Aujourd’hui l’acquisition d’un permis d’acquisition d’une arme coute Frs 50.- approximativement. Avec l’acceptation des oukases de l’UE, le prix doublerait pour chaque tireur. KKS croyait donc pouvoir apaiser l’ire des tireurs et les amener à accepter l’inacceptable en les libérant de cette surtaxe. Elle n’a fait que souligner leur réalité en voulant la mettre sur le dos du contribuable. En réalité, chaque canton ne devrait pas seulement supporter cette augmentation, mais encore financer la surcharge administrative. Pour le canton de Genève, il s’agirait de renforcer à hauteur de 50% l’effectif du service des armes et dédié à la gestion du domaine des armes, soit trois postes à plein temps.
25/04/2019
Karin Keller-Suter se tire une balle dans le pied
Surnommée KKS par la Tribune de Genève, la conseillère fédérale Karin Keller-Suter croyait sûrement être très maline. Constatant que beaucoup de tireurs étaient sensibles aux coûts pour obtenir un permis d’acquisition d’une arme, elle a décidé de le baisser. Mal lui en a pris, car elle a sensibilisé la population aux coûts qu’elle devraient supporter en cas d’acceptation de la directive de l’UE sur les armes.
Aujourd’hui l’acquisition d’un permis d’acquisition d’une arme coute Frs 50.- approximativement. Avec l’acceptation des oukases de l’UE, le prix doublerait pour chaque tireur. KKS croyait donc pouvoir apaiser l’ire des tireurs et les amener à accepter l’inacceptable en les libérant de cette surtaxe. Elle n’a fait que souligner leur réalité en voulant la mettre sur le dos du contribuable. En réalité, chaque canton ne devrait pas seulement supporter cette augmentation, mais encore financer la surcharge administrative. Pour le canton de Genève, il s’agirait de renforcer à hauteur de 50% l’effectif du service des armes et dédié à la gestion du domaine des armes, soit trois postes à plein temps.
Aujourd’hui l’acquisition d’un permis d’acquisition d’une arme coute Frs 50.- approximativement. Avec l’acceptation des oukases de l’UE, le prix doublerait pour chaque tireur. KKS croyait donc pouvoir apaiser l’ire des tireurs et les amener à accepter l’inacceptable en les libérant de cette surtaxe. Elle n’a fait que souligner leur réalité en voulant la mettre sur le dos du contribuable. En réalité, chaque canton ne devrait pas seulement supporter cette augmentation, mais encore financer la surcharge administrative. Pour le canton de Genève, il s’agirait de renforcer à hauteur de 50% l’effectif du service des armes et dédié à la gestion du domaine des armes, soit trois postes à plein temps.
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