Il a ainsi observé que les Suédois chantaient à tue-tête, comme s'il en allait de leur vie. Et ce n'était pas seulement les joueurs, tous les joueurs, mais encore les entraîneurs, physios, remplaçants et sûrement aussi le public qui chantaient avec une allégresse partagée.
Quelle différence lorsque la fanfare a entonné le cantique suisse. Monsieur Lodygensky a pu observer nos joueurs bouches cousues, figés, comme absents. Trois d'entre eux, Shaqiri, Xhaka et Lichtsteiner étaient loin de leur enthousiasme à signer l'aigle à deux têtes, et leurs mines laissaient ainsi prédire le pire.
Monsieur Lodygensky ne s'est d'ailleurs pas trompé. Nous connaissons tous le résultat de ce match de foot, à oublier le plus vite possible.
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