Au 38, rue de la Navigation, un squat s’est formé au moins depuis le 4 février dernier lorsque la gérante de l’immeuble a essayé en vain d’ouvrir la porte d’un logement dont les serrures ont été changées. Il s’agit de trois appartements vides et vétustes. Leur utilisation, même temporaire, est devenue impossible. L’Unité des logements temporaires a donc décidé d’y renoncer. Une procédure de rénovation est en cours. Mon groupe salue les efforts de la Gérance immobilière pour rétablir l’ordre en ayant déposé plainte pénale et en ayant demandé l’évacuation des squatters au plus vite. Nous souhaitons qu’ils soient sévèrement punis. Je ne comprends pas pourquoi ces appartements n’ont pas été condamnés immédiatement, une fois l’état de délabrement constaté. Pourriez-vous donc me dire ce que fait la Ville de Genève pour empêcher de telles violations de domicile et dommages à la propriété et pourquoi elle n’a pas réussi à empêcher ce squat?
17/04/2019
Conseil municipal: ma question orale du 16 avril 2019
Ma question s’adresse à la magistrate Sandrine Salerno.
Au 38, rue de la Navigation, un squat s’est formé au moins depuis le 4 février dernier lorsque la gérante de l’immeuble a essayé en vain d’ouvrir la porte d’un logement dont les serrures ont été changées. Il s’agit de trois appartements vides et vétustes. Leur utilisation, même temporaire, est devenue impossible. L’Unité des logements temporaires a donc décidé d’y renoncer. Une procédure de rénovation est en cours. Mon groupe salue les efforts de la Gérance immobilière pour rétablir l’ordre en ayant déposé plainte pénale et en ayant demandé l’évacuation des squatters au plus vite. Nous souhaitons qu’ils soient sévèrement punis. Je ne comprends pas pourquoi ces appartements n’ont pas été condamnés immédiatement, une fois l’état de délabrement constaté. Pourriez-vous donc me dire ce que fait la Ville de Genève pour empêcher de telles violations de domicile et dommages à la propriété et pourquoi elle n’a pas réussi à empêcher ce squat?
Au 38, rue de la Navigation, un squat s’est formé au moins depuis le 4 février dernier lorsque la gérante de l’immeuble a essayé en vain d’ouvrir la porte d’un logement dont les serrures ont été changées. Il s’agit de trois appartements vides et vétustes. Leur utilisation, même temporaire, est devenue impossible. L’Unité des logements temporaires a donc décidé d’y renoncer. Une procédure de rénovation est en cours. Mon groupe salue les efforts de la Gérance immobilière pour rétablir l’ordre en ayant déposé plainte pénale et en ayant demandé l’évacuation des squatters au plus vite. Nous souhaitons qu’ils soient sévèrement punis. Je ne comprends pas pourquoi ces appartements n’ont pas été condamnés immédiatement, une fois l’état de délabrement constaté. Pourriez-vous donc me dire ce que fait la Ville de Genève pour empêcher de telles violations de domicile et dommages à la propriété et pourquoi elle n’a pas réussi à empêcher ce squat?
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