Il faudrait dorénavant ajouter deux noms reliés à ce mot. Michel Delpech et Natalie Cole sont morts en ce début d’année.
Nous nous souvenons de Michel Delpech pour ses tubes Wight is Wight, Pour un flirt, Que Marianne était jolie, Le chasseur, et plein d’autres. Un des interprètes les plus populaires de la chanson française, il se voyait lui-même comme un chanteur de variétés qui n’offrait pas d’œuvre.
Nous nous souvenons de Michel Delpech pour ses tubes Wight is Wight, Pour un flirt, Que Marianne était jolie, Le chasseur, et plein d’autres. Un des interprètes les plus populaires de la chanson française, il se voyait lui-même comme un chanteur de variétés qui n’offrait pas d’œuvre.
Natalie Cole nous reste en mémoire pour la chanson chantée ensemble avec son père Nat King Cole, après son décès, Unforgettable. Elle s’était d’abord consacrée à la psychologie, avant de se tourner vers la chanson. Pensons aussi à Besame mucho qu’elle chantait avec Andrea Bocelli ou Oye come va de Tito Puente.
N’oublions finalement pas les victimes de l’attentat de Paris du 13 novembre 2015. Cette «sacrée bande de Parisiens» que le quotidien Le Monde a découvert en poursuivant son projet de les sortir de l’anonymat, afin que tout le monde puisse se rendre compte que les terroristes n’avaient pas tué de parfaits inconnues, mais des personnes respectables qui poursuivaient leur rêve à leur manière: «Des trentenaires souvent nés en province, issus de classes moyennes, venus à Paris pour y étudier ou travailler et, finalement, retenus dans cette ville par sa culture, son art de vivre, d’aimer et de se mélanger. Une ville-base. De la mondialisation, ils ont fait un atout, tout en restant ancrés dans un solide lien familial et un mode de vie français, attirés par ces cafés et ces quartiers qui intègrent la modernité sans perdre la tradition.
N’oublions finalement pas les victimes de l’attentat de Paris du 13 novembre 2015. Cette «sacrée bande de Parisiens» que le quotidien Le Monde a découvert en poursuivant son projet de les sortir de l’anonymat, afin que tout le monde puisse se rendre compte que les terroristes n’avaient pas tué de parfaits inconnues, mais des personnes respectables qui poursuivaient leur rêve à leur manière: «Des trentenaires souvent nés en province, issus de classes moyennes, venus à Paris pour y étudier ou travailler et, finalement, retenus dans cette ville par sa culture, son art de vivre, d’aimer et de se mélanger. Une ville-base. De la mondialisation, ils ont fait un atout, tout en restant ancrés dans un solide lien familial et un mode de vie français, attirés par ces cafés et ces quartiers qui intègrent la modernité sans perdre la tradition.
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