Ce symposium de deux jours réunissait des leaders de l’industrie automobile, du sport automobile, des associations internationales de l’automobile et des spécialistes des télécommunications. Voyez plutôt : Jean Todt, Général Victor Kiryanov, Malcolm Johnson, Dr Scott C. Ratzan, Dr Oleg Chestnov, Dr Hamadoun I. Touré, Johan de Nysschen, T. Russell Shields, Jeffrey J. Owens, Eva Molnar pour ne mentionner que les intervenants de la première matinée.
29/04/2014
The future networked car
Le symposium de l’Union Internationale de Télécommunications (UIT) avait beau se tenir au 84ème Salon International de l’Auto et accessoires à Genève, il n’y avait pas l’ombre d’une référence à la langue de Voltaire. Heureusement que Jean Todt, président de la Fédération Internationale de l’Automobile (FIA) parle anglais, sinon il n’aurait pas pu s’exprimer, car aucune traduction n’était prévue non plus. Passons.
Ce symposium de deux jours réunissait des leaders de l’industrie automobile, du sport automobile, des associations internationales de l’automobile et des spécialistes des télécommunications. Voyez plutôt : Jean Todt, Général Victor Kiryanov, Malcolm Johnson, Dr Scott C. Ratzan, Dr Oleg Chestnov, Dr Hamadoun I. Touré, Johan de Nysschen, T. Russell Shields, Jeffrey J. Owens, Eva Molnar pour ne mentionner que les intervenants de la première matinée.
Ce symposium de deux jours réunissait des leaders de l’industrie automobile, du sport automobile, des associations internationales de l’automobile et des spécialistes des télécommunications. Voyez plutôt : Jean Todt, Général Victor Kiryanov, Malcolm Johnson, Dr Scott C. Ratzan, Dr Oleg Chestnov, Dr Hamadoun I. Touré, Johan de Nysschen, T. Russell Shields, Jeffrey J. Owens, Eva Molnar pour ne mentionner que les intervenants de la première matinée.
27/04/2014
Kwibuka20
Une lueur d’espoir 20 ans après le génocide. Le Rwanda voulait donner un signe clair que le passé est dorénavant dépassé. Dépassé oui, mais pas oublié, car la mémoire à l’horreur d’un peu plus de 100 jours avec plus d’un million de Tutsi morts est ineffable.
Au Centre International des Conférences de Genève, après une minute de silence en l’honneur des Tutsis assassinés, le court-métrage « Kwibuka20 (le mot en kinyarwanda, une langue rwandaise, signifiant mémoire, commémoration), remember, unite, renew » a été présenté. Puis plusieurs orateurs ont pris la parole dont Me Nils de Dardel, mon collègue constituant. En suivant la tradition de Jean Ziegler, il a réussi à mêler la Suisse de la deuxième guerre mondiale avec les événements d’il y a 20 ans, afin de réclamer une prise de conscience de la culpabilité des Suisses pour le génocide du Rwanda. Fallait le faire!
Au Centre International des Conférences de Genève, après une minute de silence en l’honneur des Tutsis assassinés, le court-métrage « Kwibuka20 (le mot en kinyarwanda, une langue rwandaise, signifiant mémoire, commémoration), remember, unite, renew » a été présenté. Puis plusieurs orateurs ont pris la parole dont Me Nils de Dardel, mon collègue constituant. En suivant la tradition de Jean Ziegler, il a réussi à mêler la Suisse de la deuxième guerre mondiale avec les événements d’il y a 20 ans, afin de réclamer une prise de conscience de la culpabilité des Suisses pour le génocide du Rwanda. Fallait le faire!
14/04/2014
Mon opéra – mon amour
Comme membre du conseil de fondation du Grand Théâtre, j’ai été convié à la présentation de la saison 2014 – 2015. Ce n’est pas que je ne connaissais pas encore le programme. Nous l’avions accepté il y a quelques semaines. Non, c’est que cette présentation est un événement culturel en soi.
Pour commencer, la présidente du conseil de fondation, Me Lorella Bertani, a lu une lettre du conseiller administratif Sami Kanaan, une lettre d’excuse qui faisait en même temps office d’explication de la situation actuelle du Grand Théâtre, à la veille d’importants travaux de réfection.
Place ensuite à la présentation de la nouvelle saison par le directeur, M. Tobias Richter. Je me contente ici de mentionner la venue du New York Harlem Theater à Genève pour une présentation exclusive de Porgy and Bess de George Gershwin, en vous laissant découvrir le reste du programme sur le site internet du Grand Théâtre.
Un merci particulier a été adressé aux généreux donateurs dont en première ligne la Ville de Genève.
Philippe Cohen, directeur
Eric Vigié, directeur de l’Opéra de Lausanne
04/04/2014
Une omission qui coûte 275’000 francs
Dans le cadre de négociations entre avocats, le conseil d’une société anonyme a sollicité que le défenseur de sa partie adverse renonce à la prescription. En fait, ce dernier avait auparavant écrit dans un courrier « sous les plus expresses réserves d’usage » que sa mandante était prête à renoncer à invoquer la prescription, pourvu que celle-ci n’était pas déjà acquise. Sur ce, le premier avait néanmoins omis d’interrompre la prescription par l’introduction d’une poursuite.
Par la suite, la société anonyme a réclamé 245’759 fr.55, 10’396 fr.75 et 19’173 fr.25 plus intérêts, car la partie adverse n’avait pas bien exécuté la pose de quatre grilles, ce qui avait permis à des cambrioleurs de pénétrer sa bijouterie-horlogerie à Genève et de la cambrioler.
Le Tribunal fédéral l’a cependant déboutée de ces conclusions, tout en mettant les frais judiciaires de 6’000 francs à sa charge et en la condamnant à verser à l’intimée une indemnité de 7’000 francs à titre de dépens. Il a confirmé que le contenu d’un courrier entre avocats « sous les réserves d’usage » constituait une preuve illicite et était donc à écarter de la procédure. (4A_294/2013)
Par la suite, la société anonyme a réclamé 245’759 fr.55, 10’396 fr.75 et 19’173 fr.25 plus intérêts, car la partie adverse n’avait pas bien exécuté la pose de quatre grilles, ce qui avait permis à des cambrioleurs de pénétrer sa bijouterie-horlogerie à Genève et de la cambrioler.
Le Tribunal fédéral l’a cependant déboutée de ces conclusions, tout en mettant les frais judiciaires de 6’000 francs à sa charge et en la condamnant à verser à l’intimée une indemnité de 7’000 francs à titre de dépens. Il a confirmé que le contenu d’un courrier entre avocats « sous les réserves d’usage » constituait une preuve illicite et était donc à écarter de la procédure. (4A_294/2013)
02/04/2014
Les saisons russes du XXIème siècle
Un spectacle fulgurant a été offert aux Genevois par la fondation Neva et le Grand Théâtre de Genève. Trois ballets russes ont été reconstitués un peu plus de cent ans après leur première présentation. Nikolai Rimski-Korsakov, Frédéric Chopin et Alexandre Borodine ont été à l’honneur.
A défaut d’enregistrement de cette soirée unique, voici un extrait de la musique qui accompagnait le troisième tableau, Prince Igor, interprété par Sissel:
A défaut d’enregistrement de cette soirée unique, voici un extrait de la musique qui accompagnait le troisième tableau, Prince Igor, interprété par Sissel:
31/03/2014
Libérez le poivron!
Tandis que les membres de la Déclaration de Berne réclamaient sous ce titre-choc l’annulation d’un brevet de l’entreprise Syngenta (voir la Tribune de Genève du 3 février 2014), l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) se penchait sur l’opportunité d’inclure les ressources génétiques dans le système mondial de la propriété intellectuelle. Durant une semaine, tant ses Etats membres que les observateurs agréés dont l’ONG Health and Environment Program que j’avais l’honneur de représenter, se penchaient, dans le cadre du Comité intergouvernemental, sur les questions suivantes :
– Quelles questions et quelles options doivent être traitées au moyen de normes internationales dans un instrument juridique international que l’OMPI doit élaborer?
– À quel niveau de détail ces questions et options doivent-elles être réglementées, autrement dit quelle marge de manœuvre (espace politique) doit être laissée aux États membres pour la mise en œuvre?
– Quelle(s) méthode(s) de travail l’IGC devrait-il appliquer pour faciliter l’obtention d’un accord sur ces questions et options?
– Laquelle ou lesquelles des solutions proposées seraient plus pratiques et devraient être élaborées et mises en œuvre? Comment et par qui?
– Quelles questions et quelles options doivent être traitées au moyen de normes internationales dans un instrument juridique international que l’OMPI doit élaborer?
– À quel niveau de détail ces questions et options doivent-elles être réglementées, autrement dit quelle marge de manœuvre (espace politique) doit être laissée aux États membres pour la mise en œuvre?
– Quelle(s) méthode(s) de travail l’IGC devrait-il appliquer pour faciliter l’obtention d’un accord sur ces questions et options?
– Laquelle ou lesquelles des solutions proposées seraient plus pratiques et devraient être élaborées et mises en œuvre? Comment et par qui?
28/03/2014
We are the champions
La musique adoucit les mœurs. Elle peut aussi avoir un effet stimulant. C’est sûrement dans ce sens-là qu’un ami vient de me recommander d’écouter de temps en temps ce morceau de musique du groupe Queen et de son chanteur Freddy Mercury, connu de tout le monde.
Voici donc We are the champions:
Voici donc We are the champions:
19/03/2014
Gare aux droits d’auteur des objets d’art!
Adam et Eve, une fontaine achetée en 1995 par la Commune du Grand-Saconnex, était délabrée. La Tribune de Genève du 27 janvier 2014 avait rapporté que ses tuyaux avaient des fuites et que l’eau avait été coupée.
L’artiste genevois Vincent Du Bois n’avait pas supporté de voir son œuvre à l’abandon. Il avait donc exigé que la commune la restaure. Il avait soutenu qu’elle n’avait pas d’intérêt à avoir un objet mort sur sa place.
Malgré une facture salée de 105’000 francs pour les travaux envisagés, les conseillers municipaux n’avaient pas réussi à bloquer ce projet. La conseillère administrative Elisabeth Böhler avait été formelle : « L’auteur a le droit exclusif de décider si, quand et de quelle manière l’œuvre peut être modifiée… Il est vrai que depuis, nous sommes plus attentifs lorsque nous achetons une œuvre… »
Fontaine ancienne route- Le Grand-Saconnex
05/03/2014
The future networked car
Le symposium de l’Union Internationale de Télécommunications (UIT) a beau se tenir au 84ème Salon International de l’Auto et accessoires à Genève, il n’y a pas l’ombre d’une référence à la langue de Voltaire. Heureusement que Jean Todt, président de la Fédération Internationale de l’Automobile (FIA) parle anglais, sinon il n’aurait pas pu s’exprimer, car aucune traduction n’est prévue non plus. Passons.
Ce symposium de deux jours réunit des leaders de l’industrie automobile, du sport automobile, des associations internationales de l’automobile et des spécialistes des télécommunications. Voyez plutôt : Jean Todt, Général Victor Kiryanov, Malcolm Johnson, Dr Scott C. Ratzan, Dr Oleg Chestnov, Dr Hamadoun I. Touré, Johan de Nysschen, T. Russell Shields, Jeffrey J. Owens, Eva Molnar pour ne mentionner que les intervenants de la première matinée.
Jean Todt suit attentivement la conférence
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