Elevez-vous à de plus grandes hauteurs que vous avez connues auparavant. Rappelez-vous: Où je suis est la victoire. Les forces du mal, à l'intérieur et à l'extérieur de vous, fuient devant ma présence.
20/05/2018
Le texte du 20 mai: Conquérez-moi - conquérez-tout
18/05/2018
La passerelle du Mont-Blanc renvoyée aux calendes grecques
Trois séances bâclées en Commission des travaux sont-elles suffisantes pour voter un crédit de 2 millions de francs pour un projet de passerelle dont le coût total est estimé entre 20 et 40 millions de francs, sinon plus ? Pour l’UDC, ce projet mal ficelé n’était pas prêt pour être voté.
Le pont du Mont-Blanc n’est pas très propice pour être traversé à vélo. La Ville de Genève a donc fermé le pont des Bergues à la circulation, afin que les cyclistes puissent l’emprunter sans le moindre danger. Seulement voilà, le pont des Bergues ainsi libéré du trafic automobile n’est pas assez attractif pour les cyclistes qui refusent de faire un détour de quelques secondes de plus pour être en sécurité. La vitesse prime avant tout. Ils préfèrent ainsi toujours de passer par le Pont du Mont-Blanc ou d’emprunter le trottoir de ce pont sans être inquiétés par la police.
Un concours pour trouver une solution a alors été organisé. Ses gagnants ont eu l’idée de laisser le trottoir aux cyclistes et de protéger les piétons en construisant une passerelle pour eux, avec interdiction faite aux cyclistes de l’emprunter. On voit déjà surgir le premier problème. Comment empêcher les cyclistes à emprunter la passerelle, puisque la volonté politique manque à Genève pour leur interdire quoi que ce soit? A cela s’ajoutent encore d’autres usagers indésirables sur les trottoirs comme les skate-boards ou autres rollers. Pour l’UDC, il est évident que la construction de la passerelle n'améliore pas le sort des piétons qui ont besoin d’être protégés des cyclistes ne respectant aucune règle.
Le Groupement Transport et Economie soutient le projet lauréat. Il reconnaît cependant que la problématique des Mouettes n’était pas réglée et qu’il n’était pas clair qui prendrait en charge les coûts du déplacement du débarcadère du Mont-Blanc. A ce sujet, le Conseil d’Etat avait clairement refusé toute participation du canton. Il s’agit tout de même d’un montant approximatif de deux millions de francs pour le déplacement des deux débarcadères situés du côté du Jardin Anglais. Le débarcadère du Mont-Blanc est le seul qui permet aux capitaines des bateaux de la CGN à se mettre à l’abri de la bise. Son déplacement ne permettrait plus leur accostage en venant de Lausanne et mettrait ainsi en péril l’exploitation des bateaux Belle Epoque, avec un effet négatif sur la rade et une diminution de son attrait touristique. De toute façon, son déplacement coûterait approximativement 1,5 millions de francs que personne ne souhaite prendre en charge.
Autre point à prendre en considération: l’utilisation accrue du Pont du Mont-Blanc sollicite fortement sa structure, de sorte qu’il devrait probablement être rénové d’ici quinze à vingt ans pour un coût estimé à 180 millions de francs. Ne serait-il alors pas plus sage de renoncer à la construction de la passerelle et de trouver une meilleure solution à ce moment prévisible de notre avenir proche?
Au fil des audiences en commission, nous nous étions alors vu confrontés au même phénomène que lors du vote du Musée d’art et d’histoire, c’est-à-dire que la majorité s’était brutalement imposée, faisant fi de toute règle de bonne gouvernance et de respect démocratique. Le résultat par rapport au Musée d’art et d’histoire est connu: le peuple a refusé cette façon de faire en votation populaire et a ouvert la voie à une vraie solution.
Pour toutes ces raisons, l’UDC a estimé que le projet de délibération n’était pas prêt à être voté et a refusé de dilapider deux millions de francs pour l’étude d’un projet dont il était déjà prévisible qu’il ne pourra jamais être réalisé. Au lieu de prendre le risque qu’une alliance de mauvaise augure entre le PDC, le Parti socialiste et les Verts fasse le forcing en votant malgré tout ce crédit insensé, l’UDC a préféré soutenir une motion d’ordre demandant le renvoi du projet de passerelle à la Commission des travaux.
Un concours pour trouver une solution a alors été organisé. Ses gagnants ont eu l’idée de laisser le trottoir aux cyclistes et de protéger les piétons en construisant une passerelle pour eux, avec interdiction faite aux cyclistes de l’emprunter. On voit déjà surgir le premier problème. Comment empêcher les cyclistes à emprunter la passerelle, puisque la volonté politique manque à Genève pour leur interdire quoi que ce soit? A cela s’ajoutent encore d’autres usagers indésirables sur les trottoirs comme les skate-boards ou autres rollers. Pour l’UDC, il est évident que la construction de la passerelle n'améliore pas le sort des piétons qui ont besoin d’être protégés des cyclistes ne respectant aucune règle.
Le Groupement Transport et Economie soutient le projet lauréat. Il reconnaît cependant que la problématique des Mouettes n’était pas réglée et qu’il n’était pas clair qui prendrait en charge les coûts du déplacement du débarcadère du Mont-Blanc. A ce sujet, le Conseil d’Etat avait clairement refusé toute participation du canton. Il s’agit tout de même d’un montant approximatif de deux millions de francs pour le déplacement des deux débarcadères situés du côté du Jardin Anglais. Le débarcadère du Mont-Blanc est le seul qui permet aux capitaines des bateaux de la CGN à se mettre à l’abri de la bise. Son déplacement ne permettrait plus leur accostage en venant de Lausanne et mettrait ainsi en péril l’exploitation des bateaux Belle Epoque, avec un effet négatif sur la rade et une diminution de son attrait touristique. De toute façon, son déplacement coûterait approximativement 1,5 millions de francs que personne ne souhaite prendre en charge.
Autre point à prendre en considération: l’utilisation accrue du Pont du Mont-Blanc sollicite fortement sa structure, de sorte qu’il devrait probablement être rénové d’ici quinze à vingt ans pour un coût estimé à 180 millions de francs. Ne serait-il alors pas plus sage de renoncer à la construction de la passerelle et de trouver une meilleure solution à ce moment prévisible de notre avenir proche?
Au fil des audiences en commission, nous nous étions alors vu confrontés au même phénomène que lors du vote du Musée d’art et d’histoire, c’est-à-dire que la majorité s’était brutalement imposée, faisant fi de toute règle de bonne gouvernance et de respect démocratique. Le résultat par rapport au Musée d’art et d’histoire est connu: le peuple a refusé cette façon de faire en votation populaire et a ouvert la voie à une vraie solution.
Pour toutes ces raisons, l’UDC a estimé que le projet de délibération n’était pas prêt à être voté et a refusé de dilapider deux millions de francs pour l’étude d’un projet dont il était déjà prévisible qu’il ne pourra jamais être réalisé. Au lieu de prendre le risque qu’une alliance de mauvaise augure entre le PDC, le Parti socialiste et les Verts fasse le forcing en votant malgré tout ce crédit insensé, l’UDC a préféré soutenir une motion d’ordre demandant le renvoi du projet de passerelle à la Commission des travaux.
Le pont du Mont-Blanc
16/05/2018
Comité de développement et de propriété intellectuelle (CDIP) – 21ème session
Du 14 au 18 mai 2018, se tient à Genève le Comité du développement et de la propriété intellectuelle. La fourniture de l’assistance technique est au coeur de la mise en oeuvre du plan d’action pour le développement. Notre présidente Madeleine Scherb y prend part. Un éventail d’activités (diverses formes d’assistance technique) pour les besoins des états membres adaptés à leurs situations spécifiques de façon stratégique sont définies.
Il est important de savoir que l »assistance technique aide les pays membres de l’OMPI (organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle) à créer des activités bénéficiant aux nombreux pays en développement. Par exemple les cours de formation en matière de dépôts de demande des brevets . La Chine en a fait mention et se dit prête à fournir de l’assistance technique aux autres pays en développement dans la mesure de ses capacités. L’accent est mis sur l’égalité homme-femme dans les procédures suivies.
Depuis 2007, l’OMPI joue un rôle remarquable à cet effet. Elle élabore des projets entrant dans les besoins des états membres. Son engagement se fonde sur sa contribution aux objectifs de développement durables fixés en 2015. Les demandeurs que sont les pays en développement sollicitent l’assistance technique et le transfert de technologie. L’agenda des 45 recommandations des Nations Unies pour le développement doit être accompagné par des objectifs de développement durables (ODD) associés eux-mêmes aux outils appropriés. Les questions à examiner pendant la 21ème session du CDIP sont entre autres le renforcement des capacités, des activités des offices de propriété intellectuelle, la sensibilisation à la communication, les équilibres dans les écosystèmes de l’innovation et la manière pour l’OMPI de façonner les projets sur le plan d’action pour le développement. De nombreux membres en ont bénéficié. En outre, l’Académie de l’OMPI propose des formations variées. Pour en tirer avantage, les pays africains demandent la tenue d’une conférence bi-annuelle du développement et la propriété intellectuelle.
Il y a eu des actions multiples pendant six sessions du Comité donc le document CDIP 21/9 sur le choix des consultants chargés de l’assistance technique. Le cadre général concernant la sélection des candidats respecte les contrats individuels définis dans le contrat ordinaire du personnel et du budget de l’OMPI selon les participants. Toutes les recommandations de la 18ème session du CDIP avaient été prises en compte et mis en oeuvre. Les pratiques actuelles sont transparentes et équilibrées. La procédure de sélection n’alourdit pas la procédure. Elle permet en effet d’identifier les spécialistes et l’OMPI est encouragée à mettre la liste des consultants à jour. L’assistance technique se fait en fonction des besoins et des exigences des états membres, par conséquent, le choix du meilleur candidat et de la protection des intérêts de l’organisation entrent en ligne de compte.
Le groupe africain par la voix du Maroc félicite les pratiques suivies du choix des consultants, la conformité des recommandations effectuée par le Secrétariat du point 6 s’agissant du plan d’action pour le développement. Il se pose néanmoins la question de savoir comment détecter d’éventuels conflits d’intérêts.
Il n’en reste pas moins que la justice sociale et la durabilité de l’environnement sont des facteurs clés du développement a martelé le représentant du Brésil.
Le comité de développement et de propriété intellectuelle siège
15/05/2018
Rappel: il faut interdire le port du voile à Genève
Après l’acceptation par le Tessin de l'interdiction du port du voile dans l’espace public et l'interdiction du voile islamique intégral par le Tschad et le Cameroun, il est grand temps de faire la même chose à Genève. Un ami égyptien rencontré par hasard au bord du lac m’a informé qu’il n’a trouvé nulle part dans le coran la prescription faite aux femmes de porter le voile. En revanche, cela se trouve dans la Charia, à côté de l’exigence de couper le bras au voleur et d’autres monstruosités. De même que personne n’ose exiger l’introduction de telles peines cruelles, il faut renoncer à la cruauté de dépersonnaliser les femmes en les mettant « dans un uniforme» et leur permettre d’exprimer librement leur personnalité.
Voici la proposition UDC à la constituante : « Le port de vêtement cachant le visage est interdit en public à toute personne domiciliée dans le canton. La loi peut prévoir des exceptions. »
Et voici le commentaire de notre rapporteur :
« Pour le groupe UDC, cela fait partie de la dignité humaine que de pouvoir évoluer à visage découvert dans cette République. Se cacher, pour ceux qui le font volontairement, est un signe de méfiance à l’égard du reste de la population, à l’égard de la collectivité. On a en mémoire les tristes événements du G8 où les gens avaient cru bon cacher leur visage pour commettre des méfaits. On a aussi actuellement un débat général sur des personnes qui se cachent le visage pour d’autres raisons que nous appellerons des raisons culturelles, et l’amendement que nous proposons vise à interdire le port de vêtement qui cache le visage, parce que c’est absolument incompatible avec notre conception de la dignité humaine. C’est absolument incompatible avec l’égalité que l’on doit prôner entre l’homme et la femme, et surtout, cela est destiné à introduire aux personnes, à qui on force de porter un vêtement qui cache le visage, une volonté de non-intégration à notre société. Se cacher le visage représente une telle horreur pour la plupart d’entre nous que le sentiment de la dignité humaine que nous éprouvons en est atteint et que cela fait vraiment partie des choses que nous devons protéger parce qu’une personne qui se cache le visage ne peut pas s’intégrer à notre société. Nous posons cet amendement dans un but d’intégration. »
Voici la proposition UDC à la constituante : « Le port de vêtement cachant le visage est interdit en public à toute personne domiciliée dans le canton. La loi peut prévoir des exceptions. »
Et voici le commentaire de notre rapporteur :
« Pour le groupe UDC, cela fait partie de la dignité humaine que de pouvoir évoluer à visage découvert dans cette République. Se cacher, pour ceux qui le font volontairement, est un signe de méfiance à l’égard du reste de la population, à l’égard de la collectivité. On a en mémoire les tristes événements du G8 où les gens avaient cru bon cacher leur visage pour commettre des méfaits. On a aussi actuellement un débat général sur des personnes qui se cachent le visage pour d’autres raisons que nous appellerons des raisons culturelles, et l’amendement que nous proposons vise à interdire le port de vêtement qui cache le visage, parce que c’est absolument incompatible avec notre conception de la dignité humaine. C’est absolument incompatible avec l’égalité que l’on doit prôner entre l’homme et la femme, et surtout, cela est destiné à introduire aux personnes, à qui on force de porter un vêtement qui cache le visage, une volonté de non-intégration à notre société. Se cacher le visage représente une telle horreur pour la plupart d’entre nous que le sentiment de la dignité humaine que nous éprouvons en est atteint et que cela fait vraiment partie des choses que nous devons protéger parce qu’une personne qui se cache le visage ne peut pas s’intégrer à notre société. Nous posons cet amendement dans un but d’intégration. »
Une femme voilée
14/05/2018
Health and Environment Program participe au Comité du développement et de la propriété intellectuelle
L'ONG Health and Environment Program (HEP) bénéficie du statut d'observatrice permanente de l'Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI). Elle suit dès lors avec attention les séances de son Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP).
Le CDIP a été créé en 2008 dans le but de mettre en oeuvre 45 recommandations du Plan d'action pour le développememt. Elles sont réparties en six groupes, soit l'assistance technique et le renforcement des capacités (groupe A), l'établissement de normes, de flexibilités, de politique des pouvoirs publics et du domaine public (groupe B), le transfert de technologie, les techniques de l’information et de la communication (TIC) et l'accès aux savoirs (groupe C), les évaluations et études des incidences (groupe D), les questions institutionnelles, le mandat et la gouvernance (groupe E), et Divers (groupe F).
Pour HEP, il s'agit de déceler les opportunités pour ses membres au Cameroun et en Afrique en général, de les communiquer et de les défendre, en contact étroit avec les représentants des gouvernements.
Le comité du développement et de la propriété intellectuelle en pleine séance
13/05/2018
Le texte du 13 mai: Ne jugez jamais
Quelle joie suit la conquête de soi! Vous ne pouvez pas conquérir et contrôler les autres, vous deux, jusqu'à ce que vous vous soyez complètement conquises.
Pouvez-vous vous concevoir absolument impassibles? Pensez à Moi en face des soldats moqueurs, frappé, craché dessus et ne répondant jamais ne serait-ce qu'un seul mot, pas un seul mot. Essayez de voir cela comme un pouvoir divin. Rappelez-vous que ce pouvoir de silence parfait, ce parfait contrôle de soi, est le seul moyen pour prouver votre droit de gouverner.
Ne jugez jamais. Le coeur de l'homme est si délicat, si complexe que seul son créateur peut le connaître. Chaque cœur est si différent, actionné par des motifs différents, contrôlé par des circonstances différentes, influencé par des souffrances différentes.
Comment peut-on juger un autre? Laissez-le à Moi de dévoiler les énigmes de la vie. Laissez-Moi l'enseignement de la compréhension. Apportez chaque cœur à Moi, son Créateur, et laissez-le avec Moi. Sécurisé dans la certitude que tout ce qui est faux, Je peux le remettre en ordre.
«Ne jugez point, afin que vous ne soyez point jugés.» (Mt 7: 1)
ITraduit de God calling)
Pouvez-vous vous concevoir absolument impassibles? Pensez à Moi en face des soldats moqueurs, frappé, craché dessus et ne répondant jamais ne serait-ce qu'un seul mot, pas un seul mot. Essayez de voir cela comme un pouvoir divin. Rappelez-vous que ce pouvoir de silence parfait, ce parfait contrôle de soi, est le seul moyen pour prouver votre droit de gouverner.
Ne jugez jamais. Le coeur de l'homme est si délicat, si complexe que seul son créateur peut le connaître. Chaque cœur est si différent, actionné par des motifs différents, contrôlé par des circonstances différentes, influencé par des souffrances différentes.
Comment peut-on juger un autre? Laissez-le à Moi de dévoiler les énigmes de la vie. Laissez-Moi l'enseignement de la compréhension. Apportez chaque cœur à Moi, son Créateur, et laissez-le avec Moi. Sécurisé dans la certitude que tout ce qui est faux, Je peux le remettre en ordre.
«Ne jugez point, afin que vous ne soyez point jugés.» (Mt 7: 1)
ITraduit de God calling)
Romanino: Les trompettistes appellent les gens à adorer un dieu assyrien
12/05/2018
Ceux qui ne voulaient pas sauver Luc Barthassat
Dans une brillante analyse, le blogeur Jean-Charles Magnin fait connaître les raisons de la non-réélection de Luc Barthassat. Il le connait de même que sa famille depuis 45 ans et sait donc de quoi il parle.
Pour lui, son insuccès lors de la dernière élection est dû à 6 raisons principales. Il s'agit de l'agacement des élites, du style et de l'hyper-communication, de l'entourage et de la maîtrise des dossiers, des médias, de l'alliance peu fiable et, finalement, du mode d'élection.
J'ajoute une raison supplémentaire qui est pour moi même déterminant. C'est l'absence de volonté de l'entente de gouverner. Le Parti radical, le Parti libéral et le PDC formaient jadis ce que l'on nommaient la droite. Cette droite avait réussi à faire élire sept Conseillers d'Etat en automne 1993. Avec ce gouvernement monocolore, tous les espoirs étaient dorénavant permis. Quatre référendums ont cependant rapidement mis un terme à cet enthousiasme. Le peuple avait ainsi par exemple refusé la privatisation de la Clinique genevoise de Crans-Montana et du Service des automobiles et de la navigation. Avec ces défaites, l'élan était brisé et le gouvernement monocolore fut un échec.
Dorénavant, le PLR et le PDC n'osent plus s'imposer et préfèrent nettement l'élection d'un gouvernement de gauche, avec la participation de trois Conseilers d'Etat de l'entente, histoire de pouvoir imputer la responsabilité de tout échec à la gauche. Ils n'ont pas le courage de se tourner vers leur alié naturel et historique, l'UDC. Hélas, même en fuyant, ils seront toujours tenus comme responsables.
Pour lui, son insuccès lors de la dernière élection est dû à 6 raisons principales. Il s'agit de l'agacement des élites, du style et de l'hyper-communication, de l'entourage et de la maîtrise des dossiers, des médias, de l'alliance peu fiable et, finalement, du mode d'élection.
J'ajoute une raison supplémentaire qui est pour moi même déterminant. C'est l'absence de volonté de l'entente de gouverner. Le Parti radical, le Parti libéral et le PDC formaient jadis ce que l'on nommaient la droite. Cette droite avait réussi à faire élire sept Conseillers d'Etat en automne 1993. Avec ce gouvernement monocolore, tous les espoirs étaient dorénavant permis. Quatre référendums ont cependant rapidement mis un terme à cet enthousiasme. Le peuple avait ainsi par exemple refusé la privatisation de la Clinique genevoise de Crans-Montana et du Service des automobiles et de la navigation. Avec ces défaites, l'élan était brisé et le gouvernement monocolore fut un échec.
Dorénavant, le PLR et le PDC n'osent plus s'imposer et préfèrent nettement l'élection d'un gouvernement de gauche, avec la participation de trois Conseilers d'Etat de l'entente, histoire de pouvoir imputer la responsabilité de tout échec à la gauche. Ils n'ont pas le courage de se tourner vers leur alié naturel et historique, l'UDC. Hélas, même en fuyant, ils seront toujours tenus comme responsables.
Le Conseiller d'Etat Luc Barthassat
11/05/2018
Madeleine Scherb aux travaux du Comité intergouvernemental de l’OMPI dès sa création
Le Comité intergouvernemental de la propriété intellectuelle relative aux ressources génétiques, aux savoirs traditionnels et aux expressions culturelles traditionnelles ou folklore a été créé en septembre 2000. La présidente de « Health and Environment Program », Madeleine Scherb invitée par l’OMPI a ainsi assisté à la première session dudit Comité.
Quel était le but des travaux du Comité intergouvernemental, composé des Etats membres et des organisations non gouvernementales avec statut d’observateur? Il avait été question d’élaborer un traité international contraignant pour les 191 Etats membres de l’OMPI.
Qu’en est-il aujourd’hui, 18 ans après la création de ce Comité?
Le traité repose sur la base du consensus dégagé entre les Etats membres de l’OMPI. Les ONGs font des propositions, pour qu’elles soient valables, il faut l’appui d’un Etat au minimum. La notion de « peuple autochtone » est entre crochets ainsi que plusieurs autres questions. Par conséquent, il n’y a toujours pas de texte définitif prêt en vue d’une éventuelle adoption du traité et ceci pour diverses raisons à savoir:
- La nature de l’instrument à adopter, qu’il soit contraignant pour les Etats membres ou simplement fournir des directives générales et donc non contraignant;
- les objectifs, la portée et l’objet de l’instrument; s’il faut prévoir une obligation d’exiger des demandeurs de droits de propriété intellectuelle qu’ils divulguent la source ou l’origine des connaissances traditionnelles qu’ils ont utilisées pour développer leur invention ou d’autres travaux de création;
- s’il faut imposer des sanctions, y compris la révocation des droits de propriété intellectuelle si l’obligation de divulgation n’est pas respectée; et s’il faut exiger l’utilisation de bases de données pour compléter ou remplacer l’exigence de divulgation.
- L’hypothèse sous-jacente à ces approches est que les informations à divulguer ou contenues dans les bases de données pourraient être utilisées par les parties prenantes concernées pour exiger un partage des avantages découlant de l’exploitation des ressources génétiques et des connaissances traditionnelles liées à l’information.
En conclusion, Il devient urgent de combler les lacunes dans le texte actuel de l’instrument international qui est assez long, contient de nombreuses duplications et avec trop de crochets placés autour de diverses dispositions indiquant des divergences dans les positions des délégués. Réduire le nombre de parenthèses grâce à un effort déterminé de consensus, fusionner des idées et des thèmes, éliminer les doublons et réorganiser les dispositions permettrait d’aboutir à un texte plus simple, plus clair et plus cohérent et donc adapté à un traité international.
Madeleine Scherb en compagnie de l'inventeur béninois A. M. Toni
10/05/2018
Dans l'attente de la visite du Pape
Les préparations de la prochaine visite du Pape à Genève vont bon train. Il est tellement sollicité de partout qu'il ne pourra en fait rester plus longtemps que 10 heures dans notre ville. Pour le fidèle qui souhaite le voir et assister à la messe à Palexpo, c'est aussi le moment d'agir. Au moins s'il veut avoir une bonne place, il lui faut s'inscrire pour avoir le droit à un billet donnant accès à la messe.
Il est donc bien de fêter l'Ascension, le dernier jour du Christ sur terre, en pensant déjà au successeur de Saint Pierre, chargé par lui de bâtir l'église. Que la fête soit belle!
Le Pape François
08/05/2018
Assainissement de la Caisse de pension des fonctionnaires (CPEG): la quadrature du cercle
Trois grands «chantiers» attendent le nouveau Conseil d'Etat, selon le constat posé par la Tribune de Genève de ce jour. Le premier concerne le renflouement de la caisse de pension de l'Etat. Ce sujet figure depuis des années en haut des préoccupations de l'Union démocratique du centre (UDC), bien seule à s'y intéresser vraiment.
Par un jeu trouble du PLR qui a mené à l'élimination du PDC Luc Barthassat sans son remplacement par une personne marquée clairement à droite, Yves Nidegger, la gauche avec ses trois Conseillers d'Etat, renforcés par Mauro Poggia, sera donc en mesure de s'opposer à toute tentative de faire participer les fonctionnaires à ce renflouement tant nécessaire, laissant le soin de le financer aux contribuables.
Une fois de plus, l'UDC est la seule à s'inquiéter de la perte dramatique de 4'000 emplois équivalent plein temps dans le secteur privé, selon les dernières données de 2016. En clair: il sera de plus en plus difficile pour ceux qui habitent le canton et ne sont pas encore remplacés à leur travail par des non-résidents de financer un appareil étatique toujours plus pesant. Car, bien entendu, ils seront les seuls à le financer, même pas aidés par les fonctionnaires qui habitent en France voisine ou, pour certains cadres haut placés, à Lausanne.
Par un jeu trouble du PLR qui a mené à l'élimination du PDC Luc Barthassat sans son remplacement par une personne marquée clairement à droite, Yves Nidegger, la gauche avec ses trois Conseillers d'Etat, renforcés par Mauro Poggia, sera donc en mesure de s'opposer à toute tentative de faire participer les fonctionnaires à ce renflouement tant nécessaire, laissant le soin de le financer aux contribuables.
Une fois de plus, l'UDC est la seule à s'inquiéter de la perte dramatique de 4'000 emplois équivalent plein temps dans le secteur privé, selon les dernières données de 2016. En clair: il sera de plus en plus difficile pour ceux qui habitent le canton et ne sont pas encore remplacés à leur travail par des non-résidents de financer un appareil étatique toujours plus pesant. Car, bien entendu, ils seront les seuls à le financer, même pas aidés par les fonctionnaires qui habitent en France voisine ou, pour certains cadres haut placés, à Lausanne.
Statue d'un fonctionnaire
06/05/2018
Un grand merci aux 23'940 électeurs qui ont voté Yves NIDEGGER au 2ème tour
L’UDC remercie les 23'940 électeurs qui ont voté pour Yves NIDEGGER au second tour de l’élection au Conseil d’Etat.
Plus d’un électeur sur 4 a inscrit le nom du candidat UDC sur son bulletin de vote, soit 4’440 électeurs de plus qu’au premier tour (19'500 voix). Ce score (26,4%), qui dépasse très nettement le cercle des électeurs UDC et représente le résultat le plus élevé jamais obtenu par un candidat UDC dans une élection au Conseil d’Etat genevois, témoigne de la confiance d’une part significative des électeurs du canton envers la personnalité d’Yves NIDEGGER mais aussi le programme de l’UDC dont il était le seul représentant au second tour.
L’UDC sait qu’en en dépit des performances personnelles de ses candidats, elle restera hors du Conseil d’Etat tant que l’UDC sera seule à appeler à voter pour un candidat UDC, alors que les autres formations regroupent leurs forces. Tirant les leçons de ce constat, l’UDC va s’employer durant la prochaine législature à constituer une alliance, soit avec le MCG avec lequel elle partage le thème commun du contrôle de la frontière, soit avec le PLR avec lequel elle partage la conviction que l’économie libérale et une fiscalité modérée sont sources de vraie prospérité.
L’UDC félicite le PLR pour avoir su conserver ses deux sièges au Conseil d’Etat mais lui reproche amèrement d’avoir contribué à livrer le Canton à une majorité de gauche en s’obstinant, de plus sans conviction, à prétendre sauver le siège de Luc Barthassat dont tous savaient qu’il ne faisait plus rêver les électeurs. A l’inverse, une collaboration électorale avec l’UDC aurait permis à la droite trahie de conserver une majorité au Conseil d’Etat. Cette faute politique est d’autant plus grave pour Genève que la majorité de gauche issue des urnes va enterrer pour cinq ans tout espoir de réduire le nombre délétère des fonctionnaires cantonaux, alors que cette réduction serait parfaitement possible aujourd’hui sans licenciement ni baisse de prestations par l’effet combiné de la démographie (la génération du baby-boom arrive massivement à la retraite) et de la numérisation de l’administration. Cet échec est lourd de conséquences : l’opportunité historique de cette législature est perdue et ne se représentera pas.
(UDC-Genève, 6 mai 2018)
Yves Nidegger
Pour tous renseignements :
Yves Nidegger, Conseiller national
Marc Fuhrmann, président, Député
02/05/2018
Choisir la forme de sa société : la société à responsabilité limitée
Comme son nom l’indique, la responsabilité de l’associé ou des associés d’une société à responsabilité limitée (Sàrl) est limitée. Il n’y a pas d’obligation de faire des versements au-delà du paiement des parts sociales, sauf exceptions expressément prévues dans les statuts. Le montant minimal des parts sociales est 20’000 francs, ce qui rend cette forme de société moins onéreux que la société anonyme.
La Sàrl doit être inscrite au registre du commerce. Elle est contrôlée par deux ou trois organes : l’assemblée des associés, les gérants et, éventuellement, l’organe de contrôle. En principe, les associés exercent collectivement la gestion de la société. Il est néanmoins possible de prévoir dans les statuts une manière différente d’organisation.
Les bénéfices de la Sàrl font l’objet d’une double imposition pour autant qu’ils soient versés aux associés en forme de dividendes.
La Sàrl doit être inscrite au registre du commerce. Elle est contrôlée par deux ou trois organes : l’assemblée des associés, les gérants et, éventuellement, l’organe de contrôle. En principe, les associés exercent collectivement la gestion de la société. Il est néanmoins possible de prévoir dans les statuts une manière différente d’organisation.
Les bénéfices de la Sàrl font l’objet d’une double imposition pour autant qu’ils soient versés aux associés en forme de dividendes.
Limiter les risques
Inscription à :
Articles (Atom)