Après les journées chaudes de l’été, nous vivons un week-end bien plus frais. Tout le monde respire mieux. La stupeur qui nous a empêché de réfléchir calmement et qui nous a poussé à voyager, quid à la montage en recherche de fraîcheur, quid au bord de la mer à la recherche du dolce fare niente, fait place à une nouvelle envie d’explorer le ici et maintenant.
Pour une fois, la douce oisiveté était aussi de mise à Genève, sans l’ambiance de ses fêtes. Les touristes l’ont vite compris et ont boudé notre cité, sauf quelques intrépides qui se sont contentés de faire une croisière sur le lac et peut-être une excursion à Chamonix.
Pour une fois, la douce oisiveté était aussi de mise à Genève, sans l’ambiance de ses fêtes. Les touristes l’ont vite compris et ont boudé notre cité, sauf quelques intrépides qui se sont contentés de faire une croisière sur le lac et peut-être une excursion à Chamonix.
Les drapeaux devant l’ONU ont retrouvé leur place, après avoir été rangés durant une semaine en honneur de feu Kofi Annan. Au jardin botanique, les nénuphars rêvent sur les eaux.
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