Victor Orban, le premier ministre hongrois, ne mâche pas ses mots lorsqu’il assène ses convictions aux journalistes, à côté de Christian Kern, le chancelier autrichien, lors de la conférence de presse commune d'hier à Budapest. Celui-ci ne l’a pas contredit, mais a tout au contraire promis l’envoi de 20 policiers pour l’aider à contrôler sa frontière avec la Serbie.
A Genève, nous sommes particulièrement exposés à cause de notre proximité avec la France. Le président François Hollande a rappelé hier que son pays était en guerre à l’intérieur et à l’extérieur de son pays. Peu après le lâche assassinat d’un prêtre qui était en train de lire la messe, il a dit que la France gagnera cette guerre, tout comme Bush l’avait fait quelques années auparavant. D’ici-là, nous sommes en danger. Il suffit de constater qu’un des assassins avait été arrêté à Genève, avant d’être expulsé vers la France. Il est grand temps que le Conseil administratif se réveille et s’active pour limiter l’afflux des migrants à Genève, quitte à se faire complice de futures tragédies.
Victor Orban à Moscou
Kremlin.ru [CC BY 3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by/3.0) ou CC BY 4.0 (http://creativecommons.org/licenses/by/4.0)], via Wikimedia Commons
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