Le nom que le comité référendaire a choisi est parlant au point qu’il a pu servir de titre à cette note. Il ratisse large et on y trouve des partis et personnalités de toutes tendances politiques. Voyez plutôt:
Action Patrimoine Vivant (APV), Défense des Aînés et des Locataires (DAL), Ensemble à Gauche, Entente Responsable: liste citoyenne contre le gaspillage des deniers publics, La culture doit rester un bien public, Les Verts genevois, MAH - pour un projet propre pour le Musée d’art et d’histoire, Non aux coupes budgétaires dans la culture, Parti du Travail, Patrimoine suisse Genève (PsGe), solidaritéS, Union démocratique du centre (UDC), Vert’libéraux.
Et pour terminer cette note, voici un extrait de la brochure de campagne:
Non à un chèque en blanc irresponsable:
- Initialement, l’apport d’argent privé pour financer une partie des travaux va réduire le prix du projet pour la collectivité. Toutefois, la facture pour les contribuables va rapidement devenir beaucoup plus lourde, notamment en raison des charges induites par les conditions imposées par le principal «partenaire» privé, et cela sur 99 ans.
- Le contrat entre la Ville de Genève et la Fondation Gandur n’a pas été soumis au Conseil municipal et les lourdes charges financières qu’il impose à la collectivité n’ont même pas été chiffrées. Les clauses de ce contrat subordonnent le soutien financier au projet Nouvel mais laissent la collectivité seule face aux risques de dépassement de budget.
- L’investissement initial de Jean-Claude Gandur est infime en regard des frais que la collectivité devra assumer pendant un siècle pour la gestion de ses collections (qu’il peut retirer en tout temps), les assurances, l’entretien, les expositions et toutes les autres charges imposées par ce contrat.
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