La COP26 – Une tempête de stupidité
Jusqu’à présent, le meilleur commentaire sur le sommet climatique COP26 nous vient de Dieu.
Il a fait connaître son mécontentement en envoyant un vent puissant frapper une église dont le vicaire, bien intentionné mais malavisé, a demandé à ses fidèles de prier pour cette expression diabolique de la domination de l’élite mondialiste qui vénère Gaïa.
Le révérend Richard Coles, ancienne pop star et présentateur de la BBC devenu prêtre de l’Église d’Angleterre a écrit :
« Nous étions en train de prier à l’église pour la conférence COP26 lorsque nous avons été frappés par ce que je ne peux décrire que comme une tornade, qui a emporté un certain nombre d’arbres, dont cet if datant d’avant la conquête. »
M. Coles est loin d’être le seul ecclésiastique à s’être laissé prendre à cette absurdité verte. La pourriture s’étend jusqu’au sommet.
Mais si Dieu est vraiment un fan du malthusianisme, des éco-crucifix mangeurs de chauve-souris et découpeurs d’oiseaux, de la pauvreté énergétique, des jets privés pour l’élite et des restrictions de voyage pour les masses, de la cupidité des entreprises, du maquignonnage, de la corruption, des mensonges verts et de la propagande, il a une drôle de façon de le montrer.
La COP26 a débuté à Glasgow, en Écosse, comme elle va sûrement se poursuivre pendant les quinze prochains jours : dans le chaos et le désastre. Tout comme la tristement célèbre COP15 de 2009 à Copenhague, qui faisait son prêchi-prêcha sur le «réchauffement climatique» tandis que la ville était recouverte de neige, la COP26 est une parfaite tempête de stupidité.
Tout ce qui aurait pu mal tourner a mal tourné, à commencer par la liste des invités : parmi les dirigeants du monde entier, le seul qui ait pris la peine de venir est le président Joe Biden (qui est arrivé lundi à Glasgow sous la pluie) ; le président chinois Xi, le président russe Poutine et le président brésilien Bolsonaro ont apparemment tous décidé que, durant cette quinzaine de jours, ils avaient des choses plus urgentes à faire comme se laver les cheveux.
Normalement, le Premier ministre britannique Boris Johnson, qui a misé sa réputation sur le succès du sommet, aurait pu jouer sa carte maîtresse : la reine.
Malheureusement, la Reine est indisposée. Âgée de 95 ans et récemment veuve, la monarque, habituellement infatigable, est malade et ses médecins lui ont conseillé de se reposer.
Ce qui laisse à M. Johnson, comme lot de consolation, son fils aîné le prince de Galles pour faire les honneurs. Mais le prince Charles est loin d’avoir le même cachet, la même autorité ou le même prestige que la reine.
En fait, il représente plutôt un handicap.
Comme l’enfant qui criait au loup, le prince Charles a si souvent bêlé sur la menace imminente du « changement climatique » que plus personne ne prend ses rodomontades au sérieux. De plus, en tant qu’habitué du Forum économique mondial de Klaus « Anal » Schwab, il s’est révélé être un défenseur si servile de l’agenda mondialiste « Build Back Better » qu’il n’est plus du tout évident qu’il parle au nom de ses futurs « sujets ».
Le leader politique du pays hôte, l’Écosse, ne devrait pas non plus être d’une grande aide pour Johnson. Nicola « Krankie Woman (femme grincheuse)» Sturgeon est à la tête d’un parti, le Scottish National Party (SNP), qui est en profond désaccord avec les conservateurs de M. Johnson.
Et comme la ville hôte, Glasgow, est contrôlée par le SNP, son parti a l’occasion parfaite de contribuer au sabotage de l’événement.
Une grève des éboueurs de la ville, tombée à point nommé, a fait en sorte que Glasgow est envahie par les rats et par les déchets non ramassés. Le chef du conseil SNP de Glasgow a astucieusement rejeté la faute sur l’ex-première ministre Margaret Thatcher (qui est morte depuis huit ans et qui n’a jamais, même de son vivant, eu son mot à dire sur la collecte des ordures à Glasgow).
La population locale n’est guère impressionnée par les manigances politiques qui se déroulent en son sein.
Mais la COP26 n’a jamais été destinée aux prolos ; les événements de la COP ont toujours été l’expression de la suprématie des élites.
Au cours des deux prochaines semaines, des jets privés atterriront à l’aéroport de Glasgow, accueillies par des flottes de limousines pour transporter l’« élite » milliardaire et ses laquais politiques vers une zone spéciale bouclée où ils feront la leçon aux gens ordinaires sur la façon dont ils doivent vivre leur nouvel avenir « durable ».
« Fais ce que je dis, pas ce que je fais », telle est la devise de l’élite mondialiste.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
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