28/06/2019

Le Conseil d’Etat plonge dans les eaux profondes d’une dette abyssale

Voici deux mois à peine, lors de la présentation des comptes 2018 dégageant – ô surprise - 222 millions de francs d’excédents, l’UDC s’étonnait à juste titre des déclarations pleines de satisfaction du Conseil d’Etat sur sa bonne gestion alors que ce même gouvernement débloquait les crédits pour engager 326 postes à plein temps et d’un même élan creusait sa dette. Avec l’aval d’une majorité du Grand Conseil, évidemment.

Entre de mauvaises estimations budgétaires en 2018, les votations du 19 mai 2019 et une augmentation monstrueuse de la dette cantonale prévue pour 2020, il se dégage une logique implacable : notre gouvernement centre-gauche, tout comme tous les autres gouvernements centre-gauche depuis Robert Ducret (fin des années 1970), n’a fait qu’enfler la dette, qu’il y ait crise économique ou pas. Pour la gauche, la dette c’est bien et pour la droite, la dette c’est… bien. Il n’y a eu, depuis 2001, que l’UDC pour s’opposer à cette politique d’enflures perpétuelles des dépenses publiques.

Il n’aura pas fallu attendre bien longtemps après les votations du 19 mai (le projet cantonal de la réforme fiscale des entreprises et le dossier surréaliste des caisses de pensions publiques) pour qu’apparaisse encore plus clairement l’incapacité politique des partis en place depuis 60 ans de gouverner notre canton autrement que sur les principes libéraux, rejetant toute maîtrise de notre économie quelle qu’elle soit, ne rêvant que de Grand Genève et d’immigration à loger, à enseigner, à soigner, à subventionner. Une étape vient d’être franchie avec le budget 2020 et sa plongée dans les eaux profondes d’une dette abyssale.

Il est grand temps pour le Parlement genevois d’entendre l’UDC lorsqu’elle demande une cure d’amaigrissement de l’Etat (en nombre et en salaires, spécialement ceux de la nomemklatura gouvernementale, surpayés et trop nombreux), une révision à la baisse du Plan Directeur Cantonal et de ses 600'000 habitants qu’il prévoit pour 2030. L’immigration démesurée et qui réclame de nombreuses aides sociales doit cesser, les clandestins doivent être poursuivis et expulsés et les faux demandeurs d’asile traités comme il se doit, retour au premier pays d’arrivée.

Le laxisme a un prix et il est de plus en plus coûteux pour tous les Genevois. A quatre mois des élections nationales, il est à espérer que notre population se réveillera et votera pour l’UDC qui s’oppose depuis bientôt vingt ans à cette pseudo élite politique qui aurait conduit n’importe quelle entreprise à la faillite.

Communiqué de presse UDC du 21 juin 2019

Pour infos:
Céline Amaudruz, Présidente de l'UDC-Genève, Conseillère nationale et vice-présidente de l'UDC
Stéphane Florey, député, membre du Bureau

Et si on commençait par sauver Genève?

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