Une fois la science ayant compris que la mer peu profonde entre l’Asie et l’Amérique ayant pu être franchie à pied durant la dernière période glaciaire, il est devenu clair qu’il n’y avait pas d’homme rouge. Les Indiens des Amériques étaient bel et bien des mongoles comme leurs ancêtres venus d’Asie.
La génétique confirme aujourd’hui l’existence de ses trois grandes races. Le premier homme est apparu il y a 295’000 ans en Afrique. Depuis cette époque, l’homme biologique n’a guère évolué. Le premier homme aurait pu faire la même chose que nous s’il avait vécu dans le même environnement. L’homo sapiens correspond aux négroïdes.
Un ancêtre plus lointain de l’homme est l’homme de Néandertal. Venu de l’Europe, il a rencontré l’homo sapiens au proche Orient et plus tard aussi en Europe. Contrairement à ce que l’on avait longtemps cru, homo sapiens et l’homme de Néandertal ne se sont probablement pas fait la guerre, mais ont même réussi à former des couples et faire des enfants. De la sorte, les gènes de l’homme de Néandertal se retrouvent aujourd’hui dans tous les hommes ne venant pas d’Afrique.
La science a encore réussi à découvrir une dent d’un autre ancêtre de l’homme. Il s’agit de l’homme de Denisova. Or, ses gènes se retrouvent encore aujourd’hui dans les hommes venant d’Asie. La génétique vient ainsi confirmer l'existence des trois grandes races postulées par l’anthropologie depuis longtemps.
Nous voyons donc aujourd’hui l’homo sapiens pure représenté par les négroïdes, homo sapien avec des gènes de l’homme de Néandertal (les caucasiens) et homo sapien avec des gènes des Néandertaliens et de l’homme de Denisova (les mongoles).
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