Les puissants gestionnaires de Silicon Valley, de Wall Street et les grandes corporations se sont lancés dans une guerre ouverte contre les Américains. Les entreprises qui ont longtemps profité de lois avantageuses, pensent qu’il est tout à fait normal de pénaliser les Américains qui veulent seulement protéger leurs enfants, s’assurer de l’intégrité du système électoral, et sauver le sport féminin. Ils pensent qu’ils n’auront pas à en payer le prix. Il est temps de réagir et de leur montrer qu’ils se trompent.
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Il est grand temps de sanctionner les entreprises américaines « woke » : voici comment nous pouvons commencer
Nos élus politiques doivent utiliser les pouvoirs dont ils disposent pour protéger leurs électeurs contre les puissants et riches intérêts privés qui nous ont mis dans leur ligne de mire avec tant de facilité.
Les entreprises doivent être responsabilisées. Lorsqu’elles exercent leur pouvoir avec négligence et sans ménagement pour s’en prendre au peuple américain, elles doivent en payer le prix. Pas simplement avec des remords ou de l’embarras, mais avec une douleur réelle : une douleur dans leur portefeuille, dans leur conseil d’administration et dans les bureaux de leurs conseillers juridiques.
C’est une tactique que la gauche américaine maîtrise depuis longtemps. Les boycotts et les menaces aux sponsors ont été la marque de fabrique de leur activisme, mais à de rares exceptions près, les conservateurs n’ont pas su agir de la même façon.
Si une entreprise leur fait faux bond, la gauche n’hésitera pas à utiliser le pouvoir du gouvernement, de la réglementation à l’Internal Revenue Service en passant par l’Agence de protection de l’environnement, pour l’effrayer et l’asservir.
« Le gouvernement est une arme! » nous dit la droite américaine moderne dans sa tendance libertaire. « Ne le dirigez pas vers vos adversaires, ou il sera bientôt utilisé contre vous ».
C’est logique en théorie, mais bien sûr, dès que la gauche en a l’occasion, elle retourne le pouvoir du gouvernement contre le reste d’entre nous et appuie sur la gâchette.
Au cours de l’année écoulée, nous avons vu les campagnes de pression du gouvernement, les enquêtes et les poursuites vindicatives se transformer en descentes de police dans les entreprises et les églises rebelles. Il est grand temps de dire stop : Le principe de non-agression est une belle théorie – mais c’est une théorie qui ne résiste pas à des adversaires vicieux et sans scrupules.
Il est grand temps que nos élus politiques utilisent les pouvoirs dont ils disposent pour protéger leurs électeurs contre les puissants et riches intérêts privés qui nous ont si facilement mis dans leur ligne de mire.
Les chefs d’entreprise américains d’aujourd’hui sont «woke» (éveillés). Ce qui aurait pu être au départ une simple recherche de profit, plus influencée par la peur des boycotts de la gauche que par les réprimandes des conservateurs, a depuis longtemps évolué vers une dévotion totale aux nouvelles idées.
Ce qui aurait pu être autrefois de simples pratiques commerciales impitoyables et intéressées est devenu une nouvelle religion. Les géants des corporations d’aujourd’hui ont une foi totale dans leur nouvelle moralité. Ils ont adhéré à la priorité religieuse du «réveil», et cela les anime à un tel point qu’ils croient vraiment qu’ils servent la cause du bien, qu’ils refont le monde.
Notre ancienne économie capitaliste était autrefois dynamique, créant un modèle de Chambre de commerce de propriétaires d’entreprises géographiquement diversifiées qui avaient des liens avec des villes du Midwest, du Sud, de l’Ouest – dans tout le pays.
La dégradation progressive de l’industrie et l’essor de la technologie et de la finance ont créé une économie de plus en plus dominée par des élites des Côtes Est et Ouest ayant peu ou pas de liens avec le centre du pays.
Ces hommes exercent une domination démesurée, et ils sont «éveillés». De plus, il ne s’agit pas seulement des jeunes suspects habituels comme Mark Zuckerberg et Jack Dorsey, mais aussi de vieux PDG comme Michael Bloomberg, Tom Steyer, Jeff Bezos, et les dizaines de personnes qui veulent leur ressembler.
Il existe des moyens de les battre, bien sûr. Si la politique d’entreprise peut sembler amusante, et si les petits hommes des ressources humaines et des relations publiques arrivent à avoir beaucoup d’influence, les comptables et les avocats détiennent toujours le vrai pouvoir dans ces entreprises. Alors comment faire pour les vaincre ?
La honte ne fonctionne pas. Les membres du Congrès, les sénateurs, les gouverneurs et même les déclarations indignées des clients, aussi justes soient-elles, ont peu d’impact. Il suffit de regarder les entreprises qui ont dépensé des millions dans des publicités pour le Super Bowl traitant les conservateurs de racistes. Les bien-pensants se sont moqués de ces entreprises pendant des jours. C’était il y a seulement quelques mois. Pouvez-vous seulement vous rappeler desquelles il s’agissait? Lesquelles m’ont traité de raciste ? Je suis presque sûr que Jeep m’a insulté, mais ça devient brumeux.
Des entreprises comme la Major League Baseball, qui sont passées de la simple insulte à l’action punitive, sont également insensibles à la raison. Déplacer le All-Star game à Denver, Colorado, un État qui, à juste titre, a des protections plus strictes que la Géorgie en matière d’intégrité des élections, ne semble pas du tout déranger les dirigeants de la ligue.
Peut-être pourraient-ils ensuite déplacer le match en Chine, un marché qu’ils adorent, où il n’y a pas de lois électorales susceptibles de leur déplaire.
Leur feinte leçon de morale contre la Géorgie est un joli petit mensonge, mais il ne sera plus aussi joli quand il apparaîtra sur une feuille de calcul lors d’une réunion d’actionnaires ou de conseil d’administration d’une entreprise. Comment pouvons-nous faire cela ?
La contre- attaque
Les boycotts seront difficiles, même s’ils sont faciles à prononcer. Si vous vivez dans une région desservie par Delta ou United Airlines, il est très probable que vous les utiliserez, même si elles deviennent de plus en plus agressives à l’égard des conservateurs. Vos options aériennes peuvent être limitées, et si vous devez vous rendre quelque part et que vous n’avez pas du temps ou des ressources illimités, eh bien, vous allez choisir ce qui est le plus accessible et le plus abordable.
Si vous buvez du Coca-Cola, un produit fabriqué par une entreprise qui condamne fréquemment les conservateurs, vous passerez peut-être au Pepsi, mais combien suivront ? Cela n’a pas d’importance de toute façon, les boycotts sont de faibles attaques.
Les Américains qui s’inquiètent des sociétés qui font pression contre les intérêts des citoyens doivent frapper les entreprises là où cela leur fait vraiment mal. Nous devons reprendre cette vieille arme qu’ils appellent le gouvernement.
Selon le Ministère de la Justice, « la plupart des grands transporteurs du monde entier ont rejoint l’une des trois alliances internationales de compagnies aériennes » – des alliances qui ont été autorisées à fixer les prix grâce aux exemptions antitrust que leur a accordées le Ministère des Transports. Plusieurs Républicains ont proposé de retirer ces exemptions aux compagnies aériennes. C’est logique, et le DOJ a constaté que cela aiderait même les voyageurs.
Mais pour nous, cela nuirait à ces entreprises qui cherchent à nous faire du mal, et montrerait clairement que lorsqu’elles s’aliènent les Américains, elles se blessent elles-mêmes.
Malgré tous ses profits et son orgueil, la Major League Baseball n’est qu’un autre protégé du gouvernement. Tandis qu’elle réalise des milliards de bénéfices, les Américains ont dépensé des milliards de leurs poches sous forme de subventions et d’obligations municipales rien que depuis l’an 2000.
Les obligations municipales, qui sont en fait des obligations garanties par l’État, non imposées au niveau fédéral et assorties de taux d’intérêt bien inférieurs à ceux que nous payons, sont censées servir à construire des routes, des bibliothèques publiques et d’autres projets que les villes pourraient souhaiter.
Les routes et les bibliothèques publiques, comme certains pourraient le remarquer, ne sont pas le genre d’endroits qui vous coûteront 300 dollars lorsque vous amenez vos enfants pour manger des hotdogs et jouer à un jeu.
Chacun d’entre nous peut acheter ces obligations, mais peu d’entre nous parviennent à les avoir – c’est-à-dire, à moins que vous ne possédiez une équipe de sport professionnelle. C’est une bonne affaire si vous pouvez l’obtenir.
Peut-être qu’une organisation qui se présente comme le passe-temps de l’Amérique, où nous nous rassemblons, chantons l’hymne national, mangeons leurs hotdogs à 12$ et mettons la politique de côté, ne devrait pas oublier sa place dans notre société – et toutes les petites allocations que nous avons autorisées pour qu’elle obtienne cette place.
Mais qu’en est-il de ceux d’entre nous qui ne sont pas des politiciens ? Que pouvons-nous faire ?
Avez-vous déjà été convoqué à des réunions obligatoires pour que des employés débutants ou des fanfarons surpayés vous disent que la couleur de votre peau fait de vous une mauvaise personne ? Beaucoup de gens ont vécu cela. C’est ce que les avocats appellent « un environnement de travail hostile ». C’est un terme juridique. Il effraie le patron.
Servez-vous-en.
Voyons combien de temps durera cette partie de plaisir quand la douleur que ces entreprises infligent si négligemment aux Américains remontera vers eux.
Voyons combien de temps il faudra aux avocats pour appeler les patrons et demander pourquoi exactement des employés de 25 ans réprimandaient leurs collègues lors d’un séminaire obligatoire sur le privilège des blancs.
Voyons combien de temps durera le règne des petits tyrans du bureau des Ressources Humaines lorsqu’un recours collectif interne glissera sur le bureau de l’avocat général à l’étage. Ils sont capables d’en découdre, mais voyons combien de temps ils peuvent le supporter.
Ce que nous observons, c’est que les personnes les plus puissantes de notre pays, d’Hollywood et de la Silicon Valley à Wall Street et au bureau du commissaire, lancent une guerre ouverte contre les Américains qui sont moins riches et moins influents qu’eux. Les chrétiens, les conservateurs, les travailleurs blancs pauvres, nos législateurs d’État – voilà leurs cibles. Nous sommes les cibles.
Les entreprises qui ont longtemps profité de nos lois en se taillant des coins et des recoins spéciaux qui ne sont pas accessibles au reste d’entre nous, pensent qu’il est tout à fait normal de faire volte-face et d’attaquer et de pénaliser les Américains qui tentent de protéger leurs enfants contre les expériences des militants transgenristes, de surveiller les élections et de sauver le sport féminin.
Ils pensent qu’il n’y aura pas de conséquences. Ils pensent qu’ils vont s’en sortir. Il est temps de leur montrer le contraire. Il est temps de leur rendre la monnaie de leur pièce.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
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