Bien entendu, il faut parler des urgences et d'une manière urgente. Hélas, les «urgences» n’en sont que rarement. Le plus souvent, il s’agit d’un sujet politique que tel ou tel groupe, souhaite mettre en avant, au détriment du travail parlementaire ordinaire, bien moins passionnant. Pire encore, il peut s’agir d’objets de discussion qui n’ont strictement rien à voir avec la Ville de Genève, comme par exemple la détention du directeur local turc d’Amnesty International encore tout récemment. Pas étonnant donc que cela frustre ceux qui souhaiteraient réduire l’ordre du jour bien trop long. A noter que le président Jean-Charles Lathion a réussi à réduire ces débats stériles à une séance, soit à la deuxième soirée des séances après 20h30.
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