Bill Gates a voulu faire la leçon à la planète entière : cessons de produire du CO2 si nous ne voulons pas cramer dans peu de temps. Il s’est renseigné auprès de bon nombre de scientifiques avant d’écrire un livre de mise en garde et voici la synthèse de 10 fiches dont le contenu n’a pas été évoqué par ces scientifiques.
- Le GIEC observe que, depuis 30 ans, nous avons gagné 30 % de CO2 dans l’atmosphère – CO2 qui y restera pour des siècles, dit-il – et que, si nous arrêtons toute production de CO2, l’élévation de température sera de 0,5°C. Pourtant, dans le passé, ce surplus de CO2 a toujours été accompagné d’une élévation de température de 10°C. (cfr carottes glaciaires) Y a-t-il un lien entre ces deux phénomènes ? Pourquoi n’apparaît-il pas ces dernières années ?
- La quantité de CO2 dans l’atmosphère de Vénus est 250.000 fois plus élevée que sur la Terre et beaucoup pensent que c’est la raison de ses 460°C. Pourtant, si Vénus avait une atmosphère de 100 % de CO2 et non 96,5 %, elle devrait être transparente et glacée. En fait, l’atmosphère vénusienne est opaque et chaude grâce aux 3,5 % de gaz divers qui s’ajoutent aux 96,5 % de CO2.
- Selon le GIEC, le soleil, le CO2 et d’autres gaz apportent au sol 500 watts par mètre carré. Le sol rayonne 400 watts. Où sont passés les 100 watts ?
- Dans des écoles, les élèves reçoivent la preuve du réchauffement par le CO2 grâce à une expérience qui prouve en réalité le pouvoir isolant du CO2. Ce pouvoir isolant est le même que celui de l’argon : c’est une affaire de masse atomique. Pourtant, le GIEC est catégorique : l’argon est le modèle du gaz qui ne fait pas chauffer l’air. C’est absurde.
- Le GIEC prétend que 50 % du CO2 industriel restera pendant des siècles dans l’air. Or, en réalité, il quitte l’air très rapidement pour d’autres milieux. Toute la nature en bénéficie (plantes, plancton…)
- Actuellement, il y a bien 30 % de supplément de CO2 par rapport à ce que l’atmosphère comptait il y a 30 ans…. Les satellites météo n’en observent pas le moindre effet sur le rayonnement de la terre vers l’espace.
- En altitude (exemple : sommet de l’Everest à 9km ) le sol – avec un ensoleillement normal – est à – 40°C. Selon le GIEC, il serait à -18°C s’il n’y avait pas d’atmosphère du tout. En réalité, dans ce cas, la température devrait être beaucoup plus basse, de l’ordre de -60°C, partout au niveau du sol, au lieu des 15°C actuels. Où est l’erreur ?
- « Gaz à effet de serre » ou « effet de serre »dans l’atmosphère sont sans lien avec l’effet dans une serre. Un vocabulaire avec « opacité » et « isolation » serait plus adapté. Pourquoi utilise-t-on le terme « effet de serre » ? Pour impressionner le public ?
- Le GIEC n’évoque jamais les observations de l’astronome William Herschel (1800) et le lien entre le nombre de taches solaires et la température. Ce lien, bien réel, a déjà été observé fin du 18e siècle et a pu, depuis, être expliqué.
- Dans des textes de ses experts, le GIEC reconnaît n’avoir aucune preuve de ce qu’une augmentation de CO2 ferait chauffer l’air ! Le professeur de physique JP.van Ypersele a même écrit un livre sur le réchauffement climatique par le CO2…. sans présenter la moindre preuve de la responsabilité d’un surplus de CO2. Il en fait un dogme : faut croire…
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Claude Brasseur pour Dreuz.info.
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