Les journalistes en manque d’informations craignent donc pour leur travail. Il n’est par conséquent que logique qu’ils s’acharnent contre celui qui le menace: le président américain Donald Trump. Et ils ne sont pas encore au bout de leurs peines. L’éditorialiste de la Tribune de Genève se plaint ainsi de la pléthore des candidats du parti démocrate. Et de conclure que «jusqu’ici, aucun des prétendants n’a réussi à sortir du lot. Une perspective inquiétante pour tous les Américains qui rêvent de voir Donald Trump battu le 3 novembre 2020.»
04/11/2019
En pacifiant le monde, Donald Trump attise la haine des journalistes
Un des pays les plus dangereux du monde prêt à lancer une guerre atomique à tout moment n’est quasiment plus mentionné dans les médias. La Corée du Nord a servi de spectre à des générations de journaliste et, du jour au lendemain, après une visite de Trump sur place, ne fait plus parler de lui. La Syrie idem. L’Etat islamique qui faisait trembler le monde entier a été battu militairement ce printemps. Son leader Abou Bakr al-Baghdadi vient d’être débusqué, après une fuite de plusieurs années. Il a été traqué par un chien et plutôt que d’être mordu, a préféré tuer deux de ses enfants en actionnant sa ceinture d’explosifs.
Les journalistes en manque d’informations craignent donc pour leur travail. Il n’est par conséquent que logique qu’ils s’acharnent contre celui qui le menace: le président américain Donald Trump. Et ils ne sont pas encore au bout de leurs peines. L’éditorialiste de la Tribune de Genève se plaint ainsi de la pléthore des candidats du parti démocrate. Et de conclure que «jusqu’ici, aucun des prétendants n’a réussi à sortir du lot. Une perspective inquiétante pour tous les Américains qui rêvent de voir Donald Trump battu le 3 novembre 2020.»
Les journalistes en manque d’informations craignent donc pour leur travail. Il n’est par conséquent que logique qu’ils s’acharnent contre celui qui le menace: le président américain Donald Trump. Et ils ne sont pas encore au bout de leurs peines. L’éditorialiste de la Tribune de Genève se plaint ainsi de la pléthore des candidats du parti démocrate. Et de conclure que «jusqu’ici, aucun des prétendants n’a réussi à sortir du lot. Une perspective inquiétante pour tous les Américains qui rêvent de voir Donald Trump battu le 3 novembre 2020.»
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