20/08/2021

Est-ce que Joe Biden est Jimmy Carter 2.0?

Les Américains commencent à comparer Joe Biden à Jimmy Carter en ajoutant qu'il est sa version 2.0. A mon avis, cette comparaison ne tient pas la route, car, pour commencer, Jimmy Carter a été élu, tandis que Joe Biden a été bombardé président avec l'aide de ce qu'il a lui-même nommé «la plus grande organisation de fraude électorale».

Il y a tout de même des points semblables dans le résultat de leurs agissements. Jimmy Carter a grandement contribué à la prise de pouvoir des Ayatollahs en Iran. Cela a eu comme conséquence un regain d'intérêt pour l'Islam qui était à l'époque généralement considéré comme dépassé par le monde moderne. Le prix Nobel de littérature V.S. Naipaul avait lui-même vu en Iran peu de temps après l'arrivée de Khomeini, une femme en minijupes dans dans une région rurale où l'on n'avait pas encore entendu parler du changement intervenu à la tête de l'Etat. Il le raconte dans son livre Crépuscule sur l'Islam. A-t-elle succombé plus tard à la furie de ceux que l'on n'appellait alors pas encore islamistes? Nous l'ignorons, mais nous savons que ces «croyants» ont alors fait pendre 10'000 personnes en moins de deux mois. Par ailleurs, aucun homosexuel connu n'a pu échapper à leur fureur.

Aujourd'hui, on a pas encore idée dans quel désastre Joe Biden a plongé le monde. Un jeune joueur de football, Zaki Anwari, est jusqu'à présent la seule victime dont on connaît le nom. Dans son désespoir, face à l'arrivée des talibans, il s'était accroché à l'extérieur de l'avion américain C-17 et est ensuite tombé par terre en plein vol. Plusieurs exécutions ont déjà eu lieu dont une femme qui ne portait pas la burqa. Et ne comptez pas sur Facebook pour vous donner des nouvelles. Les Afghans y ont déjà tout effacé, plutôt que de laisser ces informations en main des talibans.


Ruhollah Khomeini



18/08/2021

La Suisse ne doit pas accepter les réfugiés afghans

Avez-vous déjà «constaté cette impression d’étrangeté que l’on ressent dans les rues et les marchés des grandes villes d’Europe ainsi que dans les transports en commun» (abbé Alain Arbez)? Comme si vous vous trouviez ailleurs, pas chez vous, mais plutôt aux Etats-Unis, en Asie, en Afrique. Vous ne vous êtes pas trompés, vous êtes vraiment entourés de plus en plus d'étrangers. Aux Pâquis par exemple, le taux des étrangers se situe à 57%. A cela s'ajoutent les 18% de Genevois qui, pour une grande partie, sont également d'origine étrangère. Il est patent que la capacité d'accueil de la Suisse et de Genève en particulier est arrivée à sa limite.

Tout le monde est évidemment sidéré par ce qui s'est passé en Afghanistan. Nous ne comprenons pas comment Joe Biden a rappelé l'armée américaine à la maison en catastrophe, en laissant sur place tout son matériel militaire valant des milliards de dollars et constituant bien entendu une énorme menace pour la population afghane et le monde entier. Pouvons-nous pour autant accueillir encore plus de réfugiés afghans dont une bonne partie sont des soldats formés par les Américains qui se sont enfuis sans combattre et d'autres des talibans déguisés? Poser la question c'est y répondre.

Je soutiens donc entièrement la position de l'Union Démocratique du Centre. La Suisse doit préserver sa neutralité, apporter son aide sur le terrain et ne pas « importer » d’éventuels islamistes et auteurs de violences.




17/08/2021

Joe Biden est irremplaçable

Beaucoup de journalistes se sont posé la question de savoir si Donald Trump était bien normal. Afin de couper court à toutes les rumeurs, il s'est donc soumis à un test cognitif. Il a obtenu d'excellents résultats. Néanmoins, cela n'a pas stoppé les critiques qui se sont alors mis à décrier… le test.

Aujourd'hui, il y a une autre personne à la présidence dont d'aucuns se demandent s'il est encore sain d'esprit. D'autres parlent même ouvertement qu'il souffre de démence vasculaire et font des comparaisons avec des malades de leur entourage. Curieusement, pas un seul journaliste n'en parle. Passons.

Cependant, même les démocrates ont constaté que quelque chose ne tourne pas rond avec un président qui fuit les interviews, n'a quasiment aucun programme à longueur de journée et ne répond qu'aux rares questions des journalistes triés sur le volet, d'une manière extrêmement brève et sans entrer dans le moindre détail. Pour autant, ils ne pensent pas à remplacer le président en fonction. Les quelques mois de sa présidence les ont amplement convaincus qu'il n'y a personne à disposition pour cette fonction, à moins de prendre le risque de faire tomber l'Amérique encore plus bas dans la déchéance et la criminalité.

Kamala Harris se prête bien à être photomodèle ou Miss sur le tard. En revanche, dès qu'il y a quelque chose à régler, comme par exemple la crise à la frontière sud créée par Joe Biden, elle est aux abonnés absents. Tout au plus brille-t-elle par quelques inepties genre «Restez chez vous», lancées aux immigrants clandestins. Belles perspectives en vue.



16/08/2021

L'Afghanistan n'existe plus

Ce qui aurait dû être un retrait ordonné de l'armée américaine de l'Afghanistan a été transformé par Joe Biden en désastre mondial. Et avant tout un désastre pour les Afghans eux-mêmes, au moins pour ceux qui ne peuvent pas s'enfuir. Les autres se réjouissent et profitent de l'occasion pour s'installer dans des pays européens et être soutenus à vie, ou au moins aussi longtemps que les pays d'accueil soient déstabilisés à leur tour.

Tout cela n'est bien entendu pas une surprise. Le 25 novembre 2020, j'avais déjà écrit que les guerres allaient reprendre avec Biden. A la remarque «Amérique est de retour» de Biden, j'avais mis en avant la remarque de Mike Pompeo «Retour au temps lorsque l'Etat Islamique était encore un califat?».

Personne ne s'était cependant imaginé que Biden allait livrer l'Afghanistan aux talibans, en leur laissant en plus tout l'armement que l'armée américaine aurait dû rapatrier, ou au pire, détruire. L'Afghanistan n'existe plus. Il a été remplacé par le spectre d'un Emirat islamique d'Afghanistan. Dans l'attente de la résurgence du califat...




Pour terminer un commentaire de «Mère-Grand» vu sur le blog de David Frenkel, lequel je soutiens totalement:

«Ceux pour qui la "débâcle" afghane n'en est pas une, ce sont qui constituent ce que le général Eisenhower appelait le "complexe militaro-industriel" américain.

Les milliards dépensés par le peuple américain (non par le gouvernement) n'ont pas été perdus pour tout le monde, même si une partie est partie dans les poches des Talibans eux-mêmes, des chefs de guerre locaux et autres profiteurs charognards.
Le matériel laissé derrière elle par l'armée américaine est une autre aubaine, non seulement pour les Talibans, mais aussi pour l'industrie qui devra le remplacer.
Et je ne parle pas du bénéfice religieux que les musulmans du monde entier tirent de l'échec, une fois de plus, des nations occidentales.»

04/08/2021

Navas de Tolosa : la bataille épique qui libéra l’Espagne chrétienne de l’islam

Le 16 juillet 1212, une bataille héroïque opposa Chrétiens et musulmans en Andalousie, au sud de Calatrava, au lieu-dit Las Navas de Tolosa (de nos jours Castro Ferral, dans la province de Jaén).

Elle présagea la disparition de l’islam en Espagne, cinq siècles après l’invasion de ce pays en 711 par les disciples de Mahomet et sa soumission forcée à son idéologie meurtrière. Cette victoire des armées chrétiennes sur les musulmans mit fin au mythe de l’invincibilité musulmane et marqua le début de la Reconquista. Victoire non encore digérée de nos jours par le monde musulman, notamment par l’Etat islamique qui jure vengeance.

Dès le début de l’occupation du pays par les barbares islamiques, une petite poche de résistance chrétienne se forma et se maintint dans le nord-ouest de l’Espagne. C’est à partir de cette « petite graine de moutarde » que la Reconquista chrétienne de l’Espagne sur l’islam se développa. Siècle après siècle, les Chrétiens progressèrent lentement vers le sud, jusqu’à la récupération quasiment totale de la moitié nord de l’Espagne.

Au début du XIIIe siècle, les musulmans, sous la direction du calife almohade Muhammad al-Nasir, décidèrent de mettre fin à cette avancée chrétienne. Ils rassemblèrent l’une des plus grandes armées à avoir jamais foulé le sol espagnol dans l’intention d’extirper dans le sang le Christianisme du pays par le feu et l’épée. Dans une lettre largement diffusée, attribuée au calife lui-même, le calife Muhammad déclara que tous les Chrétiens devaient « se soumettre à notre empire et se convertir à notre loi, la charia. Sinon, tous ceux qui adorent le signe de la croix … sentiront passer les lames de nos cimeterres. » Religion d’amour, de tolérance et de paix, nous répètent sans cesse nos dirigeants, si « faussement clairvoyants », quant à la véritable nature diabolique de l’islam.

Alarmé, le pape Innocent III proclama la croisade et appela les Chrétiens d’Espagne à s’unir et à lutter « contre les ennemis de la Croix du Seigneur qui non seulement aspirent à la destruction des Espagnols, mais menacent aussi de déverser leur rage sur les fidèles du Christ dans d’autres pays et, s’ils le peuvent opprimer le nom de Chrétien, ce que Dieu interdit. »

Partout, les troubadours cherchèrent à raviver chez les Chrétiens la flamme de la résistance à l’oppresseur musulman: « Saladin a pris Jérusalem » chantaient-ils en vers et « maintenant, le roi du Maroc annonce qu’il va combattre tous les rois chrétiens avec ses perfides Andalous et ses Arabes., qui dans leur orgueil pensent que le monde entier leur appartient. »

Au clivage religieux s’ajouta un clivage racial : « Fermes dans la foi, n’abandonnons pas notre héritage aux chiens noirs d’outre-mer. »

Le 14 juillet, les armées chrétiennes et musulmanes atteignirent enfin Las Navas de Tolosa, où se joua le sort de l’Espagne, et y campèrent.

« L’armée dirigée par le calife Muhammad représentait une force très importante et hétérogène », écrivit Darío Fernández-Morera, « composée de Berbères, de guerriers noirs très coriaces (souvent des esclaves) – aussi appelés « les imesebelen ». Ils étaient enchaînés ensemble pour former une barrière infranchissable autour de la tente du calife almohade – de moudjahidines (combattants religieux volontaires), de djihadistes en provenance du tout le monde islamique et même des mercenaires et des transfuges (traîtres) chrétiens. »

La différence entre les deux forces armées en présence était flagrante. D’une part, les quelques douze mille soldats Espagnols lourdement armés d’épées à double tranchant d’un mètre de long ; d’autre parts, les musulmans africains quasiment nus et munis d’un bouclier fait de peaux d’hippopotames. Mais le nombre de musulmans (environ trente mille) et leur férocité sans frein compensaient leur manque d’armes.

Les Chrétiens passèrent le dimanche 15 juillet à se reposer et à se préparer à la bataille y compris spirituellement. A genoux, des hommes en larmes se frappaient la poitrine et imploraient Dieu de leur donner la force de combattre. Des ecclésiastiques, tous déterminés « à arracher des mains des musulmans la terre qu’ils occupaient au détriment du nom Chrétien » parcouraient le camp, administraient l’Eucharistie, écoutaient les confessions et exhortaient les Croisés à lutter de toutes leurs forces. Puis vers minuit, « la voix de l’exultation et de la confession » écrivit un témoin oculaire « retentit dans les tentes chrétiennes et le héraut appela tout le monde à s’armer pour la bataille du Seigneur. »

En regardant les hordes ennemies alignées contre eux, le visage du chef suprême de la coalition chrétienne, le roi Alfonso VIII de Castille, s’assombrit. S’adressant à l’Archevêque Rodrigo de Tolède, debout à ses côtés, il lui dit :

« Nous allons tous mourir ici, et une mort en de telles circonstances sera une mort digne. »

« S’il plaît à Dieu, lui répondit Rodrigo de Tolède, que ce ne soit pas la mort qui nous attende, mais la couronne de la victoire, mais s’il devait plaire autrement à Dieu, nous sommes tous prêts à mourir avec vous. »

A l’aube du 16 juillet, les deux armées commencèrent à s’affronter. Pendant longtemps, ce fut une sorte d’impasse. Les combattants alignés aux premiers rangs découvrirent que les Maures étaient prêts à se battre jusqu’à leur dernière goutte de sang.

S’ensuivit une bataille terrible, au corps à corps, avec des lances, des épées, des haches. Il n’y avait pas de place pour les archers. Les Chrétiens poursuivaient les Maures, ces derniers les repoussaient. Le fracas et le tumulte des armes retentissaient. La lutte continuait, mais il n’y avait encore ni vainqueurs, ni vaincus.

« Déterminés à percer l’armée musulmane, les Chrétiens, écrivit plus tard Alfonso, brisèrent de nombreuses lignes ennemies installées sur les crêtes. Quand nos hommes atteignirent la dernière de leurs lignes, composée d’un grand nombre de soldats, parmi lesquels se trouvait Muhamad, le roi de Carthage, un combat désespéré s’engagea. Nos soldats étaient en grand danger et à peine capables de résister plus longtemps aux féroces assauts des ennemis. »

A chaque ligne musulmane brisée par les Chrétiens, d’autres se formaient instantanément , tant les rangs des musulmans étaient nombreux.

« A un moment donné, certains malheureux Chrétiens qui battaient en retraite, crièrent que les Chrétiens étaient vaincus. » Quand le roi Alfonso entendit ce « cri de malheur », lui et ses chevaliers se hâtèrent de monter rapidement sur la colline, où se déroulait la bataille.

« Réalisant que le combat devenait impossible pour eux (les soldats qui battaient en retraite) nous avons lancé une charge de cavalerie, portant la Croix de notre Seigneur devant nous et notre bannière ornée de l’image de la sainte Vierge et de Son Fils. » Ils se battirent vaillamment, mais les Africains continuaient à se rapprocher d’eux.

C’est alors que se produisit une sorte de miracle :

« Comme nous avions déjà résolu de mourir pour la foi en Christ, dès que nous vîmes les Sarrasins attaquer la Croix et les icônes avec des pierres et des flèches nous brisâmes leur ligne avec fureur, même si les Sarrasins résistèrent courageusement et se tinrent solidement autour de leur calife. »

« Puis soudain, les Chrétiens à l’arrière virent apparaître la Croix dans le ciel derrière les lignes ennemies. Revigorés, inspirés au-delà de tout espoir, les fils d’Espagne défoncèrent la ligne centrale par une charge en plein coeur, massacrant une grande multitude d’entre eux avec l’épée et la Croix. »

« Sancho VII, le roi géant de Navarre, suivi de ses hommes, fut le premier à passer en force et à mettre en déroute les soldats esclaves africains enchaînés autour de la tente du calife.

Le calife ne fit pas preuve de grand courage. Il décida d’abandonner ses troupes, monta sur son cheval et s’enfuit à brides abattues. Ses hommes furent tués et massacrés en masse, et le camp et les tentes des Maures devinrent les tombes des vaincus….. « C’est ainsi que la bataille du Seigneur fut triomphalement gagnée, par Dieu seul et par Dieu seul » conclut le roi victorieux, Alphonse VIII de Castille.

La victoire de Las Navas de Tolosa fut considérée comme un miracle par le pape et les paysans. Toute la puissance du califat almohade, jusqu’alors imbattable, fut décimée. Si des dizaines de milliers de musulmans perdirent la vie, les pertes chrétiennes furent moindres: environ deux milles chrétiens – pour la plupart les moines guerriers des ordres militaires, toujours présents là où les combats étaient les plus intenses – périrent au cours de la bataille.

Cette victoire marqua la libération de l’Espagne du joug de l’islam, les royaumes musulmans du sud de l’Espagne tombant les uns après les autres sous l’épée de la Reconquista, de sorte qu’en 1248, seul le lointain royaume de Grenade, à l’extrémité méridionale de l’Espagne, restait soumis à l’Islam et c’était un tributaire de la Castille.

Afin de marquer toute l’importance de la bataille de Las Navas de Tolosa pour le monde chrétien, pendant les siècles qui suivirent, le 16 juillet fut célébré comme le « Triomphe de la Sainte Croix » dans le calendrier espagnol, jusqu’à ce que Vatican II l’abolisse, conformément à l’esprit de la nouvelle ère du pardon si en vogue de nos jours.

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Rosaly :

Cette suppression d’une fête célébrant la victoire des armées chrétiennes contre les envahisseurs musulmans annonçait en quelque sorte le début de la Cancel Culture, bien avant qu’elle n’apparaisse en Amérique, afin, je présume de ne pas heurter les sentiments délicats de nos « Maures et Sarrasins » d’aujourd’hui, généreusement accueillis à bras ouverts par nos idéalistes ignares au faux grand coeur.

« La farce d’un islam de paix, d’un coran prêchant la miséricorde, l’amour et la piété, continue. Comme si Mahomet était né avec une brindille d’olivier dans la bouche et était mort crucifié avec Jésus. Comme si Mahomet n’avait pas aussi été un égorgeur, un coupeur de tête. Comme si Mahomet nous avait laissé Saint-Matthieu, Saint-Marc, Saint- Luc, Saint- Jean en train d’écrire les Evangiles et non les hordes de soldats armés de cimeterres. » (extrait d’un article d’Oriana Fallaci intitulé : « L’ennemi que nous traitons en ami. ».

Oriana attribue une bonne partie de la responsabilité de la perte de l’orientation de l’Occident « à l’indulgence que l’Eglise catholique (et autres églises chrétiennes) professe envers l’islam, qui persiste à souligner le patrimoine spirituel commun, nous apporté par les trois grandes religions monothéistes. : la religion chrétienne, la religion juive et la religion musulmane. »

Or, il n’existe aucun « patrimoine en commun », car « Allah n’a rien en commun avec le D.ieu des Juifs et des Chrétiens, avec le D.ieu Père, bon, affectueux, qui prêche l’amour et le pardon, et voit dans les hommes ses enfants. Allah est un dieu maître, un dieu tyran, un dieu qui voit dans les hommes, ses sujets, ses esclaves. Un dieu, qui n’enseigne pas l’amour, mais la haine, un dieu qui à travers le coran appelle « chiens d’infidèles » ceux qui croient en un autre Dieu et ordonne de les punir, de les assujettir, de les massacrer. »

Il est dès lors impossible « de mettre sur le même plan, le Christianisme et l’islamisme. Il est inacceptable »d’honorer de la même manière Jésus et Mahomet. » Erreurs scandaleuses commises par des prélats de diverses églises chrétiennes, à commencer par le chef de l’Eglise catholique au nom du chimérique dialogue interconfessionnel.

L’islam, c’est le coran et le coran est incompatible avec la Liberté, avec la Démocratie, avec les Droits de l’Homme. Il est incompatible avec le concept même de civilisation. 

Dans notre ère angélique, où toutes les civilisations se valent, où le Judaïsme, le Christianisme et l’islam sont mis sur le même pied, où les progressistes-immigrationnistes, appuyés par une partie du clergé chrétien, défendent un projet de science fiction, celui de l’avènement d’un monde merveilleux, multiculturel, multiethnique, où les conquérants musulmans pacifiques viennent apporter aux pauvres Occidentaux arriérés, en manque de cerveaux, richesse, connaissance, science, et bonheur…

Qu’ils nous citent un seul exemple d’une Société multiculturelle, multiethnique harmonieuse, heureuse, paisible ?

Derrière cette vision chimérique de l’avenir se cache une réalité bien plus inquiétante, dangereuse et cruelle: dans l’esprit des musulmans, l’islam est la seule et unique vraie religion et ils espèrent qu’un jour l’humanité entière embrassera cette « religion » de gré ou de force. L’islam est un code de vie et toutes les sociétés doivent y adhérer.

Il n’y a pas un gentil islam de paix et une déviance, l’islamisme, liberticide et belliqueux, mais un seul islam.

L’islamisme ou islam radical est le vrai visage de l’islam, il n’est pas une déviation de l’islam, mais la pratique de cette idéologie dans toute son intégralité. Et ce n’est pas être islamophobe ou extrémiste que de l’affirmer. Il suffit de lire le coran pour le comprendre.

Des populations immigrées envahissent l’Occident avec des valeurs diamétralement opposées aux nôtres, depuis plusieurs décennies et le flux n’est pas prêt de se tarir, dans le but sacré de détruire notre civilisation, notre démocratie, notre foi. La mission de tout bon musulman, c’est de propager l’islam partout sur la terre. Dès lors, l’Occident n’a-t-il pas non seulement le droit, mais aussi le devoir de les combattre en imposant ses lois et par des moyens militaires, en cas de violences, afin de défendre nos valeurs fondamentales?

Il ne faut pas oublier que les djihadistes divisent le monde en deux sphères : le monde islamique et le monde non islamique. Et si un jour il y a un combat, ce sera entre ceux qui aiment la liberté, la paix et l’humanité et ceux qui veulent imposer l’esclavage, la guerre et la divinité lunaire à l’humanité.

Les responsables du drame à venir sont les politiciens sans honneur, hypocrites, menteurs, politiciens sans conscience, intellectuels sans dignité ni courage, médias soumis au pouvoir. Ils ont rendu l’Europe malade, faible, sans défense et l’encouragent, quand ils ne la forcent pas, à se prostituer à la tromperie la plus réussie de toute l’histoire de l’humanité : l’islam et ce, au nom d’un fallacieux projet d’une Société multiculturelle, multiethnique heureuse, qui se transforme peu à peu en véritable cauchemar.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

01/08/2021

Comment les nations glissent de la grandeur à l’obscurité, sous nos yeux

Le déclin de l’Occident évolue à un rythme qui dépasse les prévisions les plus pessimistes, mais une grande partie de la population occidentale n’en a pas encore conscience, piégée dans un cycle sans fin de divertissements abrutissants de la télé-poubelle.
L’Occident a abandonné ses valeurs judéo-chrétiennes, a cédé à des impulsions hédonistes et est devenu désespérément décadent. La civilisation occidentale s’est plongée dans une dégénérescence indolente.

Essaie 5:20 : « Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, Qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, Qui changent l’amertume en douceur, et la douceur en amertume ! »

Don Feeder, l’auteur de l’article ci-dessous, intitulé « How Nations Slip from greatness to Obscurity » s’interroge : l’Amérique est-elle sur le chemin d’un déclin permanent ?

Il brosse avec tristesse et amertume un tableau bien noir de l’Amérique d’aujourd’hui, non sans une pointe de nostalgie et une mince lueur d’espoir.

***

Les Hommes, comme les Nations, pensent être éternels. Quel être humain de 20 ou 30 ans ne croit pas, du moins inconsciemment, qu’il vivra éternellement ?

Au printemps de la jeunesse, un été sans fin semble nous attendre. Quand on passe le cap des 70 ans, il est plus difficile d’ignorer la réalité.

Les nations aussi ont des saisons. Imaginez un Romain du IIe siècle, contemplant fièrement un empire qui s’étendait de la Grande-Bretagne au Proche-Orient, certain que cela durera ad vitam aeternam. Hélas, son éternité dura environ 5 siècles.

La France était à la mode aux 17e et 18e siècles. Aujourd’hui, le pays de Charles Martel est en passe de faire partie de l’oumma musulmane.

Au 19e et au début du 20e siècle, le soleil ne se couchait jamais sur l’Empire britannique. Aujourd’hui, Albion vit dans un crépuscule perpétuel. Sa souveraine de 95 ans est le symbole d’une nation en phase terminale de déclin.

Dans les années 1980, le Japon semblait prêt à acheter le monde. Les écoles de commerce enseignaient les techniques de gestion japonaises. Aujourd’hui, son taux de natalité est si bas et sa population vieillit si rapidement qu’une industrie a vu le jour pour enlever les dépouilles des Japonais âgés qui meurent seuls.

Je suis né en 1946, quasiment au milieu du 20e siècle – le siècle américain. Le prestige et l’influence de l’Amérique ne furent jamais aussi grands. Grâce à la « Greatest Generation », nous avons gagné une guerre mondiale, qui se déroula sur la majeure partie de l’Europe, de l’Asie et du Pacifique. Nous avons réduit l’Allemagne en ruines et mis l’Empire du Soleil levant au lit.

Cela ouvrit la voie à près d’un demi-siècle de prospérité sans précédent. Nous avons stoppé la propagation du communisme en Europe et en Asie, et combattu le terrorisme international. Nous avons aidé nos ennemis à reconstruire leur pays et prodigué une aide étrangère à une grande partie du monde.

Nous avons bâti des gratte-ciel et lancé des fusées vers la lune. Nous avons vaincu la polio et le COVID. Nous avons exploré les mystères de l’Univers et les merveilles de l’ADN, l’empreinte de la vie.

Mais où est la gloire, qui était autrefois celle de Rome ?

L’Amérique est passée d’une économie relativement libre au socialisme, qui a « si bien réussi » ailleurs dans le monde. Nous sommes passés d’un gouvernement républicain guidé par une Constitution à un régime d’élites renouvelables. Notre liberté diminue d’année en année.

Comme un signe avant-coureur du règne de la terreur, la Cancel Culture est partout. Nous avons échangé la Révolution américaine contre celle de la Cancel Culture.

La pathétique créature de la Maison-Blanche est un récipient vide rempli par ses manipulateurs. Au sommet du G-7, sa femme, le Dr. Jill, a dû le guider comme un enfant.

En 1961, quand nous étions jeunes et vigoureux, nos leaders l’étaient aussi. Maintenant, une nation faible est techniquement dirigée par l’homme le plus âgé à avoir jamais servi à la présidence.

Nous ne pouvons défendre ni nos frontières, ni notre histoire (y compris les monuments de la grandeur passée) ni nos rues. Nos villes sont devenues des terrains de jeu pour les anarchistes.

Nous sommes une nation de dépendants, de mendiants et d’altruisme dévoyé. Les vétérans sans abri campent dans les rues tandis que les étrangers en situation irrégulière sont hébergés dans des hôtels.

Le président des États-Unis ne peut même pas citer correctement le début de la Déclaration d’Indépendance. Les diplômés de l’Ivy League* échouent régulièrement à des tests d’histoire que des élèves de cinquième année pouvaient facilement réussir, il y a une génération.

Les taux de criminalité montent en flèche, mais nous blâmons le second Amendement et réduisons les budgets de la police.

Notre culture est complètement folle

  • Des hommes épousent des hommes. Des femmes se marient avec des femmes. Des hommes pensent être des femmes et vice-versa. Des gens combattent le racisme en cherchant à convaincre les membres d’une race qu’ils sont intrinsèquement mauvais, et les autres qu’ils sont des victimes perpétuelles. Une psychiatre woke donnant une conférence à Yale a déclaré qu’elle fantasmait sur le fait de « décharger un revolver dans la tête de n’importe quel Blanc ». (1)
  • Nous massacrons les enfants à naître au nom de la liberté, des droits de la femme, alors que notre taux de natalité diminue d’année en année.
  • Notre dette nationale est si élevée qu’il nous est impossible de prétendre pouvoir la rembourser un jour. C’est une dette colossale de 28 trillions de dollars, qui témoigne de notre imprévoyance et de notre refus de confronter la réalité.
  • Notre « divertissement » est sadique, nihiliste et aussi durable qu’un emballage de tablette de chocolat jetée à la poubelle. Notre musique est un bruit qui va de l’agaçant au répugnant.
  • Le patriotisme est appelé insurrection, la trahison est célébrée et la perversion sanctifiée.
  • Un policier en uniforme bleu suscite moins de respect qu’un homme habillé en femme.
  • On demande aux soldats de se battre, de sacrifier leur vie pour une nation à laquelle même nos dirigeants ne croient plus.

La façon dont la plupart se sont soumis docilement au Fauci-isme (le régime des masques et des désinfectants pour les mains) illustre bien la mort de l’esprit de liberté américain.

Pour passer de la Grandeur à l’Obscurité, il suffit aux nations :

  • de mener des guerres sans fin qu’elles ne peuvent ou ne veulent pas gagner ;
  • d’accumuler des dettes massives bien au-delà de leur capacité de remboursement ;
  • de refuser de protéger leurs frontières, permettant ainsi à des hordes d’étrangers d’envahir leurs pays ;
  • d’abandonner le contrôle de leurs villes à la loi du plus fort ;
  • de permettre l’endoctrinement des enfants et des jeunes ;
  • de perdre son identité nationale ;
  • d’abandonner sa foi et la famille, les deux remparts de l’ordre social.

En Amérique, chacun de ces symptômes est présent, ce qui indique un stade avancé de la maladie.

Même si la cause semble désespérée, n’avons-nous pas une obligation envers tous ceux qui sacrifièrent leur vie pour nous donner ce que nous avions ?

« Les nations qui tombent en se battant se relèvent, mais celles qui se rendent docilement s’effondrent»

Churchill

Je suis entouré de fantômes qui me poussent à aller de l’avant : les soldats de l’Union qui ont défendu la colline du cimetière à Gettysburg, les Bastonneurs de Bastogne, ceux qui servirent dans l’enfer glacial de Corée, les gars qui allèrent dans les jungles de l’Asie du Sud-Est et rentrèrent à la maison pour être méprisés ou abandonnés à leur sort.

C’est la nation qui a accueilli mes grands-parents immigrés, dont mon père et la plupart de mes oncles ont porté l’uniforme pendant la Seconde Guerre mondiale. Je ne veux pas imaginer un monde sans l’Amérique, même si cela devient de plus en plus probable.

Aux heures les plus sombres de la Grande-Bretagne, quand son armée fut piégée à Dunkerque et qu’une invasion allemande semblait imminente, Churchill rappela à ses compatriotes que « les nations qui tombent en se battant se relèvent, mais celles qui se rendent docilement s’effondrent. »

Si nous laissons l’Amérique glisser entre nos doigts, si nous perdons sans combattre, que dira de nous la postérité ?

Le pronostic est loin d’être bon. Dieu seul sait si une Amérique brillant à nouveau au soleil reviendra !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Rosaly pour Dreuz.info.

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