08/12/2015

Le Front national gagne - la Suisse en profite

Le Front national est le parti de la haine, les médias nous le disent et nous le répètent. Je leur donne entièrement raison, avec cette petite différence que la haine est surtout située du côté de ses détracteurs. Ils ne veulent pas admettre que les Français aient envie de rester Français, plutôt que de se fondre dans une masse insignifiante, soi-disant multiculturelle et qui engendre les pires horreurs.
La Suisse aussi a une culture. La dénigrer a été érigé en vertu nationale par nos élites bien-pensantes. La devise de l’exposition universelle à Séville n’était-elle pas : La Suisse n’existe pas ? Or, cette devise était devenue leur leitmotiv. Sauf que la Suisse existait bel et bien et que le peuple n’avait aucune envie de disparaître de cette façon. La résistance s’était surtout manifestée autour d’un seul parti, l’Union démocratique du centre. Il ne voulait pas se fondre dans une Europe dirigée par une équipe de fonctionnaires dépourvus de tout contact avec la population et la réalité.
Les gouvernements européens n’en avaient cure. La Suisse devait se plier à leur volonté en abandonnant de plus en plus de prérogatives nationales. Seulement voilà que la situation a changé. L’arrivée d’un parti qui défend l’unité nationale et qui soit contre l’abandon des frontières en France et l’accueil de toujours plus de migrants renforce en même temps la position de la Suisse, au moins celle de ceux qui croient encore en son autodétermination.
Un Suisse peut donc se réjouir de l’arrivée du Front national en France, sans partager ses idées et sans faire d’amalgames.

Une ville suisse

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