Un coup d’État est en train de se réaliser dans le monde entier, planifié depuis un certain temps par une élite de conspirateurs asservis aux intérêts de la haute finance internationale.
Ce coup d’État a été rendu possible par une pandémie qui repose sur la prémisse d’un virus dont le taux de mortalité est analogue à celui de la grippe, l’interdiction de traitements efficaces, et la distribution d’un sérum génétique expérimental qui est manifestement inefficace, et qui comporte aussi clairement le danger d’effets secondaires graves, voire mortels.
Nous savons tous à quel point les grands médias ont contribué à soutenir le récit insensé de la pandémie. Les intérêts en jeu et les objectifs de ces groupes de pouvoir visent à réduire la population mondiale et à faire de ceux qui sont vaccinés des malades chroniques [1], et d’imposer des formes de contrôle qui violent les droits fondamentaux et les libertés naturelles des citoyens. Et pourtant, deux ans après le début de cette farce grotesque, qui a fait plus de victimes qu’une guerre et détruit le tissu social, les économies, et les fondements de l’État de droit, rien n’a changé dans les politiques des nations et leur réponse à la soi-disant pandémie.
L’année dernière, alors que beaucoup n’avaient pas encore compris la gravité de la menace imminente, j’ai été parmi les premiers à dénoncer ce coup d’État, et j’ai été promptement montré du doigt comme un complotiste. Aujourd’hui, de plus en plus de gens ouvrent les yeux et commencent à comprendre que la pandémie et l’urgence écologique font partie d’un complot ourdi par le Forum Economique Mondial de Davos, l’ONU, l’OMS et une galaxie d’organisations et de fondations qui se caractérisent idéologiquement comme clairement antihumaines et – il faut le dire clairement – antichrétiennes.
L’un des éléments qui confirme sans équivoque la nature criminelle de la grande réinitialisation [great reset] est la parfaite synchronisation avec laquelle toutes les différentes nations agissent, démontrant l’existence d’un scénario unique sous une direction unique. Et il est déconcertant de voir comment l’absence de traitement, les décisions délibérément erronées qui ont été prises afin de provoquer davantage de décès, la décision d’imposer des confinements et des masques, le silence conspirateur sur les effets indésirables des soi-disant vaccins qui sont en fait des sérums génétiques, et la répétition continue d’erreurs coupables ont tous été possibles grâce à la complicité des gouvernants et des institutions.
Les dirigeants politiques et religieux, les représentants du peuple, les scientifiques et les médecins, les journalistes et ceux qui travaillent dans les médias ont littéralement trahi leur peuple, leurs lois, leurs constitutions et les principes éthiques les plus élémentaires.
La fraude électorale de l’élection présidentielle de 2020 contre le président Trump s’est révélé organique à cette opération globale, car pour imposer des restrictions illégitimes en violation des principes du droit, il fallait pouvoir se servir d’un président américain qui soutiendrait la psycho-pandémie et appuierait son récit. Le parti démocrate, qui fait partie de l’État profond, accomplit sa tâche en tant que complice du système, tout comme l’Église profonde trouve en Bergoglio [le pape François] son propagandiste.
Les récents arrêts de la Cour Suprême et l’action autonome de certains États américains – où l’obligation de vaccination a été déclarée inconstitutionnelle – nous donnent l’espoir que ce plan criminel puisse s’effondrer et que les responsables soient identifiés et jugés : tant en Amérique que dans le monde entier.
Comment a-t-il été possible d’en arriver à une telle trahison ?
Comment en sommes-nous arrivés à être considérés comme des ennemis par ceux qui nous gouvernent, non pas pour soutenir le bien commun, mais plutôt pour alimenter une machine infernale de mort et d’esclavage ? La réponse est désormais claire : dans le monde entier, au nom d’une conception pervertie de la liberté, nous avons progressivement effacé Dieu de la société et des lois. Nous avons nié l’existence d’un principe éternel et transcendant, valable pour tous les hommes de tous les temps, auquel les lois des États doivent se conformer.
Nous avons remplacé ce principe absolu par l’arbitraire des individus, par le principe selon lequel chacun est son propre législateur. [La philosophie de l’existentialisme] Au nom de cette liberté insensée – qui est licence et libertinage – nous avons permis de violer la loi de Dieu et la loi de la nature, en légitimant le meurtre des enfants dans le sein maternel, jusqu’au moment même de la naissance ; le meurtre des malades et des vieillards dans les services hospitaliers [l’euthanasie avec l’injection intraveineuse du Rivotril]; la destruction de la famille naturelle et du mariage ; nous avons reconnu des droits au vice et au péché, en faisant passer les déviations des individus [LGBT] avant le bien de la société. En bref, nous avons subverti tout l’ordre moral qui constitue la base indispensable des lois et de la vie sociale d’un peuple.
Déjà au quatrième siècle avant J.-C., Platon écrivait ces choses dans sa dernière œuvre, les Lois, et identifiait la cause de la crise politique athénienne précisément dans la rupture de l’ordre divin – le cosmos – entre ces principes éternels et les lois humaines. Ces principes moraux naturels du monde gréco-romain ont trouvé leur accomplissement dans le christianisme, qui a construit la civilisation occidentale en leur donnant un élan surnaturel.
Le christianisme est la plus forte défense contre l’injustice, l’oppression des puissants sur les faibles, des violents sur les pacifiques et des méchants sur les bons, car la morale chrétienne rend chacun de nous responsable de ses actes devant Dieu. Le Fils de Dieu, dont nous célébrerons la naissance dans quelques jours, s’est incarné dans le temps et dans l’histoire afin de guérir une ancienne blessure et de restaurer par la Grâce l’ordre brisé par la désobéissance. Sa royauté sociale a été le principe générateur de l’ordo Christianus que la franc-maçonnerie combat avec acharnement depuis deux siècles. La révolution qu’elle promeut est le chaos, le désordre, la rébellion infernale contre l’ordre divin pour imposer la tyrannie de Satan.
Maintenant, en voyant ce qui se passe autour de nous, nous comprenons combien étaient mensongères les promesses de progrès et de liberté faites par ceux qui ont détruit la société chrétienne, et combien était trompeuse la perspective d’une nouvelle Tour de Babel, construite non seulement sans égard pour Dieu, mais même en opposition directe avec Lui. Le défi infernal de l’ennemi se répète à travers les siècles sans changement, mais il est voué à un échec inexorable. Derrière cette conspiration millénaire, l’adversaire est toujours le même, et la seule chose qui change, ce sont les individus particuliers qui coopèrent avec lui.
Nous vivons un moment critique pour l’avenir de l’humanité. Mais l’urgence pandémique, la farce du réchauffement climatique et de l’économie verte, et la crise économique délibérément induite par la grande réinitialisation de Davos avec la complicité de l’État profond, ne sont que la conséquence d’un problème beaucoup plus grave, et il est essentiel de le comprendre en profondeur si nous voulons le vaincre.
Ce problème est essentiellement moral ; en fait, il est religieux. Nous devons remettre Dieu à la première place non seulement dans notre vie personnelle, mais aussi dans la vie de notre société. [l’abolition de la laïcité en France] Il faut rendre à notre Seigneur Jésus-Christ la couronne d’épines que la révolution lui a arrachée, et pour cela il faut une véritable et profonde conversion des individus et de la société. Car il est absolument impossible d’espérer la fin de cette tyrannie mondiale si nous continuons à écarter du Royaume du Christ les nations qui lui appartiennent.
C’est pourquoi le mouvement pour l’annulation de l’arrêt Roe versus Wade de la Cour Suprême, en 1973, acquiert une signification capitale, car le respect du caractère sacré de la vie à naître doit être sanctionné par le droit positif pour être le miroir de la Loi éternelle. [Le droit naturel est un ensemble de normes juridiques qui prend en considération la nature de l’homme et sa finalité] Vous êtes animé d’un désir de justice, et c’est un désir légitime et bon. « Heureux ceux qui ont faim et soif de justice, » dit le Seigneur (Matthieu 5, 6). Mais cette justice doit se fonder sur la conscience qu’il s’agit d’une bataille spirituelle dans laquelle il est nécessaire de prendre parti sans équivoque et sans compromis, en retenant des références transcendantes et éternelles que même les philosophes païens ont entrevues et qui ont trouvé leur accomplissement dans la révélation du Fils de Dieu, le Maître Divin.
Mon appel à une alliance antimondialiste – que je renouvelle aujourd’hui – vise précisément à constituer un mouvement de renaissance morale et spirituelle qui inspire l’action civile, sociale et politique de ceux qui ne veulent pas être réduits en esclavage par le nouvel Ordre Mondial de Davos. Un mouvement qui, au niveau national et local, sera capable de trouver un moyen de s’opposer à la grande réinitialisation et qui coordonne la dénonciation du coup d’État qui est actuellement en cours.
Nous pouvons perturber son action criminelle qu’il entend poursuivre et le forcer à reculer. En cela, l’opposition à la farce de la pandémie et à l’obligation vaccinale doit être déterminée et courageuse de la part de chacun d’entre vous. La vôtre doit donc être une œuvre de vérité, mettant en lumière les mensonges et les tromperies du nouvel Ordre Mondial et leur matrice antihumaine et anti christique. Et en cela, ce sont principalement les laïcs et toutes les personnes de bonne volonté – chacun dans le rôle professionnel et civil qu’il occupe – qui doivent se coordonner et s’organiser ensemble pour opposer une résistance ferme mais pacifique, afin de ne pas légitimer sa répression violente par ceux qui détiennent aujourd’hui le pouvoir.
Soyez fiers de votre identité de patriotes et de la foi qui doit animer votre vie. Ne permettez à personne de vous faire sentir inférieurs simplement parce que vous aimez votre patrie, parce que vous êtes honnêtes au travail, parce que vous voulez protéger votre famille et élever vos enfants avec des valeurs saines, parce que vous respectez les personnes âgées, parce que vous protégez la vie de la conception à sa fin naturelle.
Ne vous laissez pas intimider ou séduire par ceux qui propagent un monde utopique dans lequel un pouvoir sans visage vous impose le mépris de la Loi de Dieu, présente le péché et le vice comme licites et désirables, méprise la droiture et la morale, détruit la famille naturelle et promeut les pires perversions, planifie la mort de créatures sans défense, et exploite l’humanité à son profit. Ne suivez pas ceux de vos pasteurs qui ont trahi le mandat qu’ils ont reçu de notre Seigneur, qui vous imposent des ordres iniques ou qui restent silencieux devant l’évidence d’un crime inouï contre Dieu et l’humanité.
Que ce Saint Noël illumine vos esprits et enflamme vos cœurs devant l’Enfant Roi couché dans la crèche. Et de même que les chœurs des anges et l’hommage des mages s’unissaient à la simple adoration des bergers, de même aujourd’hui votre engagement pour la renaissance morale – une nation placée sous Dieu – aura la bénédiction de notre Seigneur et rassemblera autour de vous ceux qui vous gouvernent. Amen. Que Dieu vous bénisse !
par Monseigneur Carlo Maria Viganò, archevêque et nonce apostolique, le 18 décembre 2021
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Bernard Martoia pour Dreuz.info.
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