Sur la vidéo de l’événement, on voit un prince contemplant la belle longuement avant de s’éloigner. Il n’a pas osé l’embrasser, ne sentant rien en sa présence. Quant aux princesses, elles dorment tout aussi profondément que la belle au bois dormant du conte de fées : aucune n’a encore ouvert ses yeux !
Et si la princesse se réveille un jour et l’un des deux ne voudra pas tenir le contrat signé ? Ni le prince, ni la princesse ne pourrait obliger l’autre au mariage, dans l’hypothèse au moins que le droit ukrainien corresponde en cela au droit suisse. L’art. 90 al. 3 du Code civil est clair à ce sujet : La Loi n’accorde pas d’action pour contraindre au mariage le fiancé qui s’y refuse.