Ça vous étonne? Pas vraiment, depuis que le DIP a pour ambition pédagogique de transformer la jeune génération en obsédée de la race. Et ça marche. Dans un courrier très officiel envoyé à la magistrate en charge de l’instruction publique, la socialiste Anne Emery-Torracinta, de jeunes migrants listent sur 4 pages leur revendications. Qui portent sur leur hébergement, leur accès à l’éducation et leur porte-monnaie. Ces migrants prétendument mineurs non accompagnés, souvent troublés psychiquement, étaient logés dans des structures d’urgence de la Ville jusqu'à l’an dernier. Mais même la Ville de Genève, si ouverte à l’accueil des migrants, a dit «stop » aux noms des «problèmes rencontrés». Du coup, ces jeunes – une trentaine officiellement, beaucoup plus en réalité – vivent dans les parcs pour les moins bien logés et les autres dans des hôtels où, en plus, ils auraient à faire à des agissements racistes de la part des gérants… On ignore si le petit déjeuner est servi au lit.
Ce n’est pas tout. Dans leur courrier à l’Etat, ces jeunes demandent une prise en charge financière et socio-éducative jusqu’à l’âge de 25 ans au lieu des 18 actuels. Enfin, ils souhaitent pouvoir obtenir un permis de séjour «pour éviter d’être la cible d’arrestations racistes» de la police. C’est tout ce qu’il leur faut ? Arrêtons tout de suite la plaisanterie.
Hier, un rassemblement «contre les politiques racistes» a eu lieu devant le Service de protection des mineurs. L’UDC-Genève dénonce ces demandes complètement inadmissibles et ubuesques ainsi que la générosité de nos élus actuels, à l’heure où de nombreux jeunes Genevois et Suisses ne trouvent pas de travail et de logement.
Newsletter UDC N° 282 du 15 juillet 2019
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