Une ville de 1,2 millions d’habitants retrouve enfin son calme. Depuis quatre ans, elle était prise en otage par quelques opposants au président syrien élu. Leur expulsion durant ses derniers jours a permis de connaître leur chiffre: à peu près 40’000 personnes composées d'opposants, de djihadistes et de leurs familles, tandis que 210’000 à 286’000 personnes ont été libérées du joug des insurgés par l’armée. La liesse populaire a ainsi été à la hauteur de l’évènement au point d’être impossible à cacher dans les médias censés nous informer.
Fini le conte de fée du génocide à Alep (en fait Alep est, sous contrôle des islamistes). Tous ont été transportés sains et saufs dans une autre partie de la Syrie (Idlib). La petite fille avec ses tweets faits par sa mère (Bana) a été reçue par le président turc Erdogan, avec ses parents. Des utilisateurs de Facebook et Twitter ont publié des photos d'une personne qui semble être son père en compagnie de terroristes.
Cette victoire de l’armée régulière qui a dû faire appel à des aides étrangères contre les trois grandes puissances que sont les Etats-Unis, l'Angleterre et la France assistés par l'ONU, ouvre enfin la voie vers la paix en Syrie, d’autant plus que Donald Trump refuse de donner des armes à des gens qu’il ne connaît pas (entendez l’opposition syrienne et les djihadistes) et vers la prochaine défaite de ce que j’ose appeler la horde démoniaque (DAECH).
Le monde n’est pas encore perdu - Joyeux Noël à tous!
La citadelle d'Alep
© Guillaume Piolle / , via Wikimedia Commons
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