L’impôt sur les chiens ne rapportait que 1,2 millions bruts à un Etat disposant d’un budget de près de 8,5 milliards. A cela, il fallait encore déduire les coûts relativement élevés de perception de cet impôt obsolète. Sa disparition ne portera pas préjudice aux finances publiques, alors qu’il représentait pour les personnes de condition modeste une somme non négligeable.
Le chien était injustement le seul animal de compagnie taxé, à la différence des autres animaux de compagnie. Le rôle social de cet animal se voit ainsi reconnu, notamment auprès de certaines personnes, pour qui le fait d’avoir un chien leur permet de garder un lien social. Sans cet animal, de nombreuses personnes ne sortiraient tout simplement pas de chez elles et aggraveraient leur situation de solitude.
((Communiqué de presse UDC Genève du 1er mars 2019)
Pour tous renseignements :
Stéphane Florey, député, auteur du projet de loi
Céline Amaudruz, présidente et conseillère nationale
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