En même temps, cette commission s’assure que les nouveaux Suisses soient en mesure d’exercer convenablement leur citoyenneté et de comprendre les enjeux politiques qu’ils seraient appelés à trancher. Pensez seulement aux sujets de votation du 3 mars et à leur importance. Un requérant doit donc être familiarisé au mode de vie suisse et bien communiquer au quotidien dans une langue nationale, à l’oral et à l’écrit.
La décision de ladite commission devrait mettre un terme à toute velléité de la gauche genevoise renforcée du centre mou d’introduire dans notre nouvelle constitution le droit de vote des étrangers au niveau cantonal ou, pire encore, le droit d’éligibilité aux niveaux communal et cantonal.
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