Plein d’assurance, il affirmait, le lendemain du saccage de la Ville de Genève, qu’on ne pouvait pas supposer que parmi 500 manifestants il y aurait une cinquantaine d’individus déterminés à casser. Christian Cudré-Mauroux est même allé plus loin en se présentant comme sauveur de la République et que sans sa prévoyance, il y aurait encore eu plus de dégâts.
Hélas pour lui, il n’a pas réussi à cacher la vérité très longtemps. Le Temps d’aujourd’hui nous informe d’une toute autre réalité: «Un défilé de 400 à 800 personnes attendu au centre-ville, le Grand Théâtre visé, l’usage ‘très probable’ d’engins pyrotechniques, des auteurs ‘masqués et cagoulés’ et des tags tous azimuts.» Il a donc délibérément livré la Ville de Genève au déferlement des vandales que nous connaissons.
Il se console avec une suspension provisoire (le Temps ne mentionne aucune suspension de son droit au salaire), tandis que les commerçants n’ont qu’à leurs yeux pour pleurer.
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RépondreSupprimerQuand le saccage de la ville de Genève a-t-il eu lieu ?
RépondreSupprimerDans la nuit du 19 au 20 décembre 2015, voir aussi http://blog.pierrescherb.ch/2015/12/les-apprentis-sorciers-de-geneve.html et http://blog.pierrescherb.ch/2015/12/christian-cudre-mauroux-choque-la.html
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