02/09/2017

Développement du Grand ​Bernex : ​l'UDC dépose un​ référendum

L'UDC Bernex a déposé ce matin un référendum fort de plus de 1'200 signatures contre le Plan localisé de quartier (PLQ) de Saint-Mathieu, également appelé Bernex-Est.

Ce PLQ est le premier maillon du développement du Grand Bernex qui prévoit la construction de 6'000 logements et de nombreuses activités commerciales sur un périmètre d’une superficie d’environ 120 hectares, situés pour l’essentiel en zone agricole.

Les signatures ont été récoltées rapidement, plus de 80% d’entre elles ayant été spontanées suite à une action tous-ménages. Ce prompt retour populaire prouve l'angoisse réelle des résidents face à la démesure du Plan Directeur cantonal 2030 que l’UDC dénonce depuis des années. Il aura suffi à Walter Bisol et aux Bernésiens qui l’ont aidé d’expliquer les enjeux pour convaincre facilement les habitants de cette commune. Notons encore l’opposition violente de tous les partis à notre référendum, tels les conseillers municipaux PDC enjoignant leurs membres par courrier : « (...) de NE PAS SIGNER CE REFERENDUM ».

Après le Petit-Saconnex, c’est le deuxième référendum que l’UDC dépose contre la démesure du bétonnage de notre territoire par les partis de l’Entente bourgeoise et de la gauche.  Il faut impérativement donner la parole au peuple, ce que le Plan directeur cantonal 2030 lui a refusé.

C’est la raison pour laquelle, le 24 septembre prochain, l’UDC invite tous les Genevois a soutenir la votation cantonale «Renforçons les droits populaires» qui permettra au peuple de s’exprimer plus facilement sur des dossiers kidnappés par les partis en place.

Walter Bisol dépose le référendum

Walter Bisol dépose le référendum en compagnie de deux jeunes membres


(Communiqué de presse UDC-Genève du 1er septembre 2017)

Pour information :
Walter Bisol, conseiller municipal UDC-Bernex
Marc Fuhrmann, président et conseiller municipal

01/09/2017

Primes d’assurance-maladie : seule l’UDC soulage vos dépenses santé !

Le système LAMal, combattu par l’UDC à l’époque, est responsable du doublement des primes depuis son introduction et d'une immense détresse financière. Chaque année, une part de plus en plus importante du revenu disponible de la population est absorbée par le paiement des primes d’une assurance-maladie à laquelle il n’est pas possible de se soustraire. Le député Stéphane Florey, père de famille nombreuse, propose un nouveau mécanisme fiscal permettant la déduction systématique de 13'296 F du revenu des assurés les plus modestes.

Explosion des primes d’assurance-maladie
En 2017, la prime moyenne pour un adulte avec franchise minimale a progressé de 5,7%, à Genève. Les Genevois s’acquittent d’une prime moyenne de 6'648.- (adultes), 6'252.- (jeunes adultes) et de 1560.- (enfants). Une famille composée de deux adultes et de deux jeunes adultes en formation devra consacrer cette année, en moyenne, 25'800.- au seul paiement des primes d’assurance-maladie. La hausse des primes pèse de plus en plus lourd dans le budget de la population, alors que de son côté l’indice genevois des prix à la consommation n’a progressé « que » de 13% entre 1996 et 2016.

Caisse publique, caisse cantonale ou système actuel : rien n’endiguera la hausse des coûts !
La hausse des coûts de la santé devrait se poursuivre même si des caisses cantonales, calquées sur le modèle d’une caisse de compensation, ou une caisse publique venaient à voir le jour. Les promoteurs de l’initiative pour des caisses cantonales se gardent bien de promettre une diminution du montant des primes. Actuellement, les caisses maladie n’ont la maîtrise que sur le 5% des coûts, soit les frais administratifs. Les principaux blocs de coûts que représentent les hôpitaux, les médecins, les médicaments, les EMS et les services de soins à domicile poursuivraient leur hausse, indépendamment du système de santé en vigueur.

La priorité de l’UDC : aider la population face aux hausses démesurées des coûts de la santé
Le projet de loi déposé ce jour entend permettre aux contribuables célibataires dont le revenu brut n’excède pas 70'000F par an et aux couples mariés dont le revenu brut n’excède pas 150'000 F par an de déduire un montant correspondant, pour l’année fiscale considérée, au double de la prime effective relative à l’assurance obligatoire des soins déterminée par l’Office fédéral de la santé publique par classe d’âge des assurés.

Exemple : un couple marié dont le revenu brut n’excède pas 150'000 .- par an déduirait de son revenu le double de la prime effective relative à l’assurance obligatoire des soins déterminée par l’Office fédéral de la santé publique par classe d’âge des assurés. Cela représente pour chaque adulte 13'296 F à déduire du revenu (6'648 F x 2). Enfin, la déduction fiscale n’avantagerait pas les personnes les plus aisées, puisque les contribuables disposant de revenus supérieurs continueraient à déduire les primes d’assurance-maladie à concurrence du double de la prime moyenne cantonale.

(Communiqué de presse UDC-Genève du 31 août 2017)

Stéphane Florey

Stéphane Florey


Pour tous renseignements :
Stéphane Florey, député et chef de groupe, auteur du PLMarc Fuhrmann, président et conseiller municipal