions ont connu plusieurs modifications notables.
En matière de titularité des droits politiques, l’Assemblée a octroyé le droit d’éligibilité au plan communal aux personnes de nationalité étrangère qui « ont leur domicile légal en Suisse depuis 8 ans au moins ». L’art. 49 al. 2 leur octroie ainsi la totalité des droits politiques (le droit d’élire, de voter et de signer des initiatives et référendums sur le plan communal ayant déjà été voté en première lecture, confirmant la situation actuelle).
S’agissant des élections au système proportionnel, et alors que la première lecture l’avait fixé à 5%, l’Assemblée s’est prononcée sur un quorum à 7% (situation actuelle).
Le nombre de signatures nécessaires pour faire aboutir une initiative populaire cantonale (art. 57 et suivants) sera désormais fixé sur la base d’un pourcentage : 4% des titulaires des droits politiques, soit env. 9'600, pour une initiative constitutionnelle (actuellement : 10'000) et 3%, soit environ 7'200 pour une initiative législative (actuellement : 10'000). L’examen de la validité de ces initiatives (art. 61) incombera à la Cour constitutionnelle (nouveauté du projet) et portera sur l’unité de genre, de matière et la conformité au droit. Cette solution a été préférée au Conseil d’Etat (première lecture) et au Grand Conseil (situation actuelle).
En matière de référendum cantonal, le référendum obligatoire en matière d’assainissement financier a été réintroduit (situation actuelle), alors qu’il ne figurait pas dans le projet.
S’agissant du référendum cantonal facultatif, plusieurs changements ont été votés (art. 67).
o D’une part c’est sur la base d’un pourcentage (3% soit environ 7'200 titulaires des droits politiques) que l’on fixera le nombre de signatures (la première lecture avait fixé le nombre à 7'000 comme la situation actuelle).
o D’autre part, le nombre de signatures pour faire aboutir un référendum en matière fiscale ou en matière de logement passe de 750 à 500 (actuellement : référendum obligatoire).
o Enfin,un nouveau type de référendum a été approuvé. Le Grand Conseil pourra soumettre au corps électoral tout acte susceptible de faire l’objet d’un référendum facultatif s’il « le décide à la majorité des deux-tiers des voix exprimées, les abstentions n’étant pas prises en considération, mais au moins à la majorité de ses membres ».
Au niveau communal, et s’agissant des signatures nécessaires pour faire aboutir une initiative populaire, le plénum est revenu à un mode de calcul basé sur des pourcentages, fonction inverse de la taille soit 20%, 10% ou 5% mais au maximum 4'000 signatures (art. 71). Il en ira de même en vue de l’aboutissement d’un référendum communal (en première lecture l’Assemblée distingué l’initiative du référendum).
Lors de la troisième lecture en avril, l’Assemblée se prononcera sur les dispositions dont la teneur votée en deuxième lecture diffère de celle votée en première lecture.
Prochaine session : jeudi 2 février 2012
(Communiqué de presse du Bureau de l'Assemblée constituante)
Lors de la session du mardi 24 janvier, l’Assemblée a tout d’abord terminé l’examen des droits fondamentaux en deuxième lecture et a confirmé les dispositions adoptées relatives à la mise en œuvre et aux restrictions des droits fondamentaux. L’essentiel de la session a ensuite été consacré aux droits politiques, dont les dispositions ont connu plusieurs modifications notables.
En matière de titularité des droits politiques, l’Assemblée a octroyé le droit d’éligibilité au plan communal aux personnes de nationalité étrangère qui « ont leur domicile légal en Suisse depuis 8 ans au moins ». L’art. 49 al. 2 leur octroie ainsi la totalité des droits politiques (le droit d’élire, de voter et de signer des initiatives et référendums sur le plan communal ayant déjà été voté en première lecture, confirmant la situation actuelle).
S’agissant des élections au système proportionnel, et alors que la première lecture l’avait fixé à 5%, l’Assemblée s’est prononcée sur un quorum à 7% (situation actuelle).
Le nombre de signatures nécessaires pour faire aboutir une initiative populaire cantonale (art. 57 et suivants) sera désormais fixé sur la base d’un pourcentage : 4% des titulaires des droits politiques, soit env. 9'600, pour une initiative constitutionnelle (actuellement : 10'000) et 3%, soit environ 7'200 pour une initiative législative (actuellement : 10'000). L’examen de la validité de ces initiatives (art. 61) incombera à la Cour constitutionnelle (nouveauté du projet) et portera sur l’unité de genre, de matière et la conformité au droit. Cette solution a été préférée au Conseil d’Etat (première lecture) et au Grand Conseil (situation actuelle).
En matière de référendum cantonal, le référendum obligatoire en matière d’assainissement financier a été réintroduit (situation actuelle), alors qu’il ne figurait pas dans le projet.
S’agissant du référendum cantonal facultatif, plusieurs changements ont été votés (art. 67).
o D’une part c’est sur la base d’un pourcentage (3% soit environ 7'200 titulaires des droits politiques) que l’on fixera le nombre de signatures (la première lecture avait fixé le nombre à 7'000 comme la situation actuelle).
o D’autre part, le nombre de signatures pour faire aboutir un référendum en matière fiscale ou en matière de logement passe de 750 à 500 (actuellement : référendum obligatoire).
o Enfin,un nouveau type de référendum a été approuvé. Le Grand Conseil pourra soumettre au corps électoral tout acte susceptible de faire l’objet d’un référendum facultatif s’il « le décide à la majorité des deux-tiers des voix exprimées, les abstentions n’étant pas prises en considération, mais au moins à la majorité de ses membres ».
Au niveau communal, et s’agissant des signatures nécessaires pour faire aboutir une initiative populaire, le plénum est revenu à un mode de calcul basé sur des pourcentages, fonction inverse de la taille soit 20%, 10% ou 5% mais au maximum 4'000 signatures (art. 71). Il en ira de même en vue de l’aboutissement d’un référendum communal (en première lecture l’Assemblée distingué l’initiative du référendum).
Lors de la troisième lecture en avril, l’Assemblée se prononcera sur les dispositions dont la teneur votée en deuxième lecture diffère de celle votée en première lecture.
Prochaine session : jeudi 2 février 2012
(Communiqué de presse du Bureau de l'Assemblée constituante)
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